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Aldiko™ - eBook Reader Application for Android. 4 outils pour lire un texte à notre place. La seconde moitié du siècle dernier a connu une évolution remarquable au niveau de la technologie. Celle-ci se développe en permanence pour nous faciliter les choses. Nous pouvons tout faire grâce à ce nombre d'outils et programmes qui ont été concus pour nous aider à effectuer des taches autrement ou facilement. Si vous ne pouvez pas lire un texte ou vous voulez vous reposer en le lisant vous n'avez qu'à faire appel à l'une de ces applications qui nous permettent de lire un texte à notre place. Il existe de nombreuses applications qui peuvent remplir cette mission dont je voudrais partager quelques-une avec vous. 1° TypeIt ReasIt: est un logiciel gratuit pour les systèmes d'exploitation Windows et Mac.

Il a pour fonction de lire un texte à notre place. 2° Hablame: ou Parle moi; est une belle application pour les téléphones Android qui a été concue pour nous aider à lire un texte. 3° Announcify: Google chrome possède son application pour lire un texte. Rawd aluns w nuzht a nafs 1روضة الانس. ابن عباد النفزي. ابن عباد النفزي الرندي، أحد علماء السنة، ومن أعلام التصوف في القرن الثامن الهجري، من أهل "رندة" في الأندلس، (733 هـ - 792 هـ / 1333م - 1390م)، يعتبره كثير من الدارسين الناشر الفعلي والمنظّر الأساسي للمدرسة الصوفية الشاذلية بالمغرب الأقصى[1].

اسمه ونشأته[عدل] هو أبو عبد الله محمد بن إبراهيم بن عبد الله بن مالك بن إبراهيم بن محمد بن مالك بن إبراهيم بن يحيى بن عبّاد النفزي الحميري، المعروف بـ "ابن عباد". تنقل بين فارس وتلمسان ومراكش وسلا وطنجة، واستقر خطيبًا للقرويين بفاس، وتوفي بها[2]. من تلامذته القاضي والمفسر ابن السكاك المكناسي.[3] مؤلفاته[عدل] الرسائل الكبرى، في التوحيد والتصوف ومتشابه الآيات.غيث المواهب العلية بشرح الحكم العطائية، ويُعرف بـ "شرح النفزي على متن السكندري".كفاية المحتاج.الرسائل الصغرى.فتح الطرفة.شرح أسماء الله الحسنى.بغية المريد، نظم به الحكم العطائية. مصادر[عدل] بوابة التصوف. 5599alsh3er. Centenaire du protectorat français au Maroc (30 mars 1912) Je dédie cet article à mon père. Voilà un centenaire, évoqué dans notre éphéméride de mars 1912, qui ne manquera pas de faire polémique. Dans l’histoire coloniale, ce 30 mars 2012 marque en effet le centenaire de la signature du Traité de Fès (ou Fez), qui plaçait le Maroc sous protectorat français.

Un anniversaire peu évoqué dans la presse et par les politiques des deux rives de la Méditerranée, même si l’évènement apparaît bien dans la liste des Commémorations nationales 2012. Mais je souhaite aujourd’hui lui porter un regard différent, ni politique, ni polémique, en tentant de dénouer cette intime imbrication entre Histoire et histoire des familles… Le Traité de Fès est signé le 30 mars 1912 par le Sultan Moulay Abd el-Hafid, sous la pression des troupes françaises campant aux portes de son palais. Le protectorat français au Maroc en quelques dates : 1912-1925 : Le général (et futur maréchal de France) Hubert LYAUTEY est nommé résident général, représentant la France. 1. 2.

Archives de France | 30 mars 1912 Réception des notables de la ville par le général Lyautey Photographie prise à Fès (Maroc), mai 1916 Médiathèque de l’architecture et du patrimoine © Ministère de la Culture - Médiathèque du Patrimoine, Dist. RMN / image RMN Conclu le 30 mars 1912 entre la France et le Maroc, le traité de Fès* établit « l’organisation du protectorat français dans l’empire chérifien ». En le signant, le sultan marocain Moulay Abd el-Hafid (1908-1912) acceptait le protectorat de la France (1) sur ses États. Demi-frère du sultan Moulay Abd el-Aziz, Moulay Abd el-Hafid n’avait eu de cesse d’intriguer contre son frère.

