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L'autorité

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La soumission à l'autorité. On doit cette célèbre expérience à Milgram. Cette expérience a été maintes fois reproduite dans de nombreux pays et les résultats sont toujours aussi convaincants que ceux de Milgram. Cette expérience peut donner des pistes de réflexions sur ce qui peut amener des personnes à torturer (ici par des chocs électriques) d’autres personnes et cela, non pas du fait de leurs caractéristiques individuelles mais du fait d’un contexte spécifique. La procédure est simple : La consigne est simple : Si l’élève donne une mauvaise réponse, le professeur (sujet naïf) doit lui administrer un choc électrique croissant de 15 volts à chaque erreur et cela de 15 jusqu’à 450 Volts où il est d’ailleurs indiqué « danger ».

Bien sûr, les chocs électriques ne sont pas réels mais ce qui est important c’est qu’ils le sont pour le sujet naïf. Différentes variantes ont été réalisées et exposées pour la plupart ci-dessous: La famille Le cadre institutionnel Les récompenses Conditions générales spécifiques : Les trois conceptions actuelles de l’autorité. Depuis maintenant cinq années [1], le propos sur le concept d’autorité envahit tous les secteurs de la vie sociale. Il produit d’une part des discours politiques et médiatiques présentés comme des relais de l’opinion publique ; d’autre part des discours et des débats contradictoires entre les différentes disciplines des sciences humaines. Ainsi, certains philosophes, sociologues, psychologues, psychanalystes ou encore chercheurs en sciences de l’Education ébauchent une pensée alternative encore peu diffusée. À l’examen de ces différents discours, trois conceptions de l’autorité se dégagent que nous nommons « autorité autoritariste », « autorité évacuée » et « autorité éducative ».

Bien que l’on puisse dater approximativement chacune d’elle, ces trois manières de penser l’autorité coexistent actuellement, s’imbriquent même très souvent dans les propos de tel responsable ou acteur social. I - L’autorité autoritariste II - L’autorité évacuée III - L’autorité éducative Bibliographie Imbert (A. Eduquer sans punir / mais avec autorité. Eduquer sans punir / mais avec autorité Tout a commencé par une remise en question de l’éducation qu’on donnait à nos Loulous et surtout des limites de notre autorité et oui on se creuse la tête dans Notre Bulle. Il y a d’abord eu un premier livre. Celui de Thomas Gordon, Eduquer sans punir et quelques idées pas mal du tout à mette en place. Cela dit pas de punitions… là d’un coup tout de suite… ça nous paraissait impossible. Le risque d’extrême chaos dans Notre bulle était trop grand. Il nous fallait autre chose. Autre chose de différent. Au hasard, je suis tombée sur Parents, osez dire non du Dr Patrick Delaroche.

L’approche est très différentes mais certains points valent le coup d’être partagés. L’interdit est un besoin D’abord l’interdiction semble une nécessité pour l’éducation, mais très vite on se rend compte que plus l’autorité des parents est solide, moins ils ont besoin de formuler ces interdictions. Et là je reste perplexe. L’art et la manière d’interdire Like this: » Qu’est-ce que l’autorité? La rumeur du monde bruisse d’un certain désaveu de la politique de l’enfant-roi. L’heure est à l’émergence des « mamans tigres » si l’on en croit le débat ouvert en Amérique par la publication du livre d’Amy Chua : Hymne guerrier d’une maman tigre (Battle Hymn of the Tiger Mother, Penguin). Elle est donc à la redécouverte des vertus de l’autorité, en pédagogie semble-t-il plus qu’en politique.

Et parce que sous le beau mot d’autorité, on peint ce qui en est la négation absolue, (discipline militaire, mobilisation de punitions sévères, la plus grotesque étant quatre ans d’anniversaire supprimés), il m’a paru intéressant de proposer ce modeste rappel des significations. Précaution salutaire car la société moderne est tellement étrangère à quelque chose comme l’autorité qu’elle est sans doute devenue inapte à restituer la nature d’une expérience correspondant à d’autres conditions historiques de vie politique. Analyse de la notion A première vue la réponse est simple. Conclusion : Partager : Autorité. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Notion[modifier | modifier le code] Autoritarisme[modifier | modifier le code] Au point de vue démarche, l'autoritarisme correspond à l'attitude de la personne qui contraint physiquement et/ou psychiquement les personnes qu'elle commande.

Légitimité[modifier | modifier le code] L'autorité ne correspond pas à une qualité intrinsèque, mais à une attribution ou une conférence qui légitime le pouvoir de commander et d'être obéi. L'autorité d'un magistrat tient de la Loi, ainsi que de sa fonction au sein de la justice (règlement, structure). Pouvoir[modifier | modifier le code] L'autorité correspond à une valeur reconnue et attribuée ou conférée ; elle diffère donc du pouvoir. Commandement et obéissance[modifier | modifier le code] Le commandement est l'action et l'objet de la personne qui commande, c'est-à-dire qui donne un ordre. Ce bien-fondé est évalué selon les désirs individuels et les jugements personnels d'ordre public. Autorité parentale en France. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En droit français, l'autorité parentale est un ensemble de droits mais également de devoirs, que les parents ont à l'égard de leurs enfants mineurs.

L'autorité parentale est mise en œuvre par la loi sous la forme de l'autorité parentale conjointe[1]. En 1970, elle a remplacé, en droit français, la « puissance paternelle » qui assurait l'exclusivité de l'autorité du père sur les enfants (l'autorité absolue du mari sur la femme s'appelait « puissance maritale »). L'« autorité parentale » consacre l'égalité des droits et devoirs du père et de la mère dans l'éducation des enfants. L'autorité paternelle continue d'exister dans de nombreux pays. Présentation[modifier | modifier le code] permettre les échanges avec l’autre parent dans le respect du cadre de vie de chacun, mais aussi avec les grands-parents. L'autorité parentale est définie selon l'article 371-1 du code civil[2]. Historique[modifier | modifier le code] Portail du droit français.

Autorité parentale en cas de séparation des parents. Juge compétent Le juge aux affaires familiales est compétent, en cas de séparation des parents, sur les questions relatives : Il peut être saisi par l'un des parents ou par le ministère public (pouvant être lui-même saisi par un tiers, parent ou non). Décision du juge Le juge doit veiller à la sauvegarde des intérêts des enfants mineurs et prendre des mesures afin de garantir la continuité et l'effectivité du maintien des liens de l'enfant avec chacun des parents. Il peut décider que l'autorité parentale sera exercée : soit en commun par les 2 parents (en règle générale),soit par un seul des parents (en cas de circonstances particulières).

Le juge fixe également la résidence de l'enfant et les conditions d'exercice du droit de visite et d'hébergement. Les décisions du juge peuvent être modifiées à tout moment, si des éléments nouveaux interviennent, à la demande de l'un des parents (en utilisant le formulaire cerfa n°11530*04) ou du procureur de la République Médiation familiale. Autorité parentale.