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CentreMauges-Economie

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Tendance. Ils ont lancé la mode du tee-shirt par courrier. Hoel Poirier, 27 ans, et Manon Le Rouge de Rusunan, 22 ans, ont créé l’entreprise My T-shirt letter (1), installée depuis janvier 2014 à Villedieu-la-Blouère, d’où est natif Hoel. Ce nouveau concept est particulièrement original et parfaitement tendance. « Des particuliers s’abonnent pour recevoir un tee-shirt par mois, 100 % coton bio, imprimé d’un visuel exclusif d’artiste », explique Hoel. « A chaque fois, quatre créateurs sont sélectionnés avec plusieurs thèmes », continue Manon. Le client choisit la coupe et le coloris du tee-shirt mais pour l’illustration… Surprise. « On s’appuie sur un questionnaire auquel il a répondu sur ses goûts en musique, film, lectures, villes préférées, etc., lequel est mis à jour à chaque commande », détaille Hoel.

L’abonnement à leur « box » peut durer un mois, soit 15 €, et un an maximum que l’on interrompt librement. « On peut même offrir un tee-shirt à un ami en donnant son adresse », souligne Hoel. Travail partagé. Un compromis pour créer des emplois dans les Mauges. Quelles sont les particularités du territoire ? Les Mauges forment un bassin économique encore vivace, fondé sur les petites et moyennes entreprises. Mais, face aux incertitudes quant à un développement pérenne dans le temps, elles hésitent à créer de nouveaux emplois. Mais, par petits groupes, elles le peuvent. C'est ce qu'on appelle le travail partagé. Les Acteurs économiques du Centre-Mauges (AECM) sont une association qui rassemble, à l'échelle de l'intercommunalité, aussi bien des industriels que des artisans, des commerçants que des professions libérales, ou des agriculteurs.

Elle se mobilise avec une bonne idée, un concept présenté dernièrement aux chefs d'entreprise et aux élus. Qu'est-ce que le travail partagé ? L'emploi à temps partagé consiste, pour un salarié, à travailler pour plusieurs entreprises en ayant un seul contrat de travail auprès d'un tiers, le groupement d'employeurs (GE). Précurseur, l'agriculture des Mauges montre-t-elle l'exemple ? Quels sont les avantages ? Économie. Maison Corthay bien chaussée à Beaupréau. En octobre 2013, Maison Corthay, fabricant de chaussures de luxe, avait choisi Beaupréau (Maine-et-Loire) pour déménager sa manufacture parisienne.

Les Mauges, territoire marquée par l'empreinte de la chaussure, et qui accueille toujours de nouveaux créateurs (Billy et Valérie Lagré et leur marque Louis Félix à Chemillé, ou le Rochelais Eugène Riconneaus, qui a choisi le Choletais pour fabriquer ses souliers de luxe). Cet après-midi, Maison Corthay a officiellement inauguré son local et dressé un premier bilan de l'année écoulée : 25 demandeurs d'emploi recrutés, 25 à 30 paires de chaussures produites par jour. La délocalisation a rendu de bons résultats. Au point que d'ici trois ou quatre ans, Maison Corthay espère employer 50 personnes et produire 60 chaussures par jour. Prix d'entrée de gamme : 1 000€. LIre l'intégralité de l'article en version numérique sur vos ordis, tablettes et smartphones. Dans les Mauges. Ses tomates bio se dégustent même l'hiver. Les saveurs de la tomate d'été toute l'année ! C'est avec cet argument que Marc Pajotin, tout frais entrepreneur de 38 ans, lance une gamme de tomates anciennes en sachet, 100% bio, pasteurisées à froid par hautes pressions.

Une technique innovante qui permet une longue conservation de l'aliment : jusqu'à six mois. Les tomates cœur de bœuf, cornue des Andes, rose de Berne, noire de Crimée, jaune ananas, peuvent donc se déguster en décembre ou janvier ! L'ingénieur, passé par l'Ecole supérieure d'agriculture d'Angers, s'est installé à Beaupréau, près de Cholet. Et a fait le tour des maraîchers locaux du grand Ouest, pour s'approvisionner en circuit court. Les sachets P&P Fruits, mis en vente depuis fin août pour un prix compris entre 3,50 et 4€ les 300 grammes, sont distribués dans 400 magasins Système U et dans les Monoprix parisiens. Lire l'article dans le journal Ouest-France du mercredi 24 septembre. Economie dans les Mauges. L'artisan-peintre est aussi pompiste. Liquidation de Samic. 148 salariés sur le carreau à Gesté. Maine-et-Loire. Chez Humeau, ils fabriquent des chaussures depuis cinq générations. Humeau-Beaupréau SAS représente un chiffre d'affaires de 31 millions d'euros, répartis entre Bopy, Méduse et Umo.

