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Sarahb75

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MES IMPÔTS. Retenue à la source : du flou mais pas de loup - Le Parisien. Votre banque va vous coûter 193,80 € cette année - Le Parisien. Les frais bancaires sont en hausse de 4,2 % sur deux ans.

Votre banque va vous coûter 193,80 € cette année - Le Parisien

Un record ! Ce n'est pas une vue de l'esprit. Les frais bancaires pèsent de plus en plus lourd dans le budget quotidien des Français. En moyenne, un client lâchera 193,80 € à sa banque cette année. Un coût en hausse de 1,7 % sur un an et de 4,2 % sur deux ans ! Les frais de tenue de compte. « C'est la principale cause d'augmentation des tarifs bancaires. Les cartes bancaires. « Sur la période 2013-2017, les cotisations des cartes bancaires ont augmenté de 4,4 %, soit deux fois plus vite que l'inflation », souligne Guillaume Clavel.

Les retraits déplacés. Les dépassements de découvert. *Etude portant sur 196 lignes tarifaires et 348 packages bancaires réalisée par Panorabanques auprès de 158 banques de France métropolitaine représentant plus de 95 % de part de marché. La Roumanie évite une crise politique. Le président libéral, Klaus Iohannis, a nommé un premier ministre social-démocrate.

La Roumanie évite une crise politique

La Roumanie a mis fin au suspense politique qui a suivi les élections législatives du 11 décembre 2016. Le 30 décembre, le président Klaus Iohannis a désigné un nouveau premier ministre socialiste, ouvrant ainsi la voie à une nouvelle cohabitation avec la gauche. Sorin Grindeanu, 43 ans, un informaticien inconnu du grand public, a été choisi par le Parti social-démocrate (PSD) qui a remporté 46 % des suffrages lors de ces élections.

Grâce à une coalition avec une petite formation libérale, ­l’Alliance des libéraux et des démocrates (ALDE), qui a obtenu 6 % des voix, les socialistes ont la majorité au Parlement et peuvent proposer un premier ministre. Liviu Dragnea, le président du PSD, espérait obtenir le poste de chef du gouvernement, mais une condamnation pénale pour fraude électorale au printemps 2016 l’en a empêché. Pourquoi l’affaire Jacqueline Sauvage fait débat. La femme de 69 ans a été libérée mercredi après une grâce totale de François Hollande.

Pourquoi l’affaire Jacqueline Sauvage fait débat

La question de la légitime défense a été au cœur des débats. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Syrine Attia François Hollande a accordé, mercredi 28 décembre, la grâce présidentielle à Jacqueline Sauvage, 69 ans, condamnée à dix ans de prison ferme pour le meurtre de son mari violent. Pour mieux comprendre les motivations de cette mesure exceptionnelle, retour, dans le détail, sur cette affaire. Les circonstances du meurtre C’est à Selle-sur-le-Bied (Loiret), dans un pavillon résidentiel, que Jacqueline Sauvage a vécu pendant quarante-sept ans avec son mari, Norbert Marot, avant de le tuer le 10 septembre 2012.

Le jour de l’homicide, après s’être disputée avec son mari au sujet de leur entreprise commune, une société de transports, menacée de fermeture, Jacqueline Sauvage prend des somnifères avant de partir se reposer dans sa chambre, qu’elle ferme à clé. Les zones d’ombre des faits. Le marché du pétrole commencera à se rééquilibrer en 2017. Le prix du baril américain pourrait remonter autour de 56 dollars en 2017.

Le marché du pétrole commencera à se rééquilibrer en 2017

Mais les incertitudes pèsent sur le long terme. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Jean-Michel Bezat Est-ce la sortie du tunnel ? Après trois ans de repli et un début d’année 2016 catastrophique, les dirigeants du monde pétrolier veulent croire que le plus dur est passé. Les cours de l’or noir sont repartis à la hausse depuis un mois : le baril de brent de la mer du Nord a atteint 56,09 dollars mardi 27 décembre à la clôture sur l’Intercontinental Exchange de Londres.

Mi-janvier, son prix s’était effondré à moins de 28 dollars, du jamais-vu depuis 2003. Il a fallu cet effondrement des cours pour que la panique gagne les nations pétrolières, y compris les plus riches, devenues incapables de boucler leur budget. L’OPEP de retour au centre du jeu. Israël : John Kerry dénonce la colonisation. A trois semaines de son départ, le secrétaire d’Etat s’est départi de la retenue diplomatique pour blâmer le gouvernement Nétanyahou.

Israël : John Kerry dénonce la colonisation

Du fait de l’intensification de la colonisation, la solution des deux Etats est en péril. LE MONDE | | Par Marc Semo et Corine Lesnes (San Francisco, correspondante) En pleines fêtes de fin d’année, à trois semaines de la passation de pouvoirs à l’administration Trump, le 20 janvier 2017, à quoi bon revenir sur un dossier qui reste l’un des échecs les plus cuisants de Barack Obama ? Si Barack Obama s’est depuis longtemps désengagé du processus de paix, faute d’y voir des perspectives de succès tant que Benyamin Nétanyahou serait aux affaires en Israël, John Kerry, lui, s’est personnellement impliqué dans la recherche d’un compromis dès son arrivée à la tête de la diplomatie américaine en 2013.

Selon le New York Times,...