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Sanofi - Plans sociaux

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Sanofi confirme son plan de suppression de "300 à 400 postes" en recherche et développement. Le laboratoire français avait déjà annoncé en juin dernier son plan de départs visant à supprimer 1700 postes en Europe.

Sanofi confirme son plan de suppression de "300 à 400 postes" en recherche et développement

Sanofi taille dans ses effectifs. Le géant pharmaceutique français veut supprimer entre 300 et 600 postes dans la recherche et développement, a indiqué lundi matin la CGT à BFMTV, confirmant une information de France Inter. Selon Jean-Louis Peyren, coordinateur CGT, l’entreprise pourrait aller jusqu’à fermer son site de recherche à Strasbourg. Le syndicaliste est d’autant plus "inquiet" quand il voit "l'échec des essais cliniques du vaccin contre le Covid-19", très en retard sur celui de ses concurrents Pfizer/BioNTEch, Moderna ou AstraZeneca. Sanofi veut supprimer 1 700 emplois en Europe, dont un millier en France. Malgré un chiffre d’affaires en hausse grâce aux ventes d’antidouleurs lors de l’épidémie due au coronavirus, la direction de Sanofi a fait le choix de maintenir son plan d’économies.

Sanofi veut supprimer 1 700 emplois en Europe, dont un millier en France

Le grand groupe pharmaceutique français a décidé, vendredi 26 juin, la suppression de 1 700 emplois en Europe, dont un millier en France. Une réorganisation qui correspond à une « nouvelle stratégie », selon Olivier Bogillot, président de Sanofi France, et non à un plan social lié aux conséquences du Covid-19. Ce plan de départs, qui a été présenté aux partenaires sociaux européens vendredi matin, concerne un millier des 25 000 collaborateurs en France (sur 100 000 dans le monde), a précisé à l’Agence France-Presse (AFP) M. INFO JDD. Nouveau plan de départs chez Sanofi. Mis en cause, Sanofi dément avoir pratiqué du « ranking forcé » pour licencier. France Inter et le syndicat FO accusent le groupe pharmaceutique d’avoir pratiqué une politique consistant à sous-évaluer et à classer des salariés pour les licencier plus facilement.

Mis en cause, Sanofi dément avoir pratiqué du « ranking forcé » pour licencier

Le groupe pharmaceutique Sanofi a démenti, vendredi 9 juin, avoir pratiqué une politique consistant à sous-évaluer (pratique appelée « forced ranking » ou « ranking forcé ») et à classer des salariés pour les licencier plus facilement, avec des quotas fixés à l’avance, comme l’en accuse le syndicat FO. Dans une « mise au point » transmise à l’AFP après la diffusion d’une enquête de France Inter, le groupe affirme n’avoir « jamais pratiqué de ranking forcé », une pratique « qui n’a jamais été envisagée par l’entreprise ». « Si des dérives ont pu être observées, il s’agit d’initiatives individuelles contraires à nos valeurs et d’exceptions qui appellent toute notre vigilance », écrit l’entreprise. « Liste noire de salariés » M.

M. Sanofi première société française payée pour s’endetter. Gagner de l’argent en s’endettant.

Sanofi première société française payée pour s’endetter

Toutes les entreprises en rêvent, Sanofi l’a fait. Mardi 6 septembre, le laboratoire a été la première société française, et l’une des premières au monde, à emprunter des fonds à un taux négatif. Une situation aberrante rendue possible par la spectaculaire baisse des taux d’intérêt. Lire aussi : La délicate position de la BCE Lorsqu’ils s’endettent, particuliers et entreprises sont en principe tenus de rembourser le capital et de verser des intérêts.

Sanofi : la rémunération du nouveau patron Olivier Brandicourt passe mais ric-rac - L'Usine de la Santé. L’affaire Carlos Ghosn, le PDG de Renault dont la rémunération fait polémique, était de tous les esprits ce mercredi 4 mai.

Sanofi : la rémunération du nouveau patron Olivier Brandicourt passe mais ric-rac - L'Usine de la Santé

Et la présence devant le Palais des Congrès, où se tenait l’assemblée générale de Sanofi, d’une équipe du Petit Journal de Canal + chatouillant les actionnaires individuels sur leur futur vote concernant la rémunération du patron, n’a rien arrangé. Mais les actionnaires ont finalement voté à 63 % pour, et 37% contre, le salaire d’Olivier Brandicourt, le directeur général du numéro un français de la pharmacie.

