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Les courants théoriques

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Réseaux et histoires. 1 .

Réseaux et histoires

Network-domain (NDT). 2 . Dans le langage de l’analyse des réseaux sociaux, une dyade est un ensemble de deux entités et du (...) 1Cet article explore différentes formes persistantes de liens entre identités, c’est-à-dire les relations sociales et les réseaux constitués par ces dernières. Les identités recherchent le contrôle à travers leurs efforts pour atténuer l’incertitude. Dans la plus grande partie de cet article, ces identités sont des individus humains. 2Sont d’abord examinés dans ce texte les réseaux qui résultent de liens indifférenciés, qui peuvent être appelés « liens multiplexes ». 3 . 3Ces réseaux sont construits par les observateurs, et sont conçus pour décrire des configurations qui résultent des dynamiques découlant des commutations entre netdoms. 4Les histoires ont pour origine les efforts de contrôle et permettent à ces derniers de s’exercer : voilà l’idée principale.

Les significations dérivées des commutations produisent des histoires 4 . 5 . 6 . 7 . 8 . 9 . Harrison White : des réseaux sociaux à une théorie structurale de l'action. 1 .Pour une présentation générale de l’œuvre et de la carrière de Harrison White en langue anglaise, (...) 1Après avoir reçu un premier PhD en physique théorique du Massachusetts Institute of Technology, Harrison White s’est consacré à la sociologie, discipline dans laquelle il a obtenu un second PhD à l’Université Princeton.

Harrison White : des réseaux sociaux à une théorie structurale de l'action

Aujourd’hui professeur à l’Université Columbia à New York, il est l’un des sociologues les plus influents aux États-Unis, autant par ses travaux de recherche que par les étudiants qu’il a formés. Il a contribué à refonder la sociologie de l’art avec un ouvrage clé sur les impressionnistes et sur la constitution des marchés de l’art (White & White, 1993), suivi plus récemment douvrage sur les carrières artistiques. Il est aussi un théoricien central de l’analyse des réseaux sociaux, pour laquelle il a élaboré des notions (l’équivalence structurelle en particulier) et des modèles mathématiques qui sont à l’origine d’importants développements en sciences sociales. Approche interactionnelle et didactique invisible – Deux concepts pour la conception et la mise en œuvre de tâches sur le web social. 1Si on peut relever un parallèle entre, d'une part, l'évolution du web vers un web social et participatif qui appelle plus massivement les internautes à interagir et à collaborer et facilite les interactions et la collaboration et, d'autre part, les orientations récentes de la didactique des langues qui conçoivent l'apprenant comme un "acteur social" (Conseil de l'Europe, 2000 : 15) et encouragent l'apprentissage collaboratif, on note aussi que la didactique, quoique s'intéressant de près à l'évolution des technologies, ne propose pas beaucoup de nouvelles approches qui tiennent compte des potentialités actuelles d'Internet. 2Nous entendons montrer ici que l'émergence du web social permet d'élargir la perspective actionnelle et la notion de tâche. 2.1.

Approche interactionnelle et didactique invisible – Deux concepts pour la conception et la mise en œuvre de tâches sur le web social

Approche interactionnelle et didactique invisible – Deux concepts pour la conception et la mise en œuvre de tâches sur le web social. Chanier_N_23. RÉSEAUX SOCIAUX – Les 6 degrés de séparation entre deux personnes tombent à 4,74 degrés. C'est une expression littéraire, une expérience de science sociale, un jeu populaire mettant en scène l'acteur Kevin Bacon et une idée courante, plus ou moins vague : nous serions tous liés d'une façon ou d'une autre par une chaîne de relations sociales de cinq personnes en moyenne.

RÉSEAUX SOCIAUX – Les 6 degrés de séparation entre deux personnes tombent à 4,74 degrés

Ce sont les fameux "six degrés de séparation" qui pourraient vous permettre, par l'entremise de l'ami d'un ami d'une connaissance..., d'entrer en contact avec n'importe qui sur la planète. Des scientifiques de la firme Facebook et de l'université de Milan ont publié lundi cette nouvelle évaluation de nos écarts sociaux : 4,74 degrés, précisément. L'expression avait été popularisée par une expérience du psychologue américain Stanley Milgram, publiée en 1967, qui avait évalué la capacité de 296 volontaires à envoyer un message (une carte postale) à un certain habitant de Boston qu'ils ne connaissaient pas, en passant d'une connaissance à l'autre.

Photo : AFP PHOTO/ Munir uz ZAMAN. Six degrés de séparation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Six degrés de séparation

Visualisation artistique du principe des six degrés de séparation. Les six degrés de séparation (aussi appelée Théorie des 6 poignées de main) est une théorie établie par le Hongrois Frigyes Karinthy en 1929 qui évoque la possibilité que toute personne sur le globe peut être reliée à n'importe quelle autre, au travers d'une chaîne de relations individuelles comprenant au plus cinq autres maillons. Avec le développement des technologies de l’information et de la communication, le degré de séparation a été mesuré de 4,74 sur le réseau social Facebook[1] à 6,6 sur l’échange de plusieurs milliards de messages instantanés étudiés en 2008 par Eric Horvitz (en) et Jure Leskovec[2], chercheurs chez Microsoft, en analysant des discussions de Windows Live Messenger[3],[4].

Cette théorie est reprise en 1967 par Stanley Milgram à travers l'étude du petit monde. Premières versions[modifier | modifier le code]