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Types de métadonnées

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Tableau - Types de métadonnées. RDF : Resource Description Framework. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir RDF. En annotant des documents non structurés et en servant d'interface pour des applications et des documents structurés (par exemple bases de données, GED, etc.) RDF permet une certaine interopérabilité entre des applications échangeant de l'information non formalisée et non structurée sur le Web.

Principes fondamentaux[modifier | modifier le code] Un document structuré en RDF est un ensemble de triplets. Un triplet RDF est une association : (sujet, prédicat, objet) Le sujet, et l'objet dans le cas où c'est une ressource, peuvent être identifiés par une URI ou être des nœuds anonymes. Les documents RDF peuvent être écrits en différentes syntaxes, y compris en XML. Un document RDF ainsi formé correspond à un multigraphe orienté étiqueté. {sujet, objet, prédicat} ⇔ prédicat(objet, sujet) ce qui est équivalent à : ∃ objet, ∃ sujet tq prédicat(objet, sujet) Vocabulaires RDF[modifier | modifier le code] L'objet est :

XML - Extensible Markup Language. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Extensible Markup Language (XML[note 1], « langage à balise extensible » en français) est un langage informatique de balisage générique qui dérive du SGML. Cette syntaxe est dite « extensible » car elle permet de définir différents espaces de noms, c'est-à-dire des langages avec chacun leur vocabulaire et leur grammaire, comme XHTML, XSLT, RSS, SVG… Elle est reconnaissable par son usage des chevrons (< >) encadrant les balises. L'objectif initial est de faciliter l'échange automatisé de contenus complexes (arbres, texte riche…) entre systèmes d'informations hétérogènes (interopérabilité). Avec ses outils et langages associés, une application XML respecte généralement certains principes : la structure d'un document XML est définie et validable par un schéma ;un document XML est entièrement transformable dans un autre document XML.

Historique[modifier | modifier le code] XML et SGML[modifier | modifier le code] <? <! ÐÏ à¡± á > þÿ ! <? Répétable <! XHTML - Extensible HyperText Markup Language. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. XHTML (Extensible HyperText Markup Language) est un langage de balisage servant à écrire des pages pour le World Wide Web. Conçu à l'origine comme le successeur de HTML, XHTML se fonde sur la syntaxe définie par XML, plus récente, mais plus simple que celle définie par SGML sur laquelle repose HTML.

Il s'agissait en effet à l'époque de tirer parti des bénéfices techniques attendus de la simplification offerte par XML. Le nom XHTML[modifier | modifier le code] Comme de nombreux langages fondés sur XML, celui-ci commence par la lettre X, qui représente le mot extensible. XHTML, évolution de HTML[modifier | modifier le code] XHTML 1.0 reformule simplement HTML 4 en application de XML 1.0. XHTML 1.0 est devenu une recommandation du W3C en 2000[3], et le XHTML 1.1 en 2001[4]. Conversion de HTML en XHTML[modifier | modifier le code] Cet exemple illustre les différences syntaxiques les plus courantes entre un document écrit en HTML 4 et en XHTML 1.0. HTML - Hypertext Markup Language. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L’Hypertext Markup Language, généralement abrégé HTML, est le format de données conçu pour représenter les pages web. C’est un langage de balisage permettant d’écrire de l’hypertexte, d’où son nom. HTML permet également de structurer sémantiquement et de mettre en forme le contenu des pages, d’inclure des ressources multimédias dont des images, des formulaires de saisie, et des programmes informatiques. Il permet de créer des documents interopérables avec des équipements très variés de manière conforme aux exigences de l’accessibilité du web.

Dénomination[modifier | modifier le code] L’anglais Hypertext Markup Language se traduit littéralement en langage de balisage d’hypertexte[1]. Le public non averti parle parfois de HTM au lieu de HTML, HTM étant l’extension de nom de fichier tronquée à trois lettres, une limitation qu’on trouve sur d’anciens systèmes d’exploitation de Microsoft. Évolution du langage[modifier | modifier le code]