Google ferme Google+ après avoir découvert une faille de sécurité. Au lieu de perdre de l'énergie à maintenir Google+, l'entreprise de Mountain View préfère fermer la version grand public de son réseau social.
L'intérêt pour les utilisateurs par rapport au risque encouru n'était pas raisonnable. Cela n’aura probablement pas les mêmes répercussions que l’affaire Cambridge Analytica qui a ébranlé Facebook, mais les tenants et les aboutissants sont exactement les mêmes : l’API (interface entre les profils et les applications) de Google+ avait une faille de sécurité qui laissait les développeurs accéder à des informations indiquées comme privées par l’utilisateur. Ces informations (nom, adresse email, métier, genre, âge) permettent de créer sans mal un profil publicitaire de l’utilisateur ciblé, tout comme un profil politique pour orienter des campagnes. Si Google affirme qu’il n’a connaissance d’aucun développeur ayant pris connaissance du bug et utilisé l’API à ces fins, sa solution reste radicale : fermer Google+. Peu d’utilisateurs : une aubaine ! Google Plus : déjà trois ans mais quel avenir ?
En ce début d’année 2014, Facebook avait fêté ses 10 ans et compte à l’heure actuelle plus de 1,2 milliards d’utilisateurs.
En quelque sorte précurseur dans le domaine, le réseau social de Mark Zuckerberg a rapidement séduit les foules. Face à la multiplication des alternatives, il est de plus en plus difficile de se faire une place au soleil. Google+ : un avenir dans le flou pour le réseau social. Le départ de Vic Gundotra, le créateur de Google+, va provoquer une cascade de changements au sein du moteur de recherche.
Larry Page, le CEO de Google, a beau avoir annoncé que l’entreprise allait continuer à investir dans son réseau social, dans les faits il semble clair que Google+ va rétrograder sur la liste des priorités. Les équipes en charge de Google+ (les branches Photos et Hangouts, notamment) vont être intégrées au sein de la division Android, dont les services sont étroitement connectés à ceux du réseau social. De fait, Google+ va se mêler de plus en plus au sein du système d’exploitation, plutôt que de bénéficier d’une certaine autonomie.
C’est aussi une manière pour l’entreprise de pousser tous ses talents à améliorer la plateforme mobile. Media Reboot : Episode 1 en mode Google+ Matrix. Eric Briones, alias Darkplanneur, est un expert du digital.
Avec son site Darkplanneur.com, Eric Briones fait figure de référence dans le domaine de la communication et des médias numériques. Publicitaire expérimenté et débusqueur de tendances web, cet analyste hors pair te conduira au cœur des problématiques, des interactions et des actualités qui façonneront le web d'aujourd'hui et de demain. Découvre vite ses chroniques dans Media Reboot ! Google+ Google+ passe en deuxième position des réseaux sociaux les plus populaires ? Pas tout à fait.
En dépit de nombreux échecs dans le domaine du réseau social (Lively, Buzz...), les équipes de Mountain View se sont accrochées et ont sorti Google+ en septembre 2011.
Et si l'acharnement à tenter de percer sur ce marché peut parfois surprendre, il est surtout dû à l'énorme manne financière qu'une telle plateforme peut générer en termes de revenus publicitaires. De quoi motiver les troupes. Deux ans plus tard, Google+ est encore régulièrement tourné en ridicule et comparé à une ville fantôme ou un cimetière. Sauf qu'en réalité et si l'on se base sur les chiffres du cabinet GlobalWebIndex, le réseau aurait maintenant dépassé Twitter en nombre d'utilisateurs actifs. Du coup, il ne resterait plus que Facebook (largement) en tête. TwooglePlus : alimenter son compte Google+ grâce à Twitter. +1 Button - Google+ Platform. Documentation You can add and customize the +1 button to meet the needs of your website, such as modifying the button size and load technique.
By adding the +1 button to your website, you allow your users to recommend your content to their circles and drive traffic to your site. Google Plus pourrait talonner Facebook assez rapidement. Is Google+ A Failure? It has become customary to compare social networks to each other.
Immersing ourselves in their statistics is something we all seem to enjoy in order to figure out what our next move should be. Always staying one step ahead of the crowd is of course something every company would like to do since that could potentially mean a lot of exposure and revenue if things are done right.
But sometimes things can be interpreted wrong, and before you know it, you’re left in the dust while everyone else is actually following another trail. Forte croissance de Google+ en France. Google+ connaît un important essor en France.
D'après les chiffres publiés, lundi 24 octobre, par Nielsen-Mediamétrie, le réseau social de Google compte, au mois de septembre, 3,04 millions de visiteurs uniques. Au mois de juillet, Google+ ne recensait que 421 000 de visiteurs, contre 605 000 un mois plus tard. Google+ ouvre ses pages profils aux marques. Le moteur de recherche lance ses profils Google+ dédiés aux entreprises.
Ces pages business bénéficieront d'un meilleur référencement dans le moteur. Chose promise, chose due. Cinq mois après le lancement de Google+, le réseau social a officialisé le lancement de pages pour les entreprises et autres organisations. Le groupe américain avait jusqu'à présent demandé aux professionnels de patienter avant de créer leur profil officiel sur Google+. Ces pages, baptisées "Google+ Pages", se présentent comme des profils standards que les utilisateurs du réseau social peuvent suivre et ajouter dans leurs cercles de connaissances.
Le service est lancé avec une vingtaine d'entreprises américaines. Le lancement des pages business s'accompagne d'un référencement des profils de marques dans le moteur de recherche du groupe. Can We Ever Digitally Organize Our Friends? « Design « kev/null. In Design , Technology on 15 July 2011. Google+ : présentation en images du nouveau service de Google.
Image 1 sur 10 Nouvelle tentative dans les réseaux sociaux Google est bien décidé à barrer la route à Facebook.
Pour cela, il a officialisé le 28 juin son nouveau service, en accès limité. Sa nouvelle plate-forme, Google+, s’appuie directement sur d’autres services de Google, en particulier en termes de recherche, d’agrégation de contenus et de communication en ligne. La page d’accueil de Google+ se décompose en plusieurs zones : au centre, un flux principal des contenus mis en ligne par les membres des « cercles » de l’utilisateur. Quant aux « Sparks » ou Déclics dans la version française, il s’agit des centres d’intérêt définis par l’internaute.