Au début de l’année 1911 plusieurs tribus l’assiégèrent à Fès, sa capitale. L’Allemagne réagit le 1er juillet 1911, en envoyant le croiseur Panther mouiller devant la ville d’Agadir. La France ayant désormais « les mains libres », Eugène Regnault, le ministre plénipotentiaire français à Tanger, fut chargé de faire signer le traité de protectorat à Moulay Abd el-Hafid. . * Cf. Le Maroc actuel - “Protections” et subversion au Maroc (1856-1912) - Institut de recherches et d'études sur le monde arabe et musulman. * Profeseur d’Histoire à la Faculté de Lettres de Rabat. 1Note portant sur l’auteur* 2Les "protections" octroyées par les puissances européennes et les États-Unis d’Amérique à des sujets marocains, musulmans et israélites, en leur qua-lité, réelle ou fictive, de "drogmans" (interprètes auprès des légations et des consulats), "censaux" (courtiers de négociants étrangers établis sur place, de firmes commerciales, de compagnies de navigation, de banques…), ou "mokhalets" (associés agricoles liés théoriquement à des partenaires européens par des contrats de culture ou d’élevage…), ont été pendant longtemps considérées comme une simple excroissance des privilèges capitulaires n’ayant aucun effet notable sur l’État et la société d’accueil. 5Ces changements étaient souvent appréhendés par les chroniqueurs de l’époque en termes de montée d’un "individualisme" forcené, de relâchement des liens communautaires et d’opacification de la solidarité religieuse.

III_-_Protmand_modifie_maroc. Bo_112_fr. المملكة المغربية : علم و عمران. جمال بامي مدير وحدة العلم والعمران بالمغرب ظلت حاضرة سلا طوال تاريخها الحافل مجمعا للعلم والصلاح، ومجالا لخبرات إنسانية ضمت العبقرية المغربية والتراث الأندلسي الذي ارتبط بمنطقة عُدوتي الرباط وسلا بمعطياته الفكرية والحضارية، وقد جمعت هذه المدينة المباركة بين رقة الحضارة وتأثير ثقافة البادية والطبيعة، وما يرتبط بها من بساطة فكانت الخلاصة توفير جو مناسب للناسكين والزهاد والباحثين عن حرم آمن من أجل الترقي في مقامات العرفان.. ونحن نعرف أن بعض مشاهير العلماء والصلحاء من أهل الأندلس، اختاروا مدينة سلا كخلوة للتأمل والترقي أشهرهم الكاتب الخطير لسان الدين بن الخطيب، ومعلوم أن الشيخ الأكبر أبو بكر ابن عربي الحاتمي كان قد أخذ بعض علمه بمدينة سلا عن أحد علمائها الكبار، وهو أبو أحمد السلوي الذي صحب أبا مدين الغوث ثمان عشرة سنة كما في جامع كرامات الأولياء للنبهاني، ج: 1، ص: 420.

بعد وفاة الشيخ اليابوري، انتقل أحمد بن عاشر لعدوة سلا، فنزل منها بزاوية الشيخ أبي زكرياء الكائنة بقرب الجامع الأعظم، وبدار المقدم عليها الشيخ أبي عبد الله محمد بن عيسى، تلميذ الشيخ أبي زكرياء المذكور.. Terredisrael. Hassan Majdi berbère d’origine et né à Demnate, vivant à Marrakech a été coaché pendant 4 années par Dr Arrik Delouya et vient d’obtenir le titre de docteur ès-lettres de l’Université de Paris 8 avec les félicitations du Jury et la mention très honorable. Il est le premier musulman marocain à avoir cherché dans cette niche. La vénération des saints personnages, le pèlerinage à leurs sanctuaires et le recours à leur protection, largement répandus chez les Juifs du Maroc, reste l’une de leurs caractéristiques culturelles la plus importante. Au moindre malaise, ils font appel aux saints protecteurs et ne manquent aucune occasion pour se rendre sur leurs tombeaux et implorer leur protection et leur bénédiction. Ce culte hagiographique prédispose les Juifs du Maroc à avoir des saints personnels.

Ce lien bilatéral n’empêche pas le fidèle d’implorer d’autres saints. Ces cultes populaires juifs présentent d’évidente analogie avec les cultes maraboutiques du Maroc. Méthodologie : Dr. Art_maqal_Chellah-2. قصيدة أبى الطيب الرُّندي في رثاء الأندلس دراسة بلاغية تحليلية » جامعة أم القرى. ابن عباد النفزي.