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Déficit public

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Graphique, Xerfi - Plus de 25 ans de déficits publics...et ce n'est pas fini ! - Le graphique. Quel est le point commun entre la France, l’Italie et la Slovaquie ? Et bien, sur les 20 pays ayant adopté l’euro, ce sont les seuls qui, depuis 1995, n’ont jamais été capables de présenter un seul budget positif. Pour la France, il faut remonter en 1974, soit un bond de 50 ans en arrière, pour en trouver trace. Il faut entendre par solde public le solde de l’ensemble des administrations publiques regroupant l’État, les collectivités locales et la Sécurité sociale. Afin de pouvoir établir des comparaisons sur un temps long et entre pays, il convient de présenter ce solde en pourcentage du PIB et comparer la France à la médiane des 19 autres États membres de la Zone euro. La médiane est la mesure statistique séparant en deux parties égales un ensemble ; la moitié inférieure se situe en dessous de la valeur de la médiane, l’autre au-dessus. 2000-2009 : les comptes se dégradent L’explosion de la bulle internet en 2000 casse la dynamique et dégrade les comptes un peu partout.

Déficit : Attac apporte un «chèque» de 60 milliards d'euros à Bruno Le Maire. Déficit public : comment le gouvernement compte-t-il trouver 10 milliards d'euros supplémentaires cette année ? En plus des 10 milliards d'euros d'économies déjà annoncés en février, l'exécutif va devoir faire de nouvelles coupes budgétaires et dégager des recettes pour parvenir à son nouvel objectif de déficit pour 2024, à 5,1% du PIB. Publié le 12/04/2024 06:02 Mis à jour le 12/04/2024 06:02 Temps de lecture : 3 min La maîtrise du déficit public s'annonce ardue. L'exécutif a annoncé, mercredi 10 avril, qu'il anticipait désormais un déficit public de 5,1% du produit intérieur brut (PIB) en 2024, au-dessus des 4,4% initialement prévus. Cette nouvelle estimation résulte du fort dérapage enregistré sur l'année 2023, avec un déficit qui a atteint 5,5% du PIB au lieu des 4,9% initialement projetés.

Pour parvenir à cet objectif corrigé, le ministère de l'Economie et des Finances a prévenu qu'il devrait trouver 10 milliards d'euros supplémentaires cette année, en plus des 10 milliards d'euros d'économies déjà annoncés en février. Demander un "effort" de cinq milliards aux administrations de l'Etat. Déficit public : "la tentation" d'une taxation des superprofits fait son chemin au sein de la majorité. Après les prises de position de François Bayrou et de Yaël Braun-Pivet, l'exécutif s'interroge sur cette piste afin d'augmenter les recettes de l'Etat. Mais le parti d'Emmanuel Macron reste divisé sur la question. Publié le 28/03/2024 16:29 Mis à jour le 29/03/2024 10:08 Temps de lecture : 4 min L'annonce était attendue. Redoutée, même. L'Insee a révélé, mardi 26 mars, que le déficit public de la France s'établissait à 5,5% du produit intérieur brut (PIB) en 2023, soit 0,6 point de plus que les prévisions du gouvernement.

La mauvaise nouvelle, causée par des "recettes fiscales bien moins élevées que prévu", selon le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, pousse le camp présidentiel à s'interroger. "J'attends de voir des propositions crédibles", a lancé Gabriel Attal, mercredi soir, sur TF1. "Je suis partisane de regarder lorsqu'il y a des superdividendes, des superprofits, des rachats d'actions massifs par les entreprises.

" Un an et demi plus tard, le MoDem défend toujours cette idée-là. Le déficit public de la France atteint 5,5% du PIB en 2023 selon l'Insee, plus que les 4,9% initialement prévus par le gouvernement. L'exécutif avait prévenu que le déficit des finances publiques serait "significativement" plus élevé que prévu, notamment à cause du "contexte international". Bruno Le Maire pointe "des recettes fiscales bien moins élevées que prévu". Publié le 26/03/2024 07:36 Mis à jour le 26/03/2024 08:31 Temps de lecture : 2 min Les craintes du gouvernement se sont révélées fondées. Le déficit public de la France a atteint 5,5% du produit intérieur brut (PIB) sur l'année 2023, selon les chiffres publiés par l'Insee mardi 26 mars. L'écart entre les dépenses et la production de richesses nationale était initialement prévu à 4,9%, mais ce pronostic avait été revu à la hausse ces dernières semaines.

