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Filtrage et censure

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Nicolas Sarkozy veut "réguler Internet pour en corriger les excès et les dérives" Only 1.7% of sites blocked by Scandinavia's "child-porn" filters are actually child porn. En Allemagne, la suppression des contenus pédophiles affiche son efficacité - Numerama. Russie: nouvelle “règle des 24 heures” pour censurer les commentaires » Article » OWNI, Digital Journalism. Désormais, les médias en ligne doivent supprimer ou éditer les commentaires “inappropriés” de leurs sites dans les 24 heures suivant notification, sous peine de perdre leur immatriculation comme média. [Liens en russe sauf mention contraire] Une décision [en anglais] de la Cour suprême de Russie du 15 juin qui “exonère” les sites d’information de toute responsabilité pour les commentaires de leurs visiteurs s’avère en fait être l’introduction d’une procédure de censure à grande échelle. Roskomnadzor, un service fédéral qui surveille Internet et les média traditionnels pour le ministère russe des Télécommunications, a introduit une nouvelle “règle des 24 heures” selon laquelle les médias en ligne doivent supprimer ou éditer les commentaires “inappropriés” de leurs sites dans les 24 heures suivant notification, sous peine de perdre leur immatriculation comme média.

Voici cette procédure: Quelques blogueurs ont essayé de rester optimistes (sans succès). StrangeAttractor écrit : Filtrage par DPI ne rime pas avec HADOPI. Dans son discours à la Culture, le président Nicolas Sarozy a pressé la Haute Autorité a lancer au plus vite les tests de filtrage des réseaux prévus par les accords Olivennes, voilà deux ans. Sur ce terrain, plusieurs documents doivent être rappelés. Tous concernent la LOPPSI, laquelle initie le blocage des sites pédopornographiques. Mais l’industrie du disque ayant plusieurs fois fait connaître son intérêt pour les avancés réalisées sur ce terrain, cela nous autorise sans risque à en faire référence.Déluge d'études sur le filtrage et le blocage Parmi ces documents, citons d’abord l’étude fondatrice de Christophe Espern intitulée « Principe, intérêts, limites et risques du filtrage hybride à des fins de blocage de ressources pédopornographiques ».

Du côté du gouvernement : le déluge laisse place au désert. L'inspection du DPI Dans la marmite des techniques disponibles, c’est celle du DPI ou Deep Paquet Inspection qui a le vent en poupe. DPI ? Une surveillance passive, devenue active. Internet: la France plus risible que l'Italie (pour une fois) | Pourquoi se moquer de l'Italie? Vous avez probablement tous lus ces derniers temps des articles alarmistes à propos d'un projet gouvernemental italien visant à mettre en place un organe de contrôle des vidéos sur Internet. Une autorité (que certains voudraient déjà appeler Coglioni Senza Argomenti —ou Couillons sans arguments— CSA, tiens, tiens) serait ainsi chargée officiellement de contrôler la diffusion des images sur tous les sites de partage. Plus fort, le projet déposé par Paolo Romani, ministre délégué aux Communications du Gouvernement Berlusconi, imposerait aux sites de diffusion de vidéos l'obtention d'un agrément sans lequel ils pourraient être condamnés à une amende allant jusqu'à 150 000 euros.

Bien entendu cela suscite un fort tollé, des deux côtés des Alpes. Publicité En France, on se gausse. Or le texte européen exclut expressément dans son attendu 16 l'extension d'un tel régime de contrôle et d'autorisations au web communautaire. Quand on peut se moquer de la France. RSF fustige le décret de Berlusconi sur le contrôle du web - PC. L'Europe se prononcera sur la légalité du filtrage par les FAI - Mise à jour 19 avril 2010 : La question préjudicielle posée par les juridictions belges a été publiée au journal officiel de l’union européenne. On pourra la lire in extenso sur ce lien. Première diffusion 5 février 2010 : Alors que la France tricote plusieurs textes pour imposer le blocage des sites internet, une récente décision de justice rendue en Belgique pourrait changer la donne.

Les juridictions belges viennent de poser une question préjudicielle à la cour européenne de justice pour savoir si, à son échelle, ces mesures étaient compatibles avec le droit européen. La réponse pourrait ainsi impacter l’ensemble des législations et spécialement la France qui a souhaité expérimenter le filtrage des contenus dans le cadre de la loi Hadopi. Question préjudicielle ? En l’occurrence, il s’agit de la fameuse affaire Sabam vs Scarlet. L’affaire est remontée jusqu’en appel. Problème : le droit belge n’est pas autonome, il s’inscrit dans le droit européen. Cleanternet : blocage et filtrage ont désormais leur clip vidéo. La campagne Cleanternet aurait pu être signée par le rejeton improbable d’un Terry Gilliam croisé avec George Orwell. Elle vise en fait à soutenir à sa façon la commissaire européenne Cecilia Malmström « dans ses projets d'introduire un système de blocage de sites Internet en Europe » (en savoir plus).

On le comprendra assez rapidement, cette vidéo suinte la parodie, le second degré et au-delà. Elle n’en reste pas moins excellemment réalisée lorsqu’on cherche à illustrer la problématique du filtrage, du blocage et du tout sécuritaire sur le web. Son auteur insiste d’ailleurs afin que l’Europe entière mette le cap vers une plus grand e-hygiène : « Tous les pays européens doivent être contraints de se battre pour un Internet plus propre et plus sûr ». Mais trêve de bavardage, c’est ci-dessous que cela se passe (en anglais, sous-titré): L'Australie interdit partiellement les commentaires anonymes sur. Commentaires anonymes interdits : l'Australie fait marche arrièr.

