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Allemagne

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Angela Merkel, VRP de l'Allemagne et voix de l'Europe à l'étranger. L’Allemagne a versé 86 milliards d’euros pour sauver la zone euro. Allemagne: grand marchandage autour du salaire minimum. Alors qu'elle n'est encore qu'en cours d'élaboration, la future loi introduisant un salaire minimum en Allemagne va-t-elle être vidée de sa substance?

Allemagne: grand marchandage autour du salaire minimum

En tout cas, les appels du pied ne manquent pas outre-Rhin, le patronat ayant toujours été défavorable à cette mesure consentie par la CDU d'Angela Merkel pour pouvoir établir une grande coalition gouvernementale avec le SPD. "Le salaire minimum va être un vrai frein sur le marché du travail pour les plus faibles, par exemple pour les chômeurs de longue durée ou ceux qui n'ont jamais travaillé", a prévenu Ingo Kramer, président de la fédération patronale BDA, mardi 4 mars. La fédération HDE du commerce de détail à jugé elle, le 29 janvier dernier, que cette mesure va mener bon nombre de petits commerçants à la ruine, surtout dans des régions défavorisées comme l'Est du pays. "Cela aura des conséquences pour l'approvisionnement de proximité et pour le marché du travail dans ces régions", prévient-elle. Les stagiaires et apprentis exclues. Youtube.

Indemnités de guerre

Angela Merkel accepte de mutualiser la dette... en Allemagne - ZONE EURO. Un éclatement de la zone euro coûterait très cher à l'Allemagne. Le ministère allemand des Finances craint que son pays soit confronté à une importante crise économique et une montée en flèche du chômage en cas d'éclatement de la zone euro, affirme dimanche l'hebdomadaire Spiegel.

Un éclatement de la zone euro coûterait très cher à l'Allemagne

Selon une étude de ce ministère, la première année après un effondrement de la zone euro pourrait voir l'économie allemande se contracter jusqu'à 10%, indique le magazine allemand dans son édition à paraître lundi. Le chômage pourrait grimper pour affecter jusqu'à cinq millions d'habitants, d'après le même scénario. En mai, le nombre total de chômeurs s'élevait à 2,855 millions, à 6,7% des actifs, un recul par rapport au mois d'avril. "Par comparaison avec de tels scénarios, un sauvetage, aussi coûteux qu'il soit semble un moindre mal", a expliqué un responsable non identifié du ministère des Finances allemand cité par le Spiegel. L'industrie allemande en grève pour réclamer une hausse des salaires. Voilà près de dix ans que les salariés allemands se serrent la ceinture, notamment dans l'industrie.

L'industrie allemande en grève pour réclamer une hausse des salaires

Et bien c'est désormais fini. Ils sont désormais bien décidés à profiter de la croissance robuste du pays. Quitte à faire grève. Le modèle allemand est-il si enviable? Angela Merkel est à Paris ce lundi pour présider, avec Nicolas Sarkozy, le 14e conseil des ministres franco-allemand.

Le modèle allemand est-il si enviable?

Elle devrait à cette occasion afficher son soutien au chef de l'Etat qui, de son côté, ne cesse de faire l'apologie de l'Allemagne pour légitimer ses réformes économiques - bouclier fiscal hier, réforme de l'ISF, renforcement de l'apprentissage, TVA sociale, accords compétitivité-emploi aujourd'hui et règle d'or budgétaire demain. "L'Allemagne revient si souvent dans le discours politique que l'on peut se demander si la présidentielle ne sera pas un référendum sur le modèle économique allemand", écrit sur son blog le rédacteur en chef adjoint du Figaro Pierre Rousselin.

Ces 5 omissions de Nicolas Sarkozy sur l'Allemagne - Présidentielle 2012. L'Allemagne, un pays en crise ?

Ces 5 omissions de Nicolas Sarkozy sur l'Allemagne - Présidentielle 2012

Avec des exportations record, un excédent commercial de 150 milliards d'euros en 2010, un "pacte national pour l'apprentissage" qui bénéficie à de nombreux jeunes, il fait plutôt figure de modèle. Mais le miracle économique, chanté par le chef de l'Etat français, cache une autre réalité, plus dure, et touchant des millions d'Allemands. 1. L'Allemagne responsable de la crise en zone euro? L'Organisation internationale du travail (OIT) a épinglé la politique allemande de compétitivité par les salaires, y voyant "la cause structurelle" de la crise en zone euro, dans un rapport publié mardi.