Le ministre délégué chargé des Comptes publics, Thomas Cazenave, avait expliqué sur franceinfo ce dérapage attendu par le "contexte international", avec "le ralentissement chinois, la guerre en Ukraine" ou encore "le ralentissement de nos partenaires européens", notamment l’Allemagne. Brexit, Frexit, fin de la Zone Euro : À quoi doit-on s’attendre ? France : Déficit budgétaire creusé à fin juillet. (CercleFinance.com) - Le déficit du budget de l'Etat français s'est creusé à fin juillet, à la fois en raison d'une augmentation des dépenses publiques et d'une contraction des recettes.

Le solde général d'exécution s'est ainsi établi à -169 milliards d'euros à fin juillet, contre -131,2 milliards un an plus tôt, selon des données publiées vendredi par le Ministère chargé des comptes publics. Au 31 juillet, les dépenses du budget général ont atteint 277,2 milliards d'euros contre 264,2 milliards à fin juillet 2022, soit une hausse de 13 milliards. Bercy explique cette augmentation par un versement plus important par rapport à 2022 à la caisse de la dette publique (CDP) au titre de l'amortissement de la dette Covid de l'Etat. Le gouvernement évoque aussi les décaissements effectués au titre des dispositifs de soutien aux ménages de l'effet de la hausse des taux d'intérêt sur le remboursement de la dette. Copyright (c) 2023 CercleFinance.com. Tous droits réservés. Le gouvernement veut faire 10 milliards d’euros d’économies. « Au moins dix milliards d’euros. » C’est ce que le gouvernement compte économiser pour redresser des comptes publics d’ici 2027, a annoncé lundi 19 juin Bruno Le Maire à l’ouverture des « assises des finances publiques », à Bercy.

Ces économies devront être réalisées dans les domaines de la santé, des aides au logement et à l’emploi, ainsi qu’avec la fin progressive des avantages fiscaux pour les énergies fossiles, a précisé le ministre de l’économie et des finances. Après avoir échappé aux fourches caudines de l’agence S&P Global, qui a maintenu la note de solvabilité française, l’exécutif entend réaffirmer son sérieux budgétaire et tourner la page des dispendieuses mesures de soutien du « quoi qu’il en coûte » face aux crises sanitaire et énergétique. « Maintenant que nous revenons à la normale, qui comprendrait que nous continuions à dépenser autant alors que ces deux grandes crises (…) sont derrière nous ?

« Pas de hausse d’impôts » Le Monde Guides d’achat Gourdes réutilisables Lire. 50 ans de déficits publics : les vertiges du laxisme on Vimeo. Dette : Fitch abaisse la note de la France à «AA-», citant les mouvements sociaux et « l'impasse politique » Carton jaune. L’agence de notation Fitch a abaissé vendredi d’un cran la note souveraine de la France à « AA- », invoquant les tensions sociales liées à la réforme des retraites ainsi que des perspectives de croissance moins élevées qu’anticipé.

«L'impasse politique et les mouvements sociaux (parfois violents) constituent un risque pour le programme de réformes de Macron», écrit l'agence de notation dans un communiqué qui a annoncé la dégradation de la note française d'un cran. Il y a six semaines, le gouvernement adoptait définitivement son projet de réforme des retraites prévoyant un report de l'âge légal de 62 à 64 ans, grâce à l'appui de l'article 49-3 de la Constitution qui permet de faire passer un texte sans vote au Parlement.

Cette décision a entraîné un net durcissement de la contestation, et plusieurs journées de manifestations violentes sur tout le territoire, rappelant l'épisode des gilets jaunes à partir de 2018. Moody's attendu le 2 juin. France: le déficit public ramené à 6,5% du PIB en 2021 et la dette à 112,9% selon l'Insee. Le déficit de l'État français a presque doublé en 2020 en raison de la crise sanitaire. C'est "le déficit budgétaire le plus élevé de notre histoire contemporaine. " Le déficit de l'Etat français a presque doublé l'année dernière, marquée par la crise sanitaire et les dépenses considérables mobilisées par les pouvoirs publics pour soutenir l'économie, a indiqué mercredi 20 janvier le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, lors d'une audition par la commission des Finances de l'Assemblée nationale.

