Insolite - PARIS () - Cherche testeuse de sextoys pour 1350€ par mois. Depuis lundi, la toile belge s'agite. Un site spécialisé dans la vente de produits érotiques à domicile a lancé une offre d'emploi pour le moins insolite. Passer votre journée à tester des sextoys et être payée pour ça. Vous en rêviez ? La société belge "SoftLove" le propose. Mais en quoi consiste ce poste ? Le site Clint.be relaie les propos de Nicolas Bustin cofondateur du site : « Notre testeuse recevra tous les deux jours quatre ou cinq nouveaux produits érotiques. Un travail qui ne se limitera pas aux sextoys explique Dhnet.be : « Notre testeuse recevra tout au plus une dizaine à une quinzaine de godemichés à tester par mois. Un travail avec des conditions plus qu'alléchantes : 1350€ par mois, un 13e mois, horaires flexibles, possibilité de travailler de chez soi et en couple !
Le profil recherché est celui d'une « femme dynamique et motivée, ouverte à la nouveauté, aimant le plaisir intime et possédant une bonne condition physique.» "La mort des DRH est programmée" prédit Eric Verhaeghe. L'Usine Nouvelle - Selon vous, l’entreprise 3.0 serait en cours d’émergence. En quoi consiste-t-elle ? Eric Verhaeghe - L’entreprise pyramidale avec un management à l’ancienne est un système mort et sans avenir. La raison de ce changement vient des nouveaux outils issus des technologies de l’information. Dans un futur proche, il ne sera plus possible de tout contrôler. L’exemple le plus parlant à ce sujet, ce sont les comptes Twitter d’entreprise. Aussi importants soient-ils, les réseaux sociaux d’entreprise sont un outil parmi beaucoup d’autres.
Demain, le réseau social d’entreprise sera l’outil informatique de base de l’entreprise. Aujourd’hui, vous le savez, les entreprises ont des réseaux sociaux mais il ne s’y passe pas grand-chose. En interne c’est possible. En quoi consiste un management agile ? C’est un management moins procédurier. Qu’est ce que cela devrait changer pour les salariés ? Leur responsabilisation est le maître mot. Je suis d’accord. Femme ingénieure. Une partie de poker pour décrocher un job. Ce n’est pas une première, mais ce genre de process de recrutement décalé fait toujours son effet : la Jeune Chambre économique de Beauvais (dans l’Oise) fait le buzz avec l’annonce d’un tournoi de poker-recruteur, qu’elle organisera en octobre 2012.
La nouveauté, c’est peut-être que l’Oise prévoit d’ouvrir la table de jeu à des candidats de fonctions différentes (l’an dernier, une SSII s’était quant à elle contentée de rassembler des informaticiens). En vue de cette soirée, entre une cinquantaine et une centaine de candidats - commerciaux, managers ou responsables logistiques et de travaux… - sera présélectionnée. En fonction de leur profil professionnel, évidemment, et non de leur niveau au poker. A leur côté, une dizaine de recruteurs viendra elle aussi « taper le carton » : chacun sa table et chacun ses candidats (ceux dont le CV correspond à l’offre qu’ils ont à proposer). Du coup, on peut se demander quel est l’intérêt d’une telle opération. Michel Holtz © Cadremploi.fr. Vente en ligne : Amazon prêt à créer mille emplois en Bourgogne. Tensions sociales de plus en plus vives à Pôle Emploi. Par Chine Labbé PARIS (Reuters) - Un demandeur d'emploi a menacé lundi de s'ouvrir les veines dans une agence Pôle Emploi à Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris auprès de la direction, dernière illustration d'un malaise de plus en plus grand lié à un taux de chômage élevé.
Cet incident intervient une semaine jour pour jour après la prise d'otage, pendant quelques heures, de deux responsables d'une agence Pôle Emploi dans le XIe arrondissement de Paris. Pour les syndicats, ces tensions sociales témoignent d'une situation économique "inédite dans le pays", mais aussi des difficultés de ce service public à accompagner les chômeurs. "Les demandeurs d'emploi n'ont pas d'espace de représentation, le seul endroit où ils peuvent exprimer leur désarroi, leur colère et éventuellement leur mécontentement, c'est bel et bien Pôle Emploi", a dit à Reuters Jean-Charles Steyger, représentant national du SNU-Pôle Emploi. Flash Eco : Grève/ Pôle emploi : faible mobilisation. Méfiez-vous des faux entretiens de recrutement ! La pratique des faux entretiens d’embauche est-elle courante ?
E.L. : Le phénomène existe. Cependant, il n’y a pas de chiffres précis. Il est rare que les candidats se rendent compte qu’ils ont en été victimes. Mais il faut bien être conscient que la crise pousse à une concurrence exacerbée entre les entreprises où parfois tous les coups sont pratiqués. Plusieurs types de faux entretiens sont possibles. Une société peut les faire passer elle-même. Face à une belle proposition, les candidats parlent naïvement relativement bien. A.F. : Les faux entretiens sont une réalité et la crise multiplie les risques. Personne n’imagine qu’il peut être victime d’un faux entretien.
Est-il facile pour une entreprise d’obtenir des informations stratégiques lors de ces faux entretiens ? A.F. : C’est un jeu d’enfants. E.L. : C’est tout le paradoxe de l’entretien. Quels sont les candidats les plus susceptibles d’être victimes d’un faux entretien ? Quels conseils donneriez-vous pour détecter un faux entretien ?