background preloader

Comprendre

Facebook Twitter

Limiter le pouvoir des algorithmes. "Face à la gouvernementalité algorithmique, repenser le sujet de droit " by Antoinette Rouvroy. Antoinette Rouvroy, National Fund for Scientific Research (FNRS) and Information Technology & Law Research Centre, University of Namur (CRID) Abstract I - Produire la réalité à même le monde : une nouvelle stratégie de gestion de l'incertitude. 1.Gouvernementalité algorithmique et capitalisme.

"Face à la gouvernementalité algorithmique, repenser le sujet de droit " by Antoinette Rouvroy

Why Big Data Is Not Truth. Smart Homes: Our Next Digital Privacy Nightmare. The hyper-connected smart home of the future promises to change the way we live.

Smart Homes: Our Next Digital Privacy Nightmare

More efficient energy usage, Internet-connected appliances that communicate with one another and cloud-enhanced home security are just some of the conveniences we'll enjoy. Why the collision of big data and privacy will require a new realpolitik. What is Personal Data and How Much Personal Data Exists? In 1995, the European Union introduced privacy legislation that defined “personal data” as any information that could identify a person, directly or indirectly.

What is Personal Data and How Much Personal Data Exists?

The legislators were apparently thinking of things like documents with an identification number, and they wanted them protected just as if they carried your name. Today, that definition encompasses far more information than those European legislators could ever have imagined—easily more than all the bits and bytes in the entire world when they wrote their law 18 years ago. Here’s what happened. Ricochets - Big Data : la Pythie postmoderne ? En ces temps post-modernes et où les mythes d’antan ne cessent de se rappeler à notre bon souvenir, il est de bon ton de se rappeler de l’auguste distinction de Cicéron*.

Ricochets - Big Data : la Pythie postmoderne ?

Celui-ci avait en son temps décrit deux branches de divination, instituant ainsi une vraie différence entre ces deux « arts du pronostic » : la voyance et la mantique. Pour comprendre la vie privée, il faut la remettre en contexte. Par Hubert Guillaud le 11/05/10 | 7 commentaires | 3,933 lectures | Impression Comment la vie privée se redéfinit à l’heure des nouvelles technologies ?

Pour comprendre la vie privée, il faut la remettre en contexte

Pour Olivier Glassey de l’Observatoire science, politique et société de l’université de Lausanne, toute la question est de comprendre comment celle-ci évolue à l’heure des identités socialement distribuées. Pour Christian Heller, au contraire, il est temps de basculer dans une société post-privacy dans laquelle ce qui relevait de notre défunte intimité est l’occasion de construire de nouvelles sociabilités. La valeur sociale de la vie privée. Souvent, la réponse aux inquiétudes concernant la confidentialité de nos données consiste à dire que « ceux qui ne transgressent pas la loi n’ont rien à se reprocher » : nous n’avons rien à craindre de la collecte massive de données.

La valeur sociale de la vie privée

La vie privée, finalement, n’est qu’un problème de vieux cons. Qu’importe si les caméras de surveillance nous filment, si nos communications sont écoutées, si nos activités sont enregistrées, si nos déplacements sont surveillés, si nos achats sont tracés… : les bons citoyens, employés, consommateurs que nous sommes n’ont rien à se reprocher de cette surveillance généralisée qui n’a pour but que de déjouer ceux qui contournent les règles communes, ceux qui s’en prennent à notre sécurité collective. C’est l’argument bien connu de la chasse aux terroristes, aux pirates, aux hackers, aux spammers, aux déviants… qui autorise la surveillance de toutes les communications, le filtrage et le bridage de l’internet ou le contrôle des déplacements… Une démocratisation de la vie privée. “Il y a 15 ans, quand on arrivait au bureau, on n’avait aucun contact autre que professionnel.

Une démocratisation de la vie privée

La vie privée restait en dehors du bureau, on ne faisait que travailler.Et c’est d’ailleurs ce que l’école cherche aussi à apprendre aux enfants : à passer du temps sans leurs parents, à faire autre chose que jouer, et apprendre à se concentrer, avec ses rituels à l’entrée, à la sortie, voire ses uniformes…” Slides du séminaire EHESS d’Antonio Casilli “Contre l’hypothèse de la fin de la vie privée” (20 nov. 2012. Rank_cdf.eps - paper.pdf.