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Covoiturage

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iDVROOM : l’esprit du covoiturage entre à la SNCF. Le covoiturage devient un métier à part entière de la SNCF. Sous la marque iDVROOM, un nouveau service a été lancé le 1er septembre dernier, qui fusionne les activités d’Ecolutis (EasyCovoiturage) et Greencove (123envoiture). Si la nouvelle entité affiche de belles ambitions, elle a conservé ses spécificités et son management. iDVROOM a fait son nid au sein de WeForge, un espace de coworking situé dans une rue passante du centre-ville. Nous ne sommes pas au siège de la SNCF mais à Angers, à 300 km du périphérique. Pas de meubles design ni de baby foot, la filiale de la SNCF se fait très discrète au milieu des autres entreprises de l’étage. À l’image d’Olivier Demaegt, son “directeur et facilitateur”, qui nous a accordé un long entretien, dont nous retranscrivons ici les principaux extraits. 123envoiture devient iDVROOM : est-ce un simple changement de nom ?

C’est le début d’une nouvelle aventure entre une TPE et un grand groupe. Qu’est-ce qui différencie l’offre iDVROOM de Blablacar ? Covoiturage, autopartage, libre-service : la mobilité facilitée. Date de publication : 04/01/2013 Format : Vu sur le web Cherchant à surfer sur la vague de la consommation collaborative, de nombreux services proposent de faciliter notre mobilité. Préférerez-vous prêter votre voiture, la partager ou la louer ? Au Mans, on partage sa voiture via Internet La solution n°1 pour sortir du modèle de la voiture individuelle ? Le Grand Lyon récompensé pour sa plate-forme de covoiturage C’est à l’occasion de la remise du prix Ville et automobiles 2012 que le Grand Lyon s’est vu récompensé pour son site Internet covoiturage-grandlyon.com, plate-forme locale dédiée au covoiturage. Le boom du covoiturage à Noël Selon un article du journal La Tribune, le succès du covoiturage aurait atteint un tel niveau en France que plus d’un demi-million de Français auraient choisi ce mode de déplacement pendant les fêtes de fin d’année !

Mêler covoiturage, autopartage et libre-service ? Quand on navigue en ville... Se déplacer plus mais se déplacer mieux. Telle semble être la quête nouvelle de nombre d’entre nous, souvent urbains, presque tout le temps pressés, mais – réjouissance - de plus en plus responsables. Si la voiture a encore de l’avenir, puisqu’elle permet toujours de résoudre l’insoluble équation des lieux mal desservis, des formes de mobilité alternatives émergent désormais durablement. Aujourd’hui, bouger, c’est conjuguer des offres de transports foisonnantes. L'époque où une solution unique nous amenait d’un point A à un point B est bien révolue. Gagner 2 minutes 30 Qui, aujourd’hui, ne pianote pas sur son iPhone pour dégoter l’heure exacte du RER et, ainsi, boire un dernier verre au lieu de poireauter 35 minutes dans les couloirs de Châtelet-Les Halles, au centre du réseau francilien?

Très au fait des nouvelles exigences virtuelles de leurs usagers, les transporteurs commencent à se mettre à la page. Mutation générationnelle Dès lors, assiste-t-on à une évolution sociétale ? Aux Pays-Bas, le groupe cultive son expertise dans les transports à la demande. Les Français changent leur rapport au véhicule. L’industrie automobile ne subit pas seulement les effets de la crise, elle est aussi victime de la fin du XXe siècle, celui qui érigeait la bagnole en symbole absolu de la liberté individuelle. Désormais, dans bien des cas, celle-ci apparaît comme un boulet, voire comme une punition. Retards. «Dans le monde occidental, le marché de l’automobile va décroître, c’est inéluctable, affirme Ludovic Bu, auteur d’un ouvrage sur la question (1).

L’attachement à la voiture et le besoin d’en posséder une sont en train de s’estomper, y compris dans le monde rural, où beaucoup de jeunes aimeraient s’en passer s’ils le pouvaient.» Les comportements changent, au ralenti, certes, mais sûrement. Les Français sont aussi plus nombreux à vouloir changer leur rapport à la sacro-sainte voiture, parce qu’il existe désormais un tas d’alternatives : covoiturage, vélo ou autopartage, location sur mesure… Environ 91% des Français ont entendu parler du covoiturage, et 26% d’entre eux y ont goûté.

