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Le Japon voudrait taxer Bitcoin, mais ne sait pas comment faire. La débâcle de la plateforme Mt.Gox soulève de nombreuses questions au Japon.

Le Japon voudrait taxer Bitcoin, mais ne sait pas comment faire

Si l'entreprise se trouve désormais sous la protection de la loi locale sur les faillites, le gouvernement a décidé de se saisir du sujet des crypto-monnaies, et se demande quelle méthode employer pour les réguler, et les taxer au passage. Mark Karpeles, PDG de la plateforme Mt.Gox. Crédits : CoinDesk Avec la fermeture de la plateforme Mt.Gox, causée par un prétendu vol de 850 000 bitcoins et de 20 millions d'euros, le gouvernement japonais se pose de nombreuses questions au sujet des éventuelles régulations auxquelles il faudrait soumettre la célèbre crypto-monnaie. Entre régulation, interdiction et taxation Il était également question dans un premier temps d'une taxe sur les transactions faites en bitcoins, mais l'idée a rapidement été abandonnée, en raison de l'impossibilité d'identifier clairement les propriétaires des porte-monnaie entre lesquels les sommes circulent. Bienvenue à Shenzen, la Silicon Valley chinoise !

India plans to restrict email use after NSA leaks. 30 October 2013Last updated at 10:31 ET India's Communications and IT Minister, Kapil Sibal, intends to introduce the ban before the end of December India is planning to impose a ban on the use of foreign cloud-based email services to send official communications, before the end of the year.

India plans to restrict email use after NSA leaks

It would prevent civil servants using Gmail, Yahoo! Or Outlook.com. Instead they would be required to use a service provided by the country's own National Informatics Centre (NIC). The move follows the publication of leaks about US cyber-spying operations. According to documents given to the Guardian and subsequently reported by The Hindu newspaper in June, 6.3 billion pieces of information were collected from India's computer and telephone networks over the course of a month by the US National Security Agency (NSA), making it the fifth most "intensively watched" country. Spying allegations "It is imperative in view of the security concerns that exist in other countries,'' Kapil Sibal said at the time.

Le Vietnam impose de nouvelles restrictions aux internautes. Le Vietnam vient de prendre de nouvelles mesures visant à limiter l'usage d'Internet.

Le Vietnam impose de nouvelles restrictions aux internautes

Mercredi, le premier ministre, Nguyen Tan Dung, a dévoilé un texte appelé "Décret 72", qui spécifie que les internautes ne pourront plus utiliser les réseaux sociaux pour partager ou échanger des informations sur l'actualité. Les blogs, Facebook ou Twitter, de plus en plus populaires pour contourner la censure du régime communiste, ne pourront être utilisés que pour "fournir ou échanger des informations personnelles", selon ce décret signé par M.

Tan Dung. Les utilisateurs de réseaux sociaux ne seront pas autorisés à "citer des informations générales [...], des informations des journaux, d'agences de presse ou de sites contrôlés par l'Etat", a déclaré Hoang Vinh Bao, responsable du département de la radio, télévision et information, cité par le site d'informations VNExpress. Censure : la Chine estime avoir "nettoyé" Internet. Le gouvernement chinois estime que le renforcement de la censure et de la traque des rumeurs sur le Web a contribué à « nettoyer » Internet dans le pays.

Censure : la Chine estime avoir "nettoyé" Internet

Une situation dont la Chine se félicite. Réputée pour sa politique extrêmement sévère en matière de censure, la Chine estime que ses efforts pour lutter contre les rumeurs et les fausses informations diffusées sur les réseaux sociaux ont porté leurs fruits. Le gouvernement chinois n'a jamais caché sa volonté de lutter contre les messages allant à l'encontre de la politique du pays, et notamment contre le parti communiste. Pointée du doigt depuis de nombreuses années, notamment pour le blocage des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter dans la majeure partie du pays, ou la censure des résultats de Google, la démarche est tout à fait normale mais surtout efficace selon le responsable de la régulation d'Internet en Chine, Ren Xianliang : « La lutte contre les rumeurs a reçu une réponse positive, et a été très efficace » estime-t-il.