L'Allemagne responsable de la crise en zone euro?

"L'amélioration de la compétitivité des exportateurs allemands est de plus en plus identifiée comme la cause structurelle des difficultés récentes dans la zone euro", souligne l'institution onusienne basée à Genève, qui critique notamment les réformes engagées en 2003 par le gouvernement Schröder. Ces réformes ainsi que les gains de compétitivité de l'économie allemande sont régulièrement présentés par Berlin comme un modèle à suivre par les autres pays.

Le président français Nicolas Sarkozy a notamment vanté le modèle allemand ces dernières semaines. L'OIT y voit au contraire un frein à la croissance européenne. Marasme économique généralisé. Consommation et exportations ont soutenu le PIB allemand en 2011. WIESBADEN (Reuters) - L'Allemagne a moins souffert de la crise de la dette que ses partenaires de la zone euro l'an dernier, la croissance de son produit intérieur brut (PIB) ayant été soutenue par les exportations, aussi bien que par la demande intérieure.

Consommation et exportations ont soutenu le PIB allemand en 2011

Toutefois, de récents indicateurs économiques annoncent un ralentissement de la croissance au début de l'année 2012. Le PIB a crû de 3%, selon les données provisoires de l'Office fédéral des statistiques publiées mercredi, un chiffre en retrait par rapport à la croissance de 3,7% de 2010 - la plus rapide depuis la réunification - mais parfaitement en ligne avec les attentes des analystes.

La croissance 2011 a été essentiellement menée par les exportations et une forte demande intérieure, précise l'Office. Euro : et si les Allemands jouaient plus fin qu'on ne croit ? L'attitude allemande dans les événements monétaires récents est intrigante.

Euro : et si les Allemands jouaient plus fin qu'on ne croit ?

L'Allemagne n'a aucun intérêt à l'explosion de l'euro. Le mark ressuscité augmenterait immédiatement par rapport au dollar, donc au yuan, ainsi qu'aux autres devises européennes. Les exportations allemandes, qui représentent 40% du PIB et le quart des emplois allemands, seraient donc gravement atteintes. Même si elles sont moins sensibles que d'autres à la compétitivité prix, disposant d'une marge solide de compétitivité hors prix, elles pâtiraient fortement d'une réévaluation de 20% ou plus du deutsche mark. Or, ce sont les atermoiements allemands vis-à-vis d'une plus grande intégration qui entretiennent et amplifient le doute sur la monnaie européenne.

Peut-on penser que c'est uniquement pour des raisons de politique intérieure, pour satisfaire les eurosceptiques qui restent minoritaires en Allemagne, réaliser leur rêve du retour au deutsche mark, que la chancelière renâcle à ce "plus d'Europe" ? Zone euro : les marchés s'attaquent à l'Allemagne. Si même l' Allemagne n'est plus épargnée par les marchés, il y a de quoi s'inquiéter pour l' avenir de la zone euro. C'est en tout cas ce qui ressort des commentaires d'économistes après l'adjudication ratée de titres de dette allemands mercredi : pas moins de 40 % des titres mis sur le marché par le gouvernement allemand n'ont en effet pas trouvé preneur.

Cette opération ne peut être considérée comme un échec. Le rendement du Bund allemand (emprunt d'Etat) se situe en effet autour de autour de 2,15 % vendredi, en hausse de 0,25 points sur une semaine. Il reste ainsi inférieur au niveau de l'inflation dans la zone euro (autour de 3 % sur l'année). Mais cette opération décevante marque un tournant dans la perception du risque par les investisseurs. Avant de décréter l'Allemagne "contaminée" par la crise, reste encore à voir si ce mouvement de défiance se confirme au cours des deux ou trois prochaines adjudications. >> Lire "Réformer la BCE, seule solution pour répondre à la crise ? " Erreur de la banque en votre faveur - Europe1.fr - L'édito économique. L'Allemagne traîne toujours ses "bad banks", et leurs actifs à risque - Flash actualité - Economie - 11/09/2011.

Berlin pourrait diviser par deux sa prévision de croissance 2012 - Economie. BERLIN (Reuters) - Le gouvernement allemand s'apprête à réduire quasiment de moitié sa prévision de croissance pour le pays, apprend-on mercredi au sein de la coalition au pouvoir.