Débuté en 1869 « C'est mon arrière-grand-père qui a débuté cette aventure, lorsqu'il a commencé son apprentissage en 1869. Mes enfants, Anne-Céline et Guillaume représentent la 5e génération ! », introduit fièrement le chef d'entreprise, Pierre Humeau. Intarissable quand il s'agit d'évoquer les métiers de la chaussure, Pierre Humeau insiste : « Notre ADN, c'est la fabrique de la chaussure. » Trois noms Il détaille : « Bopy est notre 1re spécialité avec des chaussures pour enfants, dessus cuir. La sandale Humeau est née en 1946, la même année que l'invention du bikini. S'adapter sans cesse Secteur mondialisé hyperconcurrentiel, délocalisations et « charges patronales beaucoup trop lourdes » constituent des obstacles. Il n'y a pas de secret, « si ce n'est la passion et la nécessité de s'adapter tous les six mois.

Délocalisation. Les Mauges. Valérie Savaresse défend la maroquinerie authentique. Ravagés au début des années 2000, à la fois par la désindustrialisation et la délocalisation, les métiers de la chaussure ont fui les Mauges. Quelques entreprises ont néanmoins tenu le choc. D'autres, depuis peu, se sont installées dans le très haut de gamme. Parallèlement, on en parle beaucoup moins, des créatrices de mode, des femmes donc, ont relevé la tête et décidé de créer leur propre entreprise. Valérie Savaresse, auto-entrepreneuse de Villedieu-la-Blouère, présentera ses savoir-faire à la Maison du Sénéchal ce samedi 17 mai, de 10 h à 17 h dans le cadre des découvertes des chambres d'hôtes orchestrée par l'Office de tourisme Beaupréau-Centre-Mauges.

Vente en direct « Il y a trois ans, j'ai créé ma propre marque L'Herbaudière. Je me suis spécialisée dans le métier d'art de la maroquinerie. Cette passionnée s'est d'abord formée dans le bureau d'étude de la chaussure. Le cuir comme marque de fabrique Sa matière favorite est le cuir. Ouverture des magasins le dimanche : des avis partagés dans les Mauges. Quels sont les enjeux des Acteurs économiques Centre-Mauges ?

Les 60 adhérents travaillent sur quatre axes principaux. L'organisation de soirées à thèmes est le premier. La participation à la commission économique de la communauté de communes Centre-Mauges (CCCM) est le deuxième. Les visites d'entreprises que nous organisons chaque année, comme celle de l'entreprise de Stéphanie et Bertrand Ripoche, L'oeuf des deux moulins, au Fief-Sauvin, qui produit chaque semaine 1 400 000 oeufs. Souvent, lors de ces visites, nous sommes étonnés par le niveau de performance atteint. Le dernier axe est la circulation des informations auprès de nos adhérents pour qu'ils soient au fait de l'actualité économique de notre territoire. Sur quel sujet économique avez-vous dernièrement conseillé les élus ? Lors de la dernière commission, nous avons étudié l'interrogation de l'un de nos adhérents sur le travail dominical.

Quelles thématiques vous préoccupent le plus en ce moment ? Un bottier de luxe parisien choisit les Mauges. Fanny et Alexandre, agriculteurs, passionnés par le bio , Beaupréau 24/08/2013. Maine-et-Loire. Les acteurs économiques des Mauges visitent les Deux-Moulins. Qu'est-ce que l'AECM ? Créée en 2006, l'AECM (Acteurs économiques Centre-Mauges) présidée par Jacques Loiseau, est une association qui rassemble plus d'une soixantaine d'artisans, commerçants, professions libérales, agriculteurs et industriels de la communauté de communes du Centre-Mauges. Leurs objectifs sont divers. Être un lien entre les élus de la communauté de communes, les organisations consulaires et le pays des Mauges.

Proposer des actions pour l'amélioration et l'image des acteurs économiques en général. Une entreprise dynamique L'OEuf des Deux-Moulins, entreprise avicole familiale cogérée par Stéphanie et Bertrand Ripoche, frère et soeur, emploie actuellement dix-neuf salariés, contre six en 2006. Une volonté tournée vers l'environnement Le conditionnement des oeufs respecte la protection de l'environnement en employant du papier recyclé et des encres végétales. Un label : « L'oeuf de nos villages » Le site de vente sur Internet fournit Emmaüs.