Le déficit de l'Etat – hors périmètre des collectivités locales et de la Sécurité sociale – s'est ainsi creusé de 85 milliards d'euros, passant de près de 93 milliards l'an dernier à 178,2 milliards d'euros. C'est aussi 30 milliards d'euros de plus que le déficit enregistré en 2009 lors de la crise financière, a précisé Bruno Le Maire. Pour faire face à l'épidémie, l'Etat a engagé 44,1 milliards de dépenses supplémentaires, dont 41,8 milliards de dépenses d'urgence, selon des chiffres de Bercy.

Le prélèvement à la source aggrave le déficit budgétaire de la France. Le déficit budgétaire a atteint 76,1 milliards en 2018. La France émettra 200 milliards d'euros de dette à moyen et long terme en 2019, un record. PARIS (Reuters) - La France portera son programme d'émission de dette à moyen et long terme nets des rachats à 200 milliards d'euros en 2019, un montant record en nominal et supérieur de cinq milliards à celui prévu dans le projet de loi de Finances présenté en septembre pour tenir compte de l'impact des mesures annoncées par Emmanuel Macron en réponse au mouvement des "Gilets jaunes". Ce programme, qui sera complété par 21,5 milliards d'euros d'autres ressources, se compare à celui de 195 milliards d'euros de 2018. Il servira à financer un déficit budgétaire prévisionnel atteignant désormais 107,7 milliards d'euros et à rembourser 130,2 milliards d'euros de dette à moyen et long terme arrivant à échéance, compte tenu d'une variation de trésorerie de -1,3 milliard d'euros, précise l'organisme chargé de la gestion de la dette de l'Etat français dans un communiqué.

S'agissant de la dette à court terme (BTF), l'AFT confirme que son encours devrait augmenter de 15 milliards d'euros. Economie française : le spectre des 3 % de déficit en 2019 ressurgit. Alors que la France tablait sur 2,4 % de déficit l’an prochain, cette prévision de déficit va augmenter, du fait notamment d’un changement de traitement comptable de la SNCF. C’est un élément dont le gouvernement et Emmanuel Macron se seraient bien passés. Selon les informations du Monde, le déficit public pourrait être proche des 3 % du produit intérieur brut (PIB) en 2019. Loin des objectifs envoyés par Bercy à la Commission européenne au printemps, et qui prévoyaient 2,4 % de déficit en 2019, après 2,3 % en 2018.

Une difficulté pour la France qui a eu tant de mal à sortir de la procédure pour déficit excessif en le maintenant sous la barre des 3 % en 2017 et 2018. Lire aussi : Le déficit de la France est « dans les clous » des critères de Maastricht, pour la première fois en dix ans Mais un communiqué de l’Insee, paru jeudi 6 septembre, vient tout remettre en cause. Mais ce n’est pas tout. Dérapages Lire aussi : Nouveau dérapage en vue pour la dépense publique en 2019. Le déficit public de la France attendu sous les 3% Cela devrait être mieux qu'attendu. 2,9%, 2,8% ou 2,7%? L'Insee annoncera lundi le chiffre du déficit public atteint en 2017, qui devrait consacrer le retour de l'Hexagone sous la barre des 3% exigée par les traités européens, après dix ans de dérapage budgétaire. "On sera significativement en dessous des 3%" du produit intérieur brut (PIB), a assuré mi-mars le ministre de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire, mettant fin au peu de suspense qui subsistait sur la capacité de la France à tenir ses engagements.

Interrogé sur le niveau exact de déficit qui pourrait être atteint, le locataire de Bercy a évoqué une fourchette comprise entre 2,7% et 2,8%, soit 0,1 à 0,2 point de mieux que les 2,9% officiellement attendus par le gouvernement. Rentrées fiscales Pour atteindre son objectif, le gouvernement peut déjà compter sur les bons résultats constatés concernant le budget de l'Etat. Lauriers (avec AFP) Bruxelles reste dubitative sur la réduction du déficit public français. Le Monde | • Mis à jour le | Par Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen) Bruxelles persiste et signe. Dans ses prévisions économiques d’hiver, publiées jeudi 4 février, la Commission européenne confirme ce qu’elle avait déjà pointé dans ses prévisions d’automne, en novembre 2015.

