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Sécurité, Protection, défense

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Ministère de l'Intérieur (France) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Depuis deux siècles, le ministère de l’Intérieur est au cœur de l’administration française : il assure sur tout le territoire le maintien et la cohésion des institutions du pays. Son organisation, ses moyens humains et matériels constituent l’outil privilégié de l’État pour garantir aux citoyens l'exercice des droits, devoirs et libertés réaffirmés par la Constitution de la Ve République. Installé à l’hôtel de Beauvau, dans le 8e arrondissement de Paris, à quelques pas du palais présidentiel de l'Élysée, il est surnommé, par métonymie, « la Place Beauvau ». L'actuel ministre de l'Intérieur est Bernard Cazeneuve, depuis le 2 avril 2014. Le portail de l’hôtel de Beauvau L'entrée du ministère, depuis la rue des Saussaies Dès le début, le ministère était chargé, comme son nom l'indique, de l'administration de l'intérieur du pays, attributions qui relevaient auparavant déjà en partie du secrétaire d'État à la maison du Roi.

Ministère de la Défense. Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale. CF2R - CENTRE FRANÇAIS DE RECHERCHE SUR LE RENSEIGNEMENT. AASSDN - Anciens des Services Spéciaux de la Défense Nationale - France. 2007-03-12. Etude%20renseignement%20juillet%202014. Portail:Renseignement. Le FSB (ФСБ) ou Service fédéral de sécurité de la Fédération de Russie est un service secret chargé des affaires de sécurité intérieure en Russie. Il est le principal successeur de l'ancien KGB, dissous en novembre 1991 après le putsch de Moscou. Vaste et puissante organisation, le FSB rassemble des fonctions et des pouvoirs qui sont dans de nombreux pays disséminés entre des services distincts.

Il commande également un contingent de troupes armées (troupes intérieures, forces spéciales) et un important réseau d'informateurs civils. Le FSB est responsable de la sécurité intérieure de la Russie, du contre-espionnage, ainsi que de la lutte contre le crime organisé, contre le terrorisme et contre le trafic de stupéfiant. Cependant, de nombreuses critiques soutiennent que le FSB est autant engagé dans l'élimination des dissidents dans la nation, maintenant la population sous un contrôle permanent et influençant les évènements politiques importants, à l'identique des actions passées du KGB. Renseignement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Un symbole célèbre du renseignement : l'emblème sur le sol de l'entrée de la CIA. Un renseignement est une information estimée pour sa valeur et sa pertinence. Le renseignement se définit ainsi par opposition à la donnée (qui se réfère à la précision de l'information), ou d'un fait (constatation objective). Le renseignement se définit aussi par son usage : c'est une information délivrée (à un gouvernement ou une institution) pour guider des prises de décisions et des actions. Par extension, le renseignement est l'ensemble des activités consacrées au traitement des renseignements (orientation, recherche, analyse, diffusion).

Par extension, le renseignement est enfin l'ensemble des organismes qui se consacrent à ces activités. Nature du renseignement[modifier | modifier le code] Étymologie et sens[modifier | modifier le code] — Balzac, Une ténébreuse affaire, 1841, Pl. — Montesquieu, L'Esprit des lois, xii, 23 Image satellite de la Corée. Livre blanc sur la Défense et la Sécurité nationale 2008 (France)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Livre blanc sur la Défense et la Sécurité nationale, publié le 17 juin 2008, est chargé de définir une stratégie globale de Défense et de Sécurité pour la France de 2009 à 2020. Le programme, élaboré par une commission, servira de bases aux deux prochains projets de lois de programmation militaire, qui seront votés par le Parlement français.

Ce Livre blanc fait suite à deux précédents Livre Blanc sur la Défense Nationale publié en 1972 par Michel Debré et celui publié en 1994 sous le gouvernement d’Édouard Balladur. La Commission fut présidée par l'ancien secrétaire général de la Défense nationale (SGDN), Jean-Claude Mallet, à qui le président de la République française demande en outre, le 28 juillet 2008, de surveiller la préparation de la loi de programmation militaire 2009-2014.

La Commission compta sept groupes de travail. Désinformation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. §Définitions[modifier | modifier le code] La manipulation de l'opinion publique a fait l'objet de livres dès le début du XXe siècle. Le journaliste américain Walter Lippmann en parle dans son livre Public Opinion (1922), ainsi qu'Edward Bernays dans Propaganda (1928). Alors que Lippmann emploie le terme fabrication du consentement, Bernays emploie le terme de propagande. Une désinformation est un simple transfert d'information qui comporte en lui-même une transformation de l'information initiale. Il ne s'agit pas ici de discuter pour savoir si tout transfert d'information est une transformation de cette information, mais de comprendre qu'il existe une certaine forme de transfert qui nie l'information initiale (en la dénaturant) ou les informations (en les regroupant de manière intempestive et non raisonnée).