Berlin pourrait diviser par deux sa prévision de croissance 2012 - Economie

D'après ces sources, le ministre allemand de l'Economie Philipp Rösler pourrait réviser sa précédente projection d'une croissance de 1,8% en 2012 à environ 1,0%, tout en abaissant sa prévision de croissance pour 2011 de 3% à 2,9%. Le gouvernement doit dévoiler jeudi ses nouvelles projections de croissance, sur fond de craintes que la première économie de la zone euro ne ralentisse brutalement en raison notamment de la crise de la dette qui secoue la région.

Avec une telle révision, le gouvernement se rapprocherait des prévisions de croissances des principaux instituts économiques du pays, qui ont réduit la semaine dernière leurs prévisions de croissance à tout juste 0,8% pour 2012, après 2,9% cette année. Gernot Heller et Klaus Lauer, Natalie Huet pour le service français, édité par Danielle Rouquié. Que reste-t-il quand l'Allemagne fait défaut ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Edouard Tétreau, associé-gérant de Mediafin, professeur à HEC et créateur du site www.etatsunisdeurope.com Si le défaut était une chanson, ce serait le tube de l'été.

Que reste-t-il quand l'Allemagne fait défaut ?

De la Grèce aux Etats-Unis en passant par l'Irlande, l'Espagne, l'Italie, le Portugal, il n'est question que de cela : défaussera, défaussera pas ? Qui va tomber le premier : le plafond de la dette américaine ou les finances délabrées de l'Etat grec ? Est-ce le dollar qui ne vaudra bientôt plus rien ou l'euro ? Ou les deux ? Le disque semble rayé. 185% – L’énorme dette cachée de l’Allemagne… une bombe - wikistrike.over-blog.com. Coup de frein en vue sur la croissance. Monday, July 07, 2014 11:31 AM GMT Le plongeon inattendu de la production industrielle en Allemagne en mai a envoyé lundi un très mauvais signal pour la croissance de la première économie européenne au deuxième trimestre.

Selon l'Office fédéral de statistiques Destatis, la production industrielle dans le pays a diminué de 1,8% en mai par rapport à avril, en données corrigées des variations saisonnières. "Une mauvaise surprise", a réagi dans une note Ralph Solveen, analyste de Commerzbank. D'après le consensus réalisé par l'agence Dow Jones Newswires, les analystes escomptaient en moyenne un surplace par rapport à avril. Cela "n'augure rien de bon pour la croissance au deuxième trimestre", juge Evelyn Herrmann, de BNP Paribas. Destatis a également révisé en baisse le chiffre d'avril, mois où la production industrielle est finalement ressortie en repli de 0,3%, alors qu'une hausse de 0,2% avait été annoncée précédemment. L'Allemagne, champion d'Europe de la dette devant l'Italie et la France en 2010 selon les statistiques d'Eurostat.

Et le champion d'Europe de la dette, en valeur, est... l'Allemagne. Avec une dette publique qui s'élève à 2079 milliards d'euros, soit 83,2% de son PIB, l'économie la plus performante de la zone euro détrône l'Italie et devient le troisième pays le plus endetté du monde. Plombée par les plans de relance à l'économie votés en 2010 et par l'aide accordée aux pays en crise de la zone euro (qui représente 6 milliards d'euros pour la Grèce sur l'exercice 2010), la dette publique allemande a bondi de près de 10 points de PIB par rapport à 2009. Avantage déloyal avec les bas salaires. L'Allemagne reconnaît que les bas salaires sont un "avantage déloyal" Les excédents commerciaux records enregistrés par l'Allemagne, de 198 milliards d'euros en 2013, sont-ils dus à des "pratiques déloyales"?

Le secrétaire d'Etat allemand aux affaires européennes, Michael Roth, l'affirme, et reconnaît que les bas salaires favorisent la compétitivité allemande. Alors que la Commission européenne examine les excédents allemands, le secrétaire d'Etat social-démocrate reconnaît les torts de son pays. "Des déséquilibres sont apparus dans l'Union européenne et nous avons le devoir de les corriger. Ce n'est pas seulement le devoir des pays en déficit mais aussi celui de l'Allemagne", a-t-il déclaré, ce jeudi 21 février.

La limite européenne de 6% dépassée depuis 2007 Sur ce sujet, les sociaux-démocrates s'opposent aux conservateurs et à Angela Merkel, qui défend sa politique d'excédent commercial.