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Etude de cas

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Pourquoi le Made in France ne tient pas ses promesses à l'étranger. La chaise de jardin française qui séduit les Belges - Entreprendre. Du mobilier de jardin en fer.

La chaise de jardin française qui séduit les Belges - Entreprendre

D'où le nom Fermob. Rien de plus simple comme produit : une chaise de bistro pliable, en fer gris ou peinte en vert. Voilà, en gros, la spécialité du petit atelier racheté par Bernard Reybier (58 ans) en 1989, en pleine campagne française, entre Lyon et Dijon. "Il semble que les origines de Fermob remontent à la fin du 19e siècle", relate le patron actuel. "D'abord simple activité de maréchal ferrant, l'entreprise a évolué vers un projet industriel, après qu'un des artisans a fait des études d'ingénieur. " Même si pour Bernard Reybier, le rachat de Fermob pouvait quasiment être assimilé à une création d'entreprise - il n'a repris à l'époque que l'atelier, pas le personnel commercial et comptable -, il reste fort attaché au côté traditionnel de son métier.

Etape 1 : consolider et professionnaliser l'offre En 1996, il crée une petite révolution en lançant les coloris vanille, anis et mandarine. Etape 2 : créer une marque forte. La centenaire Fermob poursuit sa conquête du monde - chiffres et Résultats Chine. Fermob hier En novembre 2011, lors de notre précédent article consacré à l'entreprise Fermob, la chaise Bistro, son best-seller, souffle ses 122 bougies.

La centenaire Fermob poursuit sa conquête du monde - chiffres et Résultats Chine

Comme elle, les 300 produits du catalogue de l'entreprise de mobilier d'extérieur se déclinent dans 24 coloris et agrémentent parcs et jardins de 36 pays. Depuis l'arrivée de Bernard Reybier à sa tête en 1989, l'entreprise centenaire s'est refait une jeunesse. En privilégiant l'innovation et l'export, Fermob assoit sa renommée mondiale et diversifie ses produits. Le chef d'entreprise ne cache pas ses ambitions : consolider sa position sur les marchés déjà conquis, développer son outil de production et accroître sa présence dans la zone Asie-Pacifique. Fermob aujourd'hui Deux ans plus tard, c'est chose faite. Pour y développer ses ventes, le dirigeant développe des partenariats avec des revendeurs en Corée du Sud, en Inde, à Singapour et à Taiwan. " Modestement, on veut envahir la Chine, confie Bernard Reybier. Résultat ? FERMOB - Informations sur l'entreprise & Contact des décideurs.

Synthese_regards_croises_18avril2013.pdf - made in France, ex. Fermob "Sorbonne" Rapport_marque_france.pdf. Fermob envahit les jardins. Fermob, “so French” ! Coquelicot sur Times Square à New York, tilleul dans les jardins de Majorelle à Marrakech, vert dans le jardin des Tuileries à Paris, anis sur le campus de l’université de Harvard, dans le Massachusetts, fuchsia sur Better Bankside à Londres et blanc coton dans la vitrine de la boutique Louis Vuitton à Singapour… Ce sont les couleurs des chaises, des fauteuils et des bancs disposés dans ces lieux situés aux quatre coins du monde.

Fermob, “so French” !

Tous ces sièges ont pour point commun d’avoir été fabriqués par une société française, Fermob. Le secret de cette réussite ? Avoir su faire d’une simple chaise de jardin en métal le symbole d’un art de vivre. Résultat : le nom de cette PME originaire de Thoissey, dans l’Ain – elle emploie 193 salariés – , est devenu une marque “furieusement tendance”. « Nous venons d’un métier que l’on trouvait naguère dans tous les villages, maréchal-ferrant », explique Bernard Reybier, président de Fermob. I love bistro: 125 ans Fermob. Campus d'Harvard. BryantPark Logo. Tote 06 ACTIVE. Bryantpark 5. Vidéo et article - Le Cercle Palatine ETI » L’avenir du Made in France est dans l’innovation. Le Cercle Palatine des ETI poursuit ses travaux en région et donne la parole à ces dirigeants d’entreprises à fort potentiel de croissance dont la France a besoin.

Vidéo et article - Le Cercle Palatine ETI » L’avenir du Made in France est dans l’innovation

Première étape : Lyon. Des dirigeants inquiets A l’heure où Louis Gallois remet son rapport au Gouvernement, les entrepreneurs lyonnais s’interrogent sur l’avenir du Made in France. Comme eux, seuls 17 % des dirigeants d’ETI ont aujourd’hui confiance dans l’économie française, son plus bas niveau depuis 2010 [1]. « Mon carnet de commandes n’excède pas trois semaines » précise d’emblée un dirigeant d’ETI présent, qui a conscience du risque de cercle négatif : en réduisant sa propre production, c’est tout un écosystème de sous-traitants et de fournisseurs qui se retrouvent eux-mêmes en difficulté.

Des freins à lever pour retrouver le chemin de la compétitivité En Rhône-Alpes comme ailleurs, les déficits de l’économie française sont identifiés. Innover et s’internationaliser L’innovation peut prendre différentes formes. Vidéo - La chaise Bistro Fermob s'exporte à New York !