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Cholet. Les produits nocifs écartés de la chaussure - Cholet - Économie. A Cholet, les métiers de bouche parlent d'une même voix. À quoi sert un groupement ? Mutualiser les achats pour obtenir des prix intéressants. « Notre métier, c'est l'externalisation de la fonction achats. On amène clés en main des solutions qui sont optimisées », explique Patrice Boré, qui a créé à Cholet le groupement d'achats Evidense, spécialisé dans les métiers de bouche. « Un vrai travail est effectué sur les achats. Les fournisseurs se retrouvent naturellement mis en concurrence. Le groupement achète, chaque année, 45 tonnes de beurre ou 48 000 litres de crème, quand un artisan va acquérir 2 tonnes de beurre seulement, ou 2 500 litres de crème. » Le coût d'achat baisse de 10 et 400 %, selon les produits.

Quelle est sa valeur ajoutée ? Le groupement d'achats de Patrice Boré ne vise pas à être uniquement « un cost-killer ». « Bien sûr, on veut réaliser des économies. Quels sont les autres services ? Pourquoi les métiers de bouche ? Que représente le groupement ? MAINE ET LOIRE / Collectivités territoriales : une CCI très en amont. La première convention de partenariat annuel entre la CCI et une collectivité territoriale a été signée en novembre avec la Ville de Trélazé. La seconde a été ratifiée avec la municipalité de Chalonnes-sur-Loire. Ces initiatives bénéficient du soutien de l'Association des Maires de Maine-et-Loire. Elles vont faire des émules. « La Chambre joue la carte de la proximité, analyse Fabrice Anger, son 1er vice-président en charge de l'aménagement du territoire. Elle maîtrise des expertises très utiles aux collectivités territoriales. L'information économique est une dimension importante de la convention. La collectivité territoriale signataire bénéficie aussi d'un accompagnement opérationnel.

La CCI peut accompagner aussi les réflexions stratégiques de la collectivité : projets importants pour le développement économique, réalisation d'études ou d'analyses sur mesure (enquêtes consommateurs, habitudes de consommation, offre commerciale, études d'impact économique ou d'opportunité....). Le blog de CCI 49. Près d'Angers, un ovni de la consommation. Le projet Gare + entre dans le vif du sujet. Publié le 25 avril 2012 par Angers.Villactu.fr La semaine dernière, le pont Noir à proximité de la gare était fermé à la circulation en raison de travaux sur la voirie. Des travaux étaient également engagés sur le boulevard Yvonnne-Poirel.

Le pont noir ne sera rénové entièrement qu'à partir de la fin de l'année. L'objectif est de créer des espaces sécurisés pour les piétions et les vélos et d'améliorer l'éclairage du pont. Les travaux débuteront en décembre pour s'achever six mois plus tard. Pendant cette période, la circulation devrait être maintenue en partie. A partir du mois de juillet, le promoteur rennais Giboire lancera le premier programme de bureaux et logements, à la sortie du pont Noir, le long du boulevard Yvonnes-Poirel au sud de la zone d'aménagement Gare +. Cet ensemble de bureaux (5 300 m²) sera sur sept niveaux, avec des commerces en rez-de-chaussée et des places de stationnement en sous-sol. Juste à côté, 39 logements (du T1 au T5) sortira également de terre. Attention, métiers à haute tension ! Pénurie de compétences, difficultés à recruter... malgré la crise et l'augmentation du nombre demandeurs d'emploi, certains secteurs d'activité souffrent d'un manque notable de main-d'œuvre.

Sans visibilité, les entreprises naviguent à vue. Industrie, BTP, Restauration... les bras manquent dans des métiers dits « en tension », voire pour certains en haute tension. Recherche candidats désespérément Paradoxe : le marché du travail français connaît une situation contradictoire : conjointement à un taux de chômage élevé, il existe des difficultés de recrutement dans certains métiers dits « en tension ».

Les signaux se mettent au rouge lorsque le taux est supérieur à 0,8 offre par demande. Les causes sont multiples : inadéquation entre les profils requis et ceux des personnes en recherche d'emploi, manque d'attractivité de certains métiers du fait des conditions de travail, de rémunérations, de perspectives d'évolutions. Marianne Bourgeois. LEA Valley lance le projet d'un Techocampus de l'électronique à Angers - Electronique et Télécoms. Ce cluster de 90 membres, spécialisé dans l'électronique professionnelle, veut un centre de recherche égal au Technocampus EMC2 des filières mécanique et matériaux.

Le cluster Loire Electronic Applications Valley (LEA Valley) propose la création d'un Technocampus de l'électronique à Angers. Le projet est envisagé sur les hauts des Capucins près des nouveaux locaux de l'école d'ingénieurs Eseo. Le projet s'inspirerait du Technocampus EMC2, dédié à la mécanique et au matériaux à Nantes. "Nous souhaitons un lieu d'accueil, d'échange et de foisonnement, la création d'un pôle d'excellence à vocation européenne, un vrai pôle de référence dans l'électronique professionnelle permettant de faire venir des compétences de haut niveau, des experts de dimension internationale, le meilleur de ce qui existe", énonce Paul Raguin, PDG d'Eolane, et président de LEA Valley. Les industriels attendent en particulier des outils mutualisés permettant de valider certaines productions.

Cholet. Le tissu économique local est « surprenant », selon Michel Godet - Cholet - Michel Godet, économiste et professeur au conservatoire national des arts et métiers, titulaire de la chaire de prospective stratégique, interviendra jeudi à 18h au Théâtre Saint-Louis, à Cholet, lors d’une conférence sur le thème : « Les crises, porteuses d’espoir? L’avenir à construire », organisée par le cabinet comptable In Extenso. « Vu de l’extérieur, le territoire choletais est surprenant. On y trouve une dynamique entrepreneuriale, un taux de chômage deux fois plus faible que la moyenne nationale, à 5 ou 6% », explique Michel Godet. « C’est un lieu où règne une certaine qualité de vie, une harmonie sociale, ajoute l'économiste de renom.

Certes, ce n’est pas un territoire où les gens sont très riches. La population est ouvrière, assez modeste, laborieuse. » Lire Ouest-France du mercredi 3 octobre. Cholet. La vente directe a créé 1 000 emplois ces deux dernières années - Cholet - Économie. Selon la Fédération de la vente directe, les Pays de la Loire compte « 3 400 vendeurs à domicile indépendants ».

Ils réalisent un chiffre d’affaires de « 33 millions d’euros, en augmentation de 6 % ». La principale entreprise du Choletais à collaborer avec des distributrices VDI est Fleur des Mauges (produits d’entretien et d’hygiène bio), à Somloire. « Deux cents conseillères travaillent, dans toute la France », pour cette société familiale fondée en 1985, souligne Marie Chupin, cadre de direction chez Fleur des Mauges. Plus globalement, sur le territoire français, on recense 480 000 vendeurs (3,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires). Un accord entre la Fédération de la vente directe et Pôle emploi, sur la création de 100 000 emplois en trois ans, a été récemment signé. « En 2010, 35 000 emplois ont été créés, en 2011, 39 200, détaille Philippe Tréhan, président de la région Pays de Loire à la fédération. Soit les trois-quart de l’objectif en seulement deux ans !

Technicolor, l'Agglo propose d'acquérir site et outil de production. Reseaudubellay - LVMH, une chance pour la filière Luxe?