Pas d'Etat au capital de Sanofi Il faut dire que son statut est différent de celui de Carlos Ghosn. 80% du capital de Sanofi est du flottant, 8% appartient à L’Oréal et 5% au fonds BlackRock. Sanofi va supprimer 600 postes sur trois ans. Pourquoi le patron de Sanofi déménage à Boston. Chris Viehbacher, le directeur général de Sanofi, déménage à Boston. Une décision avant tout familiale et personnelle qui "n'aura pas de conséquence sur le fonctionnement du laboratoire pharmaceutique", précise le groupe.

"Cela fait cinq ans que Chris Viehbacher vit dans l'avion" explique Sanofi. "Ce déménagement ne change rien". Il est vrai que le siège social reste rue de la Boétie à Paris. Sunrise, le projet qui effraie les salariés de Sanofi - Pharmacie. EXCLUSIF Selon le cabinet de conseil Syndex, qui représente les syndicats de Sanofi, le groupe pharmaceutique se prépare à lancer un vaste projet d’externalisation de sa recherche, qui inclut la création de start-up dédiées.

Sunrise, le projet qui effraie les salariés de Sanofi - Pharmacie

C’est un comité central d’entreprise mouvementé, qui s’est tenu le 9 janvier dernier, entre la direction et les représentants du personnel de Sanofi. Abordé lors de ces échanges, le projet au cœur de la réorganisation de la R&D entamée par Chris Viehbacher, le PDG, à son arrivée en 2009. Nom de code : Sunrise. C’est le cabinet d’expertise Syndex, qui accompagne les représentants des salariés dans leurs négociations avec la direction suite à l’annonce d’un nouveau plan de restructuration en France en juillet 2012, qui l’a révélé dans un rapport remis aux syndicats.

L’Usine Nouvelle a pu en prendre connaissance. Des partenaires académiques ou pharma, et des fonds d’investissements Pourquoi pas. Les syndicats craignent pour la recherche interne Gaëlle Fleitour. Un millier de salariés de Sanofi manifestent à Paris. Sur de nombreuses banderoles, ils ont barré le nom de Sanofi pour le remplacer par "Sanofric".

Un millier de salariés de Sanofi manifestent à Paris

Pour protester contre le projet de restructuration annoncé le 5 juillet, environ un millier de salariés du groupe pharmaceutique ont défilé sous la pluie depuis le siège du groupe dans le 8e arrondissement de Paris, en direction de l'Assemblée nationale, mercredi après-midi. Etape très remarquée, le cortège s'est arrêté devant la pyramide du Louvre le temps d'un "haka de la recherche", reprenant la danse guerrière traditionnelle des rugbymen de l'équipe néo-zélandaise des All Blacks.

Après PSA, Montebourg s'attaque à Sanofi. Le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a affirmé jeudi, devant les sénateurs, que Sanofi envisageait de supprimer "plusieurs milliers" d'emplois, alors que le groupe pharmaceutique n'a lui-même jamais communiqué officiellement sur l'impact social de ses projets de réorganisation.

Après PSA, Montebourg s'attaque à Sanofi

"Sanofi vient de débarquer à Bercy pour nous dire: nous envisageons plusieurs milliers de suppressions d'emplois", a déclaré au Sénat Arnaud Montebourg, au milieu de l'énumération des récents plans sociaux annoncés. >>> Sanofi soigne ses profits en sabrant ses effectifs en France Plan social "abusif" "Que ne l'avez-vous pas dit plus tôt ? Sanofi : pas de chiffrage sur les licenciements. Le plan de restructuration de Sanofi concernera-t-il, comme l'annoncent des syndicats, entre 1.200 et 2.500 postes ?

Sanofi : pas de chiffrage sur les licenciements

Difficile à savoir. Jeudi matin, la direction s'est refusé à donner un chiffrage officiel de suppressions d'effectifs lors d'un comité de groupe. Emploi : Les laboratoires multiplient les plans sociaux. INFOGRAPHIE - L'industrie pharmaceutique a annoncé 28 plans de sauvegarde de l'emploi (PSE) dans l'Hexagone pour la seule année 2011 Sanofi est loin d'être le seul laboratoire à réduire ses effectifs en France.

Emploi : Les laboratoires multiplient les plans sociaux

L'industrie pharmaceutique a annoncé 28 plans de sauvegarde de l'emploi (PSE) dans l'Hexagone pour la seule année 2011, indiquait en janvier le président du syndicat des fabricants de médicaments, le Leem, Christian Lajoux, également président de Sanofi en France. Outre les plans sociaux menés précédemment par le premier laboratoire français, numéro six mondial, la plupart des filiales des grands groupes pharmaceutiques étrangers ont réduit la voilure. Fin 2011, Pfizer et Novo Nordisk ont annoncé des baisses d'effectifs dans l'Hexagone.

En 2010, Merck et Lilly ont supprimé respectivement 800 et 250 postes. Expiration des brevets.