Un peu de méfiance au début Une entreprise commerciale qui fait des cadeaux, ça paraît louche et Laurent Taquet, l'un des deux responsables de la communauté Emmaüs de Cholet ne cache pas qu'au départ, il était plutôt méfiant. Finalement, l'essai a l'air concluant : tous les objets offerts depuis un mois par le site Internet de vente entre particuliers « Maousse.fr » ont été revendus au bénéfice d'Emmaüs et, à première vue, tout le monde y gagne.

L'idée qui a germé dans la tête de Sébastien Delaunay et Jean-Robert Vives, les deux créateurs de « Maousse.fr » aboutit à un montage un peu compliqué : voilà un site d'annonces gratuites entre particuliers qui rachète lui-même des objets qu'il met en vente, pour les offrir à une association qui les vendra à son tour à son propre bénéfice. Emmaüs s'y retrouve 1 800 € d'articles rachetés et offerts Une rencontre déterminante Un « cercle vertueux » dont tout le monde doit sortir gagnant et pas seulement les plus riches. Beaupréau. L'ouverture d'une brasserie sur la zone Actiparc créera dix emplois. La créatrice Aurélie a des projets plein la malle - Cholet.maville.com. L'Opération de restructuration présentée aux entreprises , Beaupréau 04/12/2011. Réunion publique sur le projet de méthanisation le 29 novembre , Beaupréau 21/11/2011. Economie AECM 20100827. Agriculture 20100720.

Les agriculteurs du Centre-Mauges interrogés , Beaupréau 05/04/2011. Entreprise du mois - Saveur des Mauges. Le charcutierfranchit un nouveau palier. Jean-Luc Raimbault, P-dg de Saveurs des Mauges, devant ses nouveaux bureaux (1,5 M€ d'investissement) achevés entièrement ce mois-ci. Il accueille un premier service commercial afin de s'étendre sur le marché français. Saveur des Mauges vient d'achever un investissement de 1,5M€ pour s'offrir une nouvelle vitrine et agrandir ses bureaux.

Le bâtiment accueille son premier service commercial. L'un des derniers piliers d'une entreprise passée de 3 à 70salariés en l'espace de 20 ans. La nouvelle façade flambant neuve, et ses baies vitrées qui offrent une large vue sur le bocage maugeois, est un peu la dernière pierre qui manquait à l'édifice de Saveurs de Mauges. Anticiper les besoins des GMS«Nous voulons garder la qualité des produits du petit charcutier tout en les adaptant à la grande distribution», insiste Jean-Luc Raimbault.

Nouvel investissement en 2012Principalement centré sur le grand Ouest, le charcutier livre jusqu'en Corse. Agriculture : une enquête pour connaître la situation économique , Beaupréau 01/03/2011. Cholet.maville.com Pour gagner leur vie, ils vont transformer leur lait dans les Mauges. Commerce 20100803. Le supermarché G20 de Jallais a fermé ses portes mardi - Jallais - Consommation. BEAUPREAU (49), Extension d'un magasin « SUPER U » (1050 m2) Le groupement des commerçants multiplie les projets , Beaupréau 21/02/2011. Les entrepreneurs maugeois visitent Ferti-Mauges , Beaupréau 08/10/2011. Manitou renforce ses synergies en Anjou - Matériel de manutention. L’entreprise regroupe les activités de sa division manutention industrielle sur un même site, à Beaupréau, dans le Maine-et-Loire.

Inauguration. Activité essentielle pour les réseaux de concessionnaires du groupe, la division Industrial Material Handling, matériel de manutention industrielle (IMH), se dote d’un nouveau « pôle de compétences ». Un outil industriel spécifiquement dédiés à son métier et à sa clientèle. L’inauguration du vendredi 9 septembre marque la fin du redéploiement de la ligne de produits « Magasinage », initialement implantée à Saint-Ouen-l’Aumône en région parisienne, vers Beaupréau (Maine-et-Loire) . « Avec le renforcement des équipes de recherche-et-développement, la réorganisation des outils industriels et la qualification de l’offre produits, nous avons mis en place les outils nécessaires à notre croissance et à l’amélioration de nos résultats », affirme Jean Louis Hervieu, le président de la division IMH.