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Les alchimistes

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Comte de Saint-Germain. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Comte de Saint-Germain

Des informations de cet article ou section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans la bibliographie, sources ou liens externes (indiquez la date de pose grâce au paramètre date). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Le comte de Saint-Germain est un aventurier du XVIIIe siècle, probablement né entre 1690 et 1710 et mort à Eckernförde (Schleswig) en 1784. Jacques Coeur Alchimiste ? par Joelle Oldenbourg. Ceci est un dossier complet réalisé par Joëlle Oldenbourg qui a beaucoup travaillé sur la question des liens entre Jacques Coeur et l'alchimie, et aussi sur la mort de l'Argentier.

Jacques Coeur Alchimiste ? par Joelle Oldenbourg

Ses recherches sur le mystère de Cuers et de Jacques Coeur est toujours à élucider. Lorsque les Amis de Jacques Cœur m’ont demandé de rédiger un article sur Jacques Cœur et l’Alchimie dans la continuité de l’article écrit pour Histoire Médiévale de février 2004, j’ai hésité. Mes deux ouvrages, «Jacques Cœur, l’homme aux yeux d’émeraude » et « d’alchimique mémoire, Jacques Cœur » avaient pris en compte cette réalité qui échappe aux poids et mesure de la raison froide en intégrant la dimension alchimique du chevalier au cœur et à la coquille. Cela n’est pas toujours bien perçu. Pourquoi cette citation ? Tout d’abord, soyons clairs. Palais Jacques-Cœur. Il naît de la volonté du riche marchand Jacques Cœur de bâtir une « grand’ maison » dans sa ville natale mais l’argentier de Charles VII n’y habita jamais.

Palais Jacques-Cœur

Historique[modifier | modifier le code] En 1443, Jacques Cœur acheta 1 200 écus d'or le fief de la Chaussée[4], terrain de 5 000 m2 qui appartenait à Jean Belin, chanoine de la Sainte-Chapelle de Bourges, et deux maisons voisines qui dominaient la ville sur une centaine de mètres[5]. L'alchimie à Bourges - Roland Narboux. BOURGES CAPITALE DE L'ALCHIMIE ?

l'alchimie à Bourges - Roland Narboux

+ Images Avant propos: l'alchimie à Bourges censurée Les écrits sur Bourges et les alchimistes Une longue tradition de métallurgiste Quelques points de repère Le circuit alchimiste de Bourges La Cathédrale de Bourges vue par les alchimistes Bourges et le reste de la France Il faut savoir que Bourges et sa région dispose d'une véritable tradition dans l'art du feu.

Table d'émeraude. Planche représentant une version latine de la Table d’émeraude gravée sur un rocher dans une édition de l’Amphitheatrum Sapientiae Eternae (1610) de l’alchimiste allemand Heinrich Khunrath.

Table d'émeraude

La Table d’émeraude (Tabula Smaragdina en latin) est un des textes les plus célèbres de la littérature alchimique et hermétique. C’est un texte très court, composé d'une douzaine de formules allégoriques et obscures, dont la fameuse correspondance entre le macrocosme et le microcosme : « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ».

Selon la légende, elle présente l’enseignement de Hermès Trismégiste, fondateur mythique de l'alchimie, et aurait été retrouvée dans son tombeau, gravée sur une tablette d’émeraude. La plus ancienne version connue se trouve en appendice d’un traité arabe du VIe siècle. Historique[modifier | modifier le code] Hermès Trismégiste. Hermès Trismégiste.

Hermès Trismégiste

Hermès Trismégiste (en grec ancien Ἑρμῆς ὁ Τρισμέγιστος / Hermễs ho Trismégistos) est un personnage mythique de l'Antiquité gréco-égyptienne, auquel a été attribué un ensemble de textes appelés Hermetica, dont les plus connus sont le Corpus Hermeticum, recueil de traités mystico-philosophiques, et la Table d'émeraude. Les hermétistes, qui lui doivent leur nom, et les alchimistes se réclament de lui. Thot-Hermès[modifier | modifier le code] Les Grecs donnent le nom de leur dieu Hermès à la divinité égyptienne Thot, dont le culte se tient en Moyenne-Égypte à Khemenou qui devient Hermopolis Magna. Cette assimilation devient officielle sous les Ptolémées, comme en témoigne le décret de l'assemblée des prêtres égyptiens gravé sur la célèbre Pierre de Rosette (196 av. Pierre philosophale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pierre philosophale

La pierre philosophale (en latin : lapis philosophorum) est une hypothétique substance alchimique. Pour Louis Figuier, les alchimistes attribuaient à la pierre philosophale trois propriétés essentielles : changer les métaux vils en métaux précieux, comme l'argent (argyropée) ou l'or (chrysopée) ;guérir les maladies ;prolonger la vie humaine au-delà de ses bornes naturelles. « Si cet homme a le malheur de chercher la pierre philosophale, je ne suis pas surpris que de six mille livres de rente, il soit réduit à rien. Un philosophe qui a six mille livres de rente a la pierre philosophale. . — Voltaire à l'abbé Moussinot, 13 décembre 1737, Courtat, Les vraies lettres de Voltaire à l'abbé Moussinot, Paris, A.Lainé, 1875, p.93 - arch. pers.

The Alchymist, In Search of the Philosophers' Stone de Joseph Wright of Derby, 1771. Treize figures alchimiques décryptées d'Abraham le Juif - Forum du Phare Gnostique, Samaël Aun Weor. Dans les figures symboliques d'Abraham le Juif se trouvent toutes les opérations alchimiques qui conduisent l'étudiant gnostique jusqu'à la Résurrection Initiatique.

treize figures alchimiques décryptées d'Abraham le Juif - Forum du Phare Gnostique, Samaël Aun Weor

Les treize figures alchimiques du livre doré d'Abraham le Juif sont les suivantes : 1 Au milieu des nuées, Mercure tenant un Caducée et Saturne ailé avec dans ses mains une faux et sur la tête un sablier (importance du temps et allongement de la vie tant que nous ne violons pas la Loi). L'Ange de Saturne armé d'une faux s'apprête à couper les pieds de Mercure (séparation totale de l'éjaculation séminale ; fixation du Mercure, c'est-à-dire, emmagasinage de la liqueur séminale ; coupellation de l'Argent avec le Plomb, ce qui signifie travail avec l'Arcane AZF pour transmuter le Plomb de la personnalité en l'Or de l'Esprit). Chacun des sept Serpents vit dans sa caverne sacrée. Nicolas Flamel. Nicolas Flamel (vers 1330 ou 1340, peut-être à Pontoise – 22 mars 1418 à Paris) est un bourgeois parisien du XIVe siècle, écrivain public, copiste et libraire-juré[1].

Nicolas Flamel

Sa carrière prospère, son mariage avec Pernelle, une veuve ayant du bien, et ses spéculations immobilières lui assurèrent une fortune confortable, qu'il consacra, à la fin de sa vie, à des fondations et constructions pieuses.