François-Bernard Huyghe en donne une définition plus restrictive dans L'Ennemi à l'ère numérique. Code de la défense. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Contenu[modifier | modifier le code] Il comprend une partie législative (les lois) et une partie réglementaire (les décrets), chacune organisée respectivement en cinq et quatre parties. Les livres sont découpés en titres et chapitres. Un grand nombre de chapitres ont été créés mais les dispositions auxquelles ils font référence n'ont pas toutes été intégrées à ce nouveau code. Partie 1 - Principes généraux de la défense[modifier | modifier le code] Livre Ier : La direction de la défenseLivre II : Organisation territoriale et opérationnelle de la défenseLivre III : Mise en œuvre de la défense non militaireLivre IV : Mise en œuvre de la défense militaireLivre V : Action de l’État en merLivre VI : Dispositions relatives à l'outre-mer Partie 2 - Régimes juridiques de défense[modifier | modifier le code] Partie 3 - Le ministère de la défense et les organismes sous tutelle[modifier | modifier le code] Règles de numérotation[modifier | modifier le code]

Comité interministériel du renseignement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Missions[modifier | modifier le code] Prévu à l'article 13 de l'ordonnance n° 59-147 du 7 janvier 1959 portant organisation générale de la défense, le CIR est chargé d'assurer l'orientation et la coordination des activités des services qui concourent au renseignement.

À cette fin, il élabore un plan national de renseignement. Ce plan est soumis à l'approbation du Président de la République (article 1 du Décret n°89-258 du 20 avril 1989 fixant la composition et les attributions du comité interministériel du renseignement, préparé avec la collaboration de Rémy Pautrat, le conseiller à la sécurité du Premier ministre Michel Rocard). Article 2 (Modifié par Décret n°2003-1230 du 22 décembre 2003 art. 3 (JORF 24 décembre 2003)). Article 3 Article 4 Affaire Clearstream 2[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Direction centrale de la Police judiciaire (France) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'organisation de la DCPJ a été revue à plusieurs reprises. Elle est restée régie, de 2006 à 2009 par un arrêté du 19 mai 2006[1]. Suite à la fusion au 1er juillet 2008 des Renseignements généraux (RG) et de la direction de la surveillance du territoire (DST), la branche « courses et jeux » des RG lui a été transférée.

Dernier en date, l'arrêté du 5 août 2009 fixe les missions et l'organisation du service[2]. Sur le plan géographique, la DCPJ est compétente sur l'ensemble du territoire national, Paris et sa petite couronne relevant toutefois spécifiquement de la Préfecture de police de Paris (Direction régionale de la police judiciaire de Paris). Sur le plan judiciaire, ses compétences sont fixées par l'arrêté du 8 août 2009 précité.

La DCPJ s'occupe de lutter contre : La DCPJ est dirigée par un directeur central assisté d'un adjoint. La sous-direction de la lutte contre la criminalité organisée et la délinquance financière (SDLCODF). Direction centrale des Renseignements généraux. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Direction centrale des Renseignements généraux (DCRG), souvent appelée Renseignements généraux (RG), était un service de renseignement français dépendant de la Direction générale de la Police nationale (DGPN). Créés en 1907 sous cette appellation, les RG ont eu pour principal objectif de renseigner le gouvernement sur tout mouvement pouvant porter atteinte à l'État. Par sa nature du secret et de la surveillance, les RG ont été accusés à plusieurs reprises d'être une police politique[1] et ont été au centre de plusieurs affaires.

Histoire[modifier | modifier le code] Les Renseignements généraux puisent leurs racines dans le corps des commissaires spéciaux chargés sous l'Ancien Régime de surveiller l'opinion[3]. La sous direction de l'Information générale créée en 2008 devient le Service Central du Renseignement Territorial en mai 2014, toujours rattaché à la Direction Centrale de la sécurité Publique. Organisation Directeur. Conseil national du renseignement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le Conseil national du renseignement est un organisme de coordination des services de renseignement français créé le 23 juillet 2008. C’est une formation spécialisée du Conseil de défense et de sécurité nationale. Son rôle est de définir les orientations stratégiques et les priorités en matière de renseignement. Présentation[modifier | modifier le code] Le conseil national du renseignement établit la planification des moyens humains et techniques des services spécialisés de renseignement[1], et s'assure de la coordination des sept services constituant la communauté française du renseignement, DGSE, DGSI, DRM, DPSD, DNRED, Tracfin ainsi que la SDIG.

