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CAN THD et TIC

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Chauray reçoit ses premiers coworkers dès septembre – Economie, social – Actualité – Deux-Sèvres. Fin 2010, un espace de coworking, baptisé « Bureau 21 », a été fondé sous l'impulsion de David et Élisabeth Bakanyi. Le tarif à la journée est de 10 €. Pour la demi-journée, c'est 7,50 €. Pouvez-vous nous expliquer le concept de coworking ? Vincent Guibert.« Le coworking est né aux États-Unis au milieu des années 2000 à la suite de l'accroissement du nombre de travailleurs indépendants et nomades. L'objectif est de rompre leur isolement en créant un lieu de travail, avec des bureaux et des salles de réunion, et de partage. Où en est votre projet ? « Je suis en pourparlers avec un groupe privé qui nous propose des locaux très modulables sur peu ou prou 3.000 m2 dans la zone d'activités de Chauray. Concrètement, comment ça marche ?

« Pour Niort, on pourrait bénéficier d'un espace qui fonctionne avec des forfaits mensuels, trimestriels, semestriels et annuels. " Inventer une forme de coworking qui n'existe pas ailleurs " Payer pour travailler, cela n'est-il pas gênant ? Nr.niort@nrco.fr repères. @ Brest - Plouarzel, une commune qui utilise Openstreetmap. La commune de Plouarzel, [1] (3150 habitants) est l’une des premières communes en France à avoir fait le choix d’utiliser une cartographie basée sur "Openstreetmap". Marie Catherine Mouchot, adjointe au Maire en charge de l’urbanisme explique cette démarche et les usages permis par les cartes ouvertes.

Voir une carte plus grande La commune de Plouarzel utilise aujourd’hui "Open street map" pour ses cartes d’où est venu ce choix de cartes ouvertes ? Le besoin est venu d’une part, de la nécessité de refaire, à moindre coût, une carte devenue obsolète mais aussi d’avoir un outil informatique cartographique libre. Comment avez-vous fait pour établir ces cartes ? Pour le réseau routier et les bâtiments, nous avons utilisé la base cartographique du cadastre que nous avons corrigée ou complétée lorsque cela était nécessaire.

Pour les autres éléments, tels que le petit patrimoine historique et culturel, nous avons utilisé des relevés par GPS sur le terrain. Comment les utilisez-vous aujourd’hui ? Rennes ouvre ses données publiques et lance un concours d’idées. R?utilisation des donn?es publiques : des promesses vertigineuses. Dossiers d'actualitéMis à jour le 14/04/2017 Copyright : Flickr CC by sa Perspecsys Photos L'open data, ou, dit en français, l'ouverture des données publiques est devenue une obligation pour toutes les collectivités locales de plus de 3500 habitants depuis l'adoption de la loi pour une République Numérique (loi du 7 octobre 2016). La "loi Lemaire" achève un chapitre législatif intense autour de l'open data (loi Valtere, loi Macron...).

Les plus grosses collectivités se sont déjà lancées ; les autres vont devoir le faire. Elles devront résoudre les questions relatives aux licences, aux formats, aux processus internes, à l'animation d'un écosystème de start up et d'innovateurs... Animateur nimérique des territoires Tourisme. La région Aquitaine possède depuis le début de l’année 2011 son premier contingent d’animateurs numériques de territoire.

Un nouveau rôle pour les offices de tourisme de la Région... En effet, on a tous en tête l’image sympathique de l’office de tourisme traditionnel dont le rôle se limitait à la distribution estivale de brochures colorées. Mais depuis quelques années le travail de l’office de tourisme a fondamentalement changé : Internet est passé par là ! Aujourd’hui, ce sont près de huit touristes sur dix qui préparent leurs vacances sur la toile. Et un sur trois qui reste derrière son écran pour acheter son séjour. Avec l’apparition du web 2.0, Internet est devenu plus interactif : les touristes commentent la qualité des prestations touristiques, publient leurs photos et souvenirs de voyages, mettent en ligne vidéos et commentaires. 9 personnes sur 10 font confiance aux recommandations faites en ligne par leurs amis.

Le point sur... le Schéma Directeur Territorial d'Aménagement Numérique (SDTAN) | Connected places. Très haut débit : « Il y a d’autres voies que celles de l’Etat français » Atelier Aménagement Numérique des Territoires - Le point sur... L’aménagement numérique dans les SCoT. Numérique et territoires Dans la concurrence que se livrent États et régions, les territoires gagnants sont les territoires en mouvement. Pour gagner en attractivité et en compétitivité, des réseaux de communications électroniques performants constituent aujourd’hui un appui de premier plan. Les technologies de l’information et de la communication, les TIC, sont facteurs de cohésion sociale et de désenclavement, à travers l’accès aux services et au commerce en ligne, la possibilité du télé-travail, la recherche d’emploi, la e-administration et la télé formation, par exemple.

Or les enjeux de couverture, de concurrence et d’innovation s’inscrivent avant tout dans une problématique d’aménagement du territoire. En effet, dans une naturelle logique de rentabilité, les opérateurs privés subordonnent le déploiement de leurs infrastructures à un retour sur investissement de courte durée, de 12 à 18 mois le plus souvent. Les collectivités locales au cœur de l’action De nouveaux outils pour l’ANT. UE finance le HD 1,8MEuros. A l'occasion des 4èmes Assises du Très Haut Débit en juin dernier, le sénateur Maurey, en charge de trouver les moyens de financer le déploiement des réseaux FTTH a fait un point sur les solutions envisageables.

Il faut dire que le compte n'y est pas. 30 milliards d'euros, c'est au bas mot ce que coutera ce déploiement afin de tenir les objectifs hautement ambitieux du gouvernement : 75% de la population couverte en 2020 et 100% en 2025... Inutile donc de préciser que l'apport de l'Etat (2 milliards d'euros tirés du grand emprunt et 8 à 10 milliards supplémentaires sur 15 ans) sera nettement insuffisant pour financer le projet.

Déjà, le sénateur plaidait pour une solution pas vraiment populaire. "Avec toute la volonté du monde, en intégrant l'apport des fonds européens ou des collectivités locales, le financement ne sera pas bouclé. On réfléchit donc à d'autres pistes comme l'augmentation des abonnements ADSL. De 5 à 10 euros de plus par an. Centre Départemental de Documentation Pédagogique des Deux-Sèvres.