Chou. Bilan de l’expérimentation Hirondo, covoiturage temps réel et intermodalité. Le Pays de la Haute Gironde et les 5 entreprises rassemblées pour expérimenter le service de mobilité Hirondo rendent public le bilan de l’opération menée de janvier à juin 2012. Plus de 40 personnes sont venues participer à cette restitution, lundi 2 juillet 2012 à l’Hôtel de Région. Ouverte par Bernard Bournazeau, élu régional et Président du Pays Haute Gironde, la réunion et les échanges ont été précédés d’éléments de cadrage sur le covoiturage et les déplacements en Gironde. Eléments de cadrage Les déplacements en Gironde, avec un focus Haute Gironde Éléments de cadrage (doc PDF 1,9Mo) sur la congestion globale des grands réseaux, les pratiques automobiles et le faible taux de covoiturage, par l’agence d’urbanisme Bordeaux métropole Aquitaine A’urba Le maillon covoiturage dans la chaine de mobilité Ecolutis, opérateur de service de covoiturage pour les entreprises et les collectivités, a dressé une analyse d’opportunité de ce nouveau type de transports.

Atouts Contraintes Défis. Les efforts des départements en faveur du covoiturage portent leurs fruits. La France, futur pôle d’excellence mondial de l’écomobilité ? Il y a 10 ans, le marché de la mobilité se résumait à deux mondes distincts, celui de la voiture individuelle et celui du transport public. Deux environnements oligopolistiques, en concurrence, avec des règles du jeu différentes (économie de marché vs économie administrée) : Dans les esprits : la liberté d’un côté avec sa voiture, la contrainte de l’autre avec le transport public. Bref, une confrontation pas équitable et peu vertueuse. Nous étions dans le siècle de l’émergence de la voiture.

Depuis quelques années, le marché de la mobilité privée individuelle (la voiture) se positionne sur un marché privé collectif, avec les véhicules partagés. Un nouveau terrain de jeu émerge, avec les acteurs historiques de la voiture et du transport public, et de nouveaux entrants, petits comme grands. Prenons l’exemple de JC. Pour citer quelques-unes de ces nouvelles entreprises : - Buzzcar, Voiturelib, Deways, CityzenCar, qui boostent l’émergence de la voiture partagée entre particuliers.

Louer sa voiture à des particuliers via Internet. Service de covoiturage du Groupe Adecco - Le site du covoiturage en Europe. De l’innovation dans les aires de covoiturage. Les nouveaux usages de l’automobile ont le vent en poupe : l’auto-partage se démocratise, les services de locations de voitures entre particuliers font parler d’eux et le covoiturage fait la une de la presse. Ce dernier usage intéresse de près les autorités publiques, qui tentent de le développer.

Les objectifs quantitatifs sont finalement assez flous mais c’est un ensemble de mesures, une vision systémique qui permettront de faire évoluer les pratiques. Dans ce domaine, les aires de covoiturage pourraient constituer un territoire favorable à l’innovation. Et devenir des aires « à haut niveau de service ».

Favoriser l’intermodalité Les trajets effectués en covoiturage sont très divers. En fonction de la localisation de l’aire, il est pertinent de favoriser l’intermodalité pour le covoitureur. Proposer des services Des capteurs sur chaque place Vers une approche servicielle du covoiturage. Covoiturage Pilat, le site de covoiturage du Parc du Pilat. É.covoiturage, le mode de transport innovant, écologique et économique en isère - Conseil Général Isère. Depuis 2002, le Département de l’Isère mène une politique de développement des transports publics interurbains très ambitieuse et innovante qui poursuit trois objectifs : • Combattre l'engorgement des grandes agglomérations, • Donner à tous les Isérois, quels que soient leurs revenus, leurs éventuels handicaps et leur localisation géographique, un véritable accès à la mobilité, • Préserver l’environnement.​

La mise à disposition d'un service de covoiturage le plus complet possible et intégrant des outils mobiles participe au développement de ce mode de déplacement. Le covoiturage peut ainsi s'appuyer sur des outils efficaces permettant de s'organiser entre covoitureurs, très à l'avance, quelques heures avant le départ, ou directement en temps réel.