Siègent au conseil national du renseignement, sous la présidence du Président de la République, le Premier ministre, les ministres et les directeurs des services spécialisés de renseignement dont la présence est requise par l’ordre du jour, ainsi que le coordonnateur national du renseignement[2]. Histoire du renseignement français.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article traite de l'histoire du renseignement en France et des services de renseignement français. Antiquité[modifier | modifier le code] Bibliographie : Rose Mary Sheldon, Renseignement et espionnage dans la Rome antique, Les Belles Lettres, 2009, 528 p. Moyen Âge[modifier | modifier le code] Les services secrets chez les Normands[modifier | modifier le code] Les sources[Lesquelles ?] Jean Deuve, Les Services secrets normands (le renseignement au Moyen Âge), Condé-sur-Noireau, 1990. Chrétienté et Islam[modifier | modifier le code] Les relations entre l'Occident chrétien et l'Orient musulman par le biais des pèlerinages à Jérusalem furent fréquemment marquées par des soupçons d'espionnage envers les pèlerins.

En 720, Willibald, prêtre anglo-saxon en pèlerinage en Terre sainte, se fait arrêter à Homs sous accusation d'espionnage. Christiane Deluz, « Pèlerin ou espion ? Entre France et Angleterre[modifier | modifier le code] J. Direction générale de la Police nationale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La loi d'orientation et de programmation relative à la sécurité de janvier 1995 a énoncé les missions prioritaires de la Police nationale, confirmées par la loi d'orientation et de programmation pour la sécurité intérieure d'août 2002. Organisation[modifier | modifier le code] Pour mener à bien ses missions, elle s'appuie sur sept grandes directions, trois grands services ainsi que plusieurs unités qui lui sont directement rattachées.

Directions et sous-directions[modifier | modifier le code] Services[modifier | modifier le code] Unités dépendant directement du directeur général de la police nationale[modifier | modifier le code] Établissements publics à caractère administratif sous tutelle de la Direction générale de la Police nationale[modifier | modifier le code] Cas spécifique de Paris et des départements de sa petite couronne[modifier | modifier le code] Moyens[modifier | modifier le code] Moyens matériels[modifier | modifier le code]

Direction générale de la Sécurité intérieure. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La DGSI s'est substituée à la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI)[3], née en 2008 de la fusion de la direction de la Surveillance du territoire (DST) et de la direction centrale des Renseignements généraux (RG)[4],[5]. Histoire[modifier | modifier le code] Un projet initié par Nicolas Sarkozy[modifier | modifier le code] La fusion des RG et de la DST est une volonté affichée par Nicolas Sarkozy lorsqu'il est ministre de l'Intérieur puis candidat à l'Élysée. Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI)[modifier | modifier le code] Ancien logo de la DCRI, devenue depuis la DGSI.

Une des premières apparitions dans les médias de la nouvelle DCRI fut l'arrestation de Julien Coupat dans le cadre de l'« affaire de Tarnac » . En décembre 2008, le siège de la DCRI fait l'objet d'un projet d'attentat orchestré par un islamiste de la région parisienne[12]. Organisation[modifier | modifier le code] Missions[modifier | modifier le code] Direction de la protection et de la sécurité de la défense. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mission principale du Service est la contre-ingérence défense. La DPSD identifie et évalue l'ensemble des risques et menaces à l'encontre des acteurs de la communauté de défense. Sa devise est la suivante : « Renseigner pour protéger ». Membre de la Communauté française de renseignement, la DPSD collabore étroitement avec les autres services de renseignement français, notamment à travers le Conseil national du renseignement (CNR).

La DPSD est régie par les articles D.3126-5 à D.3126-9 du code de la défense. Encadré juridiquement, ce service de renseignement ne dispose pas de pouvoir judiciaire. Histoire[modifier | modifier le code] Après la Seconde Guerre mondiale, trois services de sécurité cohabitent. En 2007, la révision du décret et des arrêtés du 29 novembre 2001 désigne officiellement la DPSD comme service de renseignement. En 2008, elle intègre la communauté du renseignement avec la création du Conseil national du renseignement (CNR).

Agent provocateur (métier) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un agent provocateur est traditionnellement un agent employé par la police ou une autre entité afin d'agir sous couverture dans le but d'entraîner ou provoquer une autre personne à commettre un acte illégal. Au sens large, un agent provocateur est une personne agissant secrètement pour le compte d'un groupe mais apparaissant comme le membre d'un autre pour perturber son activité incitant délibérément, par ses propos et son comportement, à commettre des actes sanctionnés par la loi ou par l'opinion publique. Une façon commune de prévenir l'infiltration par des agents provocateurs[1], utilisée par les organisateurs de rassemblements controversés, est de déployer et coordonner des responsables de la sécurité, chargés d'expulser les manifestants qui incitent à la violence[2],[3].

Une organisation politique ou un gouvernement peut utiliser des agents provocateurs contre des opposants politiques. Service de renseignement. Service Action. Sécurité nationale. Conseil de défense et de sécurité nationale. Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale. Information classifiée en France.