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Pédagogie inversée

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Mots-clés : Pédagogie inversée / Classe inversée / Flipped classroom

Classes inversées : fossilisation des pratiques ou innovation à l’ère numérique ? Classes inversées (flipped classrooms). L’appellation (d’abord en anglais, plus tard en français) apparaît vers 2007 quand deux enseignants de chimie[1], Jonathan Bergmann et Aaron Sams (dans l’équivalent de notre secondaire aux États-Unis), découvrent le potentiel pédagogique de vidéos (PowerPoint commentés, screencasts[2]…). Il s’agissait pour eux de motiver leurs élèves à préparer (à domicile ou sans la présence physique ou la supervision de l’enseignant) les leçons traditionnellement données en classe afin de les rendre plus interactives : « Lectures at home and homework in class » (les leçons à la maison, les devoirs en classe), le slogan était lancé[3].

Il ne s’agit pas de remplacer l’enseignant par une vidéo, mais d’utiliser des ressources de l’ère numérique pour permettre à ce dernier de faire encore mieux son métier d’accompagnateur d’apprentissage. Bergmann et Sams, les « inventeurs » des classes inversées, expriment bien les transformations induites par cette méthode[4]. ENT et classe inversée, une expérience intéressante en cours de maths. D’un point de vue technique, l’ENT facilite grandement la mise en place d’une pédagogie de classe inversée. Parallèlement à l’ENT, Raphaëlle Vafiades utilise certains outils de l’académie sur l’Eduportail comme par exemple des outils de QCM. Le cahier de textes de l’ENT permet ensuite de diffuser rapidement aux élèves un QCM qui vérifiera certains points de compréhension avant le cours en classe.

Plus classiquement, l’ENT va servir à Raphaëlle pour déposer des liens vidéo que les élèves devront consulter à la maison. De plus, certaines ressources sont déjà présentes dans l’ENT, ce qui facilite également le travail de recherche (comme le Site.tv, par exemple). Les élèves sont-ils consciencieux et réalisent-ils vraiment le travail demandé ? Sur les outils comme les QCM, Raphaëlle a le moyen de vérifier si le travail a été bien fait ; pour les vidéos, elle ne peut s’assurer qu’elles ont été visionnées par tous. Avec la classe inversée, on gagne du temps sur le cours et on mémorise mieux. La pédagogie inversée. La pédagogie inversée : les flipped classrooms : de nouveaux espaces-temps pour enseigner et apprendre à l'ère numérique Conférence de Marcel Lebrun, professeur à la Faculté de Psychologie et des Sciences de l'éducation de l'UCL de Louvain ; Le mercredi 3 Octobre 2012 lors du Forum@tice Document support de la conférenceLe blog de Marcel Lebrun A propos de la pédagogie inversée Qu'est-ce que c'est ?

(Cégep Levis-Lauzon : informations et ressources en technopédagogie)Pédagogie inversée (Pearltrees de V. Marty)La pédagogie inversée : bouleversons nos manières d'enseigner (Le Web pédagogique)L'utilisation de la vidéo pour substituer l'enseignement magistral (Université du Québec)Pédagogie inversée et résultats scolaires (Infobourg)Tic et pédagogie inversée (P. Nobis, Cursus.edu)Pédagogie inversée : mon pourquoi et mon comment (Annick Arsenault)La pédagogie façon Tarte Tatin (R. Marcel Lebrun : livres, articles, conférences. La classe inversée. Introduction La classe inversée, ici mise en place, repose sur la mise à disposition la veille du cours d’une capsule. Cette capsule vidéo courte n’est pas un résumé mais se présente plus comme une “mise en bouche” de la notion.

Que met-on dans la capsule ? Avec l’iPad, on a des applications qui permettent de réaliser des capsules facilement. J’utilise Adobe Voice qui est gratuite. Visionnage la veille de la capsule L’élève visionne une capsule de deux minutes servant de point d’accroche à la notion abordée. Je joins à la capsule un formulaire Google pour vérifier qu’il n’y a pas eu de problème de connexion.

Dans le formulaire, il y a 3 questions : “Quel est le nom de l’élève ?” Classe inversée : des résultats scolaires nettement supérieurs - L'École branchée - actualité. Au Calhoun Community College, en Alabama, les étudiants sont responsables de connaître la matière avant d’arriver en classe. Sur place, ils travaillent ensemble sur des projets leur permettant de progresser dans leurs apprentissages, tout en menant des discussions significatives avec l’enseignant.