Le volume d'utilisateurs est également crucial pour fiabiliser l'offre de mobilité et rendre ce mode de déplacement attractif. Le covoiturage dynamique sort de l’impasse. Partager Le covoiturage, victime de préjugés tenaces ? Ses vertus en matière de réductions des nuisances sont connues de longue date, mais l’auto-soliste s’accroche encore à sa voiture individuelle. Avec l’essor des nouvelles technologies, les acteurs du domaine sont techniquement prêts à passer la seconde et développent des solutions dites de covoiturage dynamique. Les entreprises et les collectivités, plus dubitatives, expérimentent ce nouveau service avec des résultats parfois mitigés. Et aujourd’hui, faute de masse critique, aucune solution pérenne n’a été trouvée. Navigation dans les arcanes du covoiturage dynamique. 500 milliards de dollars.

Cible principale : les trajets pendulaires Dans ce domaine, les opérateurs de plateformes de covoiturage sont donc aux aguets. Êtes-vous prêts à payer pour un service de covoiturage ? « Eco-mobilite.tv. 1 500 000 membres sur Covoiturage.fr ! Chers covoitureurs, Depuis 2004, vous êtes toujours plus nombreux à vous inscrire sur BlaBlaCar et à participer à l’expansion du covoiturage en France, mais aussi à l’étranger ! Notre communauté compte désormais 1.500.000 covoitureurs !

Qui est le 1 500 000ème covoitureur ? Notre 1 500 000ème membre est UNE covoitureuse qui se prénomme Marie-Cerise et qui s’est inscrite via notre application iPhone Comuto ! Elle nous explique pourquoi elle a décidé de se lancer dans l’aventure du covoiturage : « J'ai connu ce site de bouche à oreille, des gens de mon entourage. Je me suis rendue compte en visitant votre site que le covoiturage comprenait tout de même un certain nombre d'avantages non négligeables pour quelqu’un comme moi qui n'aime pas prévoir forcement les choses très à l'avance, qui n'a pas l'utilité d'un véhicule au quotidien, et qui se soucie un minimum du devenir de notre chère planète!

Je pense que je vais expérimenter mon premier voyage en covoiturage assez prochainement. Covoiturage. Aires, sites internet : le point en Bretagne - Bretagne. Des innovations non technologiques : Le service covoiturage du Grand Lyon Quelles implications en termes de décision publique et de conduite du changement ? Avec Hirondo, la Haute-Gironde teste le covoiturage grâce aux téléphones mobiles.

Le Pays de la Haute-Gironde, territoire rural, veut faciliter le covoiturage et l’utilisation des transports publics par les habitants grâce à leurs téléphones mobiles. Il lance le projet Hirondo qui associe cinq entreprises réunies en consortium. Présentation. Hirondo prend son envol. A partir de décembre et pendant trois mois, les habitants du Pays de la Haute-Gironde (fédération de cinq communautés de communes) sont appelés à tester ce service innovant de mobilité « partagée » et « dynamique » s’appuyant sur les téléphones portables.

Objectif : faciliter le covoiturage par la mise en relation des habitants et l’utilisation des transports en commun publics (bus et trains régionaux) par la délivrance d’informations, le tout en temps réel via leurs mobiles. La solution s’adapte à toutes les gammes de téléphones, pas seulement les Smartphones de dernière génération. Les déplacements, "générateurs de fractures" dans la population Objectif : 300 testeurs Comment ça marche ? Le covoiturage reste timide au démarrage. « C'est une expérience très concluante. Je la recommande à tout le monde ! » Aire de covoiturage des Longs Champs, à la sortie de Rennes: derrière son volant, Patrick attend patiemment sa collègue. Tous deux font la route ensemble depuis six mois pour se rendre à Poilley, à 60km, sur leur lieu de travail.

Dans leur entreprise, ils font figure d'exception: « Autour de moi, personne d'autre n'utilise le covoiturage. Je n'essaie pas non plus de les convertir... » S'il n'existe pas de chiffres officiels qui recensent les covoitureurs, en France, les professionnels s'accordent à dire que la pratique reste nettement moins répandue, comparée à certains pays européens comme la Grande-Bretagne. Peur de l'inconnu « Le covoiturage, c'est toujours une bonne idée, mais pour les autres ! L'associationtente de convaincre et de rassurer, en mettant en relation des covoitureurs. « L'adhésion spontanée est encore rare. Prix du gasoil. Le covoiturage devient l’auto-stop du XXIe siècle.