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Critiques de la Sharing Eco

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Jeremy Rifkin, l’Internet des objets et la société des Barbapapa. On savait depuis son livre sur la troisième révolution industrielle, mais cela se confirme avec son dernier livre (« La société du coût marginal zéro ») que Jeremy Rifkin envisageait l’avenir radieux de la production et de la consommation d’objets de sa future société d’hyper abondance sur le mode de « l’Internet des objets » : des imprimantes 3D partout, permettant à chacun de produire à domicile ou dans de micro-unités d’innombrables objets matériels de la vie quotidienne, jusqu’à des « voitures imprimées », en étant guidé par des programmes en ligne (logiciels gratuits), moyennant divers matériaux de base, plastiques souvent, mais aussi « ordures, papier recyclé, plastique recyclé, métaux recyclés.. » (voir ce court entretien).

Jeremy Rifkin, l’Internet des objets et la société des Barbapapa

On a depuis longtemps L’INTERNET DE L’INFORMATION, mais deux autres grands réseaux viendraient s’y connecter pour former le système de production du futur. Cette plasticité infinie des objets et des formes ne vous rappelle rien ? In the Sharing Economy, Workers Find Both Freedom and Uncertainty. Photo Just after 4 a.m. on a recent Friday, while most of the neighbors in her leafy Boston suburb were still asleep, Jennifer Guidry was in the driveway of her rental apartment, her blond hair pulled back in a tidy French braid, vacuuming the inside of her car.

In the Sharing Economy, Workers Find Both Freedom and Uncertainty

The early-bird routine is a strategy that Ms. Guidry, a Navy veteran and former accountant, uses to mitigate the uncertainty of working in what’s known as the sharing economy. Ms. Guidry, 35, earns money by using her own car to ferry around strangers for Uber, Lyft and Sidecar, ride services that let people summon drivers on demand via apps. Her goal is to earn at least $25 an hour, on average. “You don’t know day to day,” she said. TaskRabbit workers receive a useful lesson in capitalist exploitation. The rabbits are unhappy.

TaskRabbit workers receive a useful lesson in capitalist exploitation

Two weeks ago, TaskRabbit, a Silicon Valley start-up that helped pioneer the “gig economy” business model in which odd jobs are outsourced to the cloud, revamped its operations. Instead of using an auction system that encouraged workers to bid for a given job, TaskRabbit rolled out a new services-on-demand model. Ne prenons pas (tous) les scouts numériques de l’économie collaborative pour de naïfs altruistes. L’économie collaborative ou sharing economy bouleverse les modes de production et de consommation.

Ne prenons pas (tous) les scouts numériques de l’économie collaborative pour de naïfs altruistes

Mais ses évangélistes ne peuvent masquer la contradiction fondamentale de ce mouvement: il sera soit le dépassement du capitalisme, soit exactement l’inverse. Internautes de tous pays, au boulot. Ils résistent rarement à l’envie de citer Ghandi, une maxime bouddhiste ou une fulgurance de Steve Jobs lors de leurs conférences sur le potentiel révolutionnaire des nouvelles technologies, sans oublier les «bar camps», les «meet up» et les espaces de «coworking» où ils prêchent la bonne parole collaborative, séduisant une population jeune et urbaine souvent idéaliste et avide de changement. Economie du partage : les limites d'une utopie. Qu’est-ce que l’économie du partage partage ? (3/3) : un capitalisme de catastrophe. Susie Cagle pour Medium revenait récemment sur la Share Conference, la conférence de l’économie du partage qui se tenait il y a quelques mois aux Etats-Unis, pour faire part de son exaspération.

Qu’est-ce que l’économie du partage partage ? (3/3) : un capitalisme de catastrophe

“Le succès de l’économie du partage est inextricablement lié à la récession économique”, rappelait-elle. Nous sommes face à un “capitalisme de catastrophe”. Un capitalisme qui prospère sur la crise de l’emploi… Image : la consommation collaborative vue par Susie Cagle pour Medium. L’hyperflexibilité partout En développant des exigences professionnelles pour des particuliers qui louent leur appartements sur Airbnb, des amateurs qui fabriquent des objets sur Etsy, des covoitureurs qui sous-louent leur moyen de transport sur Blablacar, des habitants qui proposent des repas sur Cookening ou des bricoleurs leurs outils de bricolage sur Zilok… les plateformes de la consommation collaborative agissent sur la forme même des rapports sociaux.

Reste à savoir combien gagnent les livreurs via ce système. The Case Against Sharing — The Nib  With the rise of the “sharing economy,” many have asked the same question, though perhaps not with the same excitement.

The Case Against Sharing — The Nib 

But this was Share, a conference meant to “catalyze the sharing economy,” organized by sharing economy lobbying group Peers and capitalism-for-good boosters SOCAP, sponsored by Airbnb, Lyft, eBay, and attended by about 500 investors, entrepreneurs, and advocates. For the past few years, the “sharing economy” has characterized itself as a revolution: Renting a room on Airbnb or catching an Uber is an act of civil disobedience in the service of a righteous return to human society’s true nature of trust and village-building that will save the planet and our souls. A higher form of enlightened capitalism.

But this economy is still young and discovering itself. Collaborative service communities, between proletarianization and emancipation — Open Air Factory. Solidarity after "Sharing:" Notes on Internet Subjects #1.