Bienvenue à l’ère de la classe inversée! Le concept de classe inversée est très populaire ces temps-ci. L’idée a notamment fait du chemin avec la popularité grandissante de la Khan Academy, un espace Web qui fait la promotion de l’apprentissage libre et gratuit pour tous. Au Calhoun Community College, c’est la réalité de plusieurs groupes. Le modèle a été présenté à l’occasion d’une conférence Web organisée par eSchool News, un site américain d’information en éducation. Dans les dernières années, le Calhoun Community College a vu sa clientèle augmenter de 25 % en raison de l’explosion démographique. Elles servent néanmoins une mise en garde. À lire aussi : Enseigner à l’ère des hackers. La pédagogie inversée - L'École branchée - actualité. (page précédente) La ZoneTIC du Cégep Lévis-Lauzon décrit la « pédagogie inversée » (ou classe renversée, flipteaching, reverse instruction) comme ceci : une stratégie d’enseignement où la partie magistrale du cours est donnée à faire en devoir à la maison, alors que les traditionnels devoirs (travaux, problèmes et autres activités) sont réalisés en classe.

Quel est l’intérêt? Lorsque les élèves appliquent ce qu’ils ont appris à l’école en faisant leurs devoirs à la maison, ils rencontrent parfois des difficultés et des questionnements qu’ils ne rapportent pas toujours à l’école le lendemain. De plus, la collaboration entre pairs n’est pas toujours facile à cause des horaires de chacun. Les adeptes de la pédagogie inversée préfèrent donc que les élèves utilisent le temps de classe pour construire, collaborer, lancer des défis, remettre en question leurs apprentissages plutôt que de s’asseoir et écouter.

Dans cette philosophie, les technologies sont omniprésentes. Pour lire la suite. Apprentissage par enquête et Pédagogie inversée. «C’est le rôle de la prospective que de ne pas minimiser les tensions et les dangers futursau nom d’un optimisme de convention. Mais l’anticipation se veut aussi une incitation à l’action. En cela, elle ne saurait non plus céder au pessimisme.»Vers les sociétés du savoir, Rapport mondial de l’UNESCO, 2005 Dernièrement, une personne dans mon entourage professionnel m’a fait grandement réfléchir à propos de la grande importance que l’on accorde en éducation au spécialiste, à l’expert à qui on accorde le monopole du savoir. On aura pu constater, il y a quelques mois, dans le cadre du débrayage des étudiants, à quel point cette notion est aussi amplement ancrée dans le paysage médiatique.

En effet, combien de fois a-t-on lu ou entendu des journalistes et des animateurs dire : «donner des cours», «assister à des cours», «manquer des cours». Qu’on ne se méprenne pas! C’est ici que la notion de partage d’expertise et de réelle interactivité prend toute son importance. Source Wikipedia. Flipped classroom ou la classe inversée : l’utilisation de la vidéo pour substituer l’enseignement magistral. Peut-être ce concept vous est-il familier, ou du moins vous en avez entendu parler à travers les branches? Sinon, voici un bref survol de ce qui depuis peu a fait son apparition sur les lèvres des enseignants des écoles primaires jusqu’aux professeurs des universités, et ce surtout dans le milieu anglophone. Qu’en est-il? Vous conviendrez qu’il n’y a rien d’innovant à utiliser des vidéos pour enrichir l’enseignement; plusieurs exemples de l’utilisation de capsules vidéo comme outil pédagogique couvrent l’actualité éducative.

Nous avons qu’à penser, entre autres, aux diverses plateformes pédagogiques qui permettent d’ajouter des vidéos pour consultations par les étudiants ou encore à la Khan Academy. Ce qui distingue la classe inversée, c’est l’approche pédagogique rendue possible par les vidéos. D’où vient cet engouement? Pour en savoir davantage et surtout si vous vous sentez interpellés par l’expérience, il existe plusieurs références sur le web qui sauront guider votre choix. La pédagogie inversée : bouleversons nos manières d'enseigner !LeWebPédagogique. La pédagogie inversée ou classe inversée qu’est ce que c’est? Fini le cours magistral ! La pédagogie inversée laisse l’élève préparer le cours à la maison à l’aide de vidéos, de podcasts, de lectures conseillées par le maître. La séance en classe est alors un grand brainstorming de ce qui a été construit ou pour le moins étudié.

On travaille en groupe, on bâtit un projet, on s’entraîne autour de tâches complexes. Pourquoi la pédagogie inversée est-elle un GRAND bouleversement ? La pédagogie inversée chamboule les rôles traditionnels à l’école. En effet dans la pédagogie inversée ou classe inversée (« flip classroom » en anglais) la notion est d’abord étudiée seul par l’élève. Il y a donc d’abord transfert de l’information: l’enseignant communique le savoir ensuite l’élève doit être capable de l’assimiler et de le réinvestir ! « Dans la pédagogie inversée, le rôle de l’enseignant devient central, explique Alice Yeager, enseignante en développement de l’enfant. 2. 3.

Monsieur Mathieu. La classe inversée.