La France, à politiques inchangées, ne tiendra pas son objectif de réduction du déficit public sous la barre des 3 % de son produit intérieur brut (PIB) en 2017. Selon Bruxelles, il sera encore de 3,4 % du PIB en 2016 et, surtout, de 3,2 % en 2017, alors que Bercy vise un déficit de 3,3 % cette année et de moins de 3 % en 2017. De son côté, le commissaire européen aux affaires économiques, Pierre Moscovici, affirme qu’« avec de la volonté politique et des mesures appropriées la France peut tenir son engagement d’un déficit public sous les 3 % de son PIB en 2017 ».

Début 2015, la France s’est pourtant engagée à revenir « dans les clous » du pacte de stabilité et de croissance en 2017. Le moteur allemand. Le déficit budgétaire de la France en baisse de 3 milliards d'euros. > > Le déficit budgétaire de la France en baisse de 3 milliards d'euros Le ministère du Budget a annoncé les chiffres du solde général d'exécution du budget de la France. D'après Bercy, à fin mars, le déficit budgétaire s'établissait à 28 milliards d'euros, contre 31 milliards à la même période en 2013. Ce chiffre provient de recettes en hausse (73,7 milliards pour 2014 contre 69,6 en 2013) de 4,1 milliards d'euros. Pour Bercy, il s'agit bien sûr d'une "évolution positive". Si les recettes sont en hausse, les dépenses sont également en baisse de 1,5 milliard d'euros pour cette même période mars 2013 - mars 2014. Le solde des comptes spéciaux s'établit quant à lui à -13 milliards d'euros en mars contre -10,4 milliards à fin mars 2013.

Crédits photos : PublicDomainPictures / Pixabay.com. Comment la France escamote 120 milliards d’euros de sa dette | R. Déficit : l'exécutif a-t-il oublié 20 milliards ? La polémique. Qui a raison ? Depuis mardi matin, gouvernement et opposition se livrent à une véritable bataille de chiffres au sujet du déficit public. Selon les calculs de plusieurs députés UMP et UDI, rendus publics dans un document, le trou devrait se creuser d'environ 20 milliards d'euros supplémentaires en 2013, par rapport aux prévisions du gouvernement.

Le dit gouvernement, pour tenir ses objectifs européens (déjà assouplis en avril dernier), doit arriver à un déficit de 3,7% du PIB à la fin de l'année, soit un peu plus de 68 milliards d'euros. >>> Qui dit vrai ? Ce que prédit l'opposition. Ce que prédit le gouvernement. Entre 15 milliards et 8 milliards, qui a raison ? >>>La somme se situe donc à mi-chemin entre les deux versions. Mais c'est sans compter sur la réaction des marchés, qui pourraient encore creuser la note. Ce que prédit l'opposition. Ce que prédit le gouvernement. Qui a raison ? Que penser des prévisions de l'opposition ? Que penser de la réponse du gouvernement ? L'Etat ? Un déficit à 16 %, Editoriaux. Léger recul du déficit du budget de l’Etat en 2011. Le déficit du budget de l'Etat français, principale composante du déficit public avec les comptes sociaux et ceux des collectivités locales, s'est établi à 12,5 milliards d'euros en janvier contre 13,4 milliards un an plus tôt, selon les données publiées vendredi par le ministère du Budget.

Sur l'ensemble de l'année 2011, il s’est établi à 90,8 milliards d'euros en 2011 contre 148,8 milliards en 2010. En 2011, le déficit public aura été de 5,4% et peut-être même 5,3% du PIB au lieu de 5,7% envisagé en loi de finances, a déclaré fin janvier le président Nicolas Sarkozy. La France s'est engagée à réduire le déficit public à 4,5% du PIB fin 2012 pour revenir en 2013 à la limite européenne de 3%. Hausse des dépenses et des recettes Les dépenses (budget général et prélèvements sur recettes) atteignent 32,8 milliards en janvier contre 26,3 milliards un an plus tôt. Les recettes (nettes des remboursements et dégrèvements) s'établissent à 23,4 milliards d'euros contre 20,5 milliards un an plus tôt. Déficit de l'Etat : Paris devrait tenir son objectif, Actualités. Le déficit budgétaire ressort à 61,4 milliards d'euros fin avril | Économie.