Scoop: Govt internet filter going live is sad day for NZ. Govt internet filter going live is sad day for NZ Internet The Department of Internal Affairs has admitted that the internet filter is now operational and is already being used by ISPs Maxnet and Watchdog. It appears that Maxnet have not told their customers that they are diverting some of their internet traffic to the government system to be filtered. Thomas Beagle, spokesperson for Tech Liberty, “We’re very disappointed that the filter is now running, it’s a sad day for the New Zealand internet.” The DIA refuses to say which other ISPs will be joining the filter, claiming the right to negotiate in secret.

Tech Liberty understands that Telstra Clear, Telecom and Vodafone have said they will implement the filter, with Orcon, Slingshot and Natcom saying that they won’t. David Zanetti, technical spokesperson for Tech Liberty, “We fear that the filter will reduce the stability of the internet in New Zealand. . © Scoop Media. La Nouvelle-Zélande filtre le web et oublie d'informer la popula. L'information est passée relativement inaperçue en Europe, mais elle fait beaucoup de bruit en Nouvelle-Zélande.

Dans une publication en date du 11 mars, l'association néo-zélandaise Tech Liberty affirme que le gouvernement a d'ores et déjà mis en place le filtrage du réseau, et que celui-ci fonctionne même depuis plusieurs semaines au pays des kiwis. Deux opérateurs sont d'ailleurs montrés du doigt dans cette affaire : il s'agit de Watchdog (filtre effectif depuis le 1er février) et Maxnet (depuis le 26 février), qui se flattent d'ailleurs de proposer des contenus filtrés à leurs clients. Dans un communiqué publié le même jour, le porte-parole de Tech Liberty s'est déclaré "très déçu d'apprendre que le filtrage est déjà en marche, c'est un jour triste pour la Nouvelle-Zélande".

"Nous craignons que le filtre réduise la stabilité d'Internet en Nouvelle-Zélande. Tout s'est donc fait dans la plus grande opacité. Un rapport contre le racisme sur Internet évite (presque) le fil. La Russie, une ennemie d’Internet ? | Owni.fr. Dans son “rapport sur les ennemis d'Internet”, Reporters Sans Frontières a mis la Russie dans les “pays sous surveillance.” Un classement qui a suscité la controverse là-bas. La situation est plus complexe qu'on pourrait le supposer. Le degré de liberté de l’Internet russe est matière à débats. Les uns placent la Russie en compagnie de la Chine et de l’Iran sur la liste des “ennemis d’Internet”. Les autres contestent vigoureusement ce genre de généralisation et proclament que l’Internet russe est la sphère publique la plus libérale et la moins contrainte du pays.

Le récent “rapport sur les ennemis d’Internet” de l’ONG internationale Reporters Sans Frontières a tenté de mettre un peu d’ordre quant à la position de la Russie sur l’échelle de la liberté d’Internet. Le rapport originel affirme : En Russie, suite au contrôle exercé par le Kremlin sur la majorité des médias, Internet est devenu l’espace d’échange d’informations le plus libre.

A.Amzin écrit [en russe] L’article d’A. Тролли есть. La justice pourra déréférencer des sites non homologués par l'Et. Le Sénat a adopté mercredi le projet de loi sur les jeux d'argent et de hasard, qui prévoit une homologation des sites de paris par l'Autorité de Régulation des Jeux en Ligne (ARJEL).

Les sites non homologués par l'administration n'auront pas droit de cité sur Internet. Au terme du débat, les sénateurs ont mainteu le rôle du juge dans le processus de blocage des sites Internet non homologués, conformément aux instructions du Conseil constitutionnel. Le président de l'ARJEL pourra ainsi saisir le tribunal de grande instance de Paris pour qu'il ordonne aux FAI de bloquer l'accès aux sites de jeux d'argent qui n'auraient pas reçu l'autorisation d'exercer auprès des internautes français.

En principe, si le juge des référés suit le cadre imposé par le Conseil constitutionnel, "il appartiendra à la juridiction saisie de ne prononcer, dans le respect de cette liberté (d'expression et de communication), que les mesures strictement nécessaires à la préservation des droits en cause". Manif virtuelle sur Twitter contre la censure du Web en Chine | En pleine crise entre Google et le gouvernement chinois, une véritable manif virtuelle s’est déroulée dimanche sur le site de microblogging Twitter, les internautes chinois s’étant donnés rendez-vous autour d’un mot-clé qu’ils ont fait monter dans le classement des thèmes les plus abordés du moment. Le mot-clé était symbolique : #GFW, c’est-à-dire Great Fire Wall, ou Muraille de Chine électronique, le système de contrôle et de censure du Web chinois. Le paradoxe est que le site de Twitter est bloqué en Chine, mais de très nombreux internautes connaissent les moyens de contourner les interdits, et ont lancé ce mot d’ordre de manif virtuelle, tous les dimanche après-midi (heure chinoise) pour protester contre la censure.

En multipliant les tweets (messages de 140 caractères maximum) comportant le « hashtag » (mot-clé) GFW, les cyber-manifestants ont pu faire monter ce mot-clé jusqu’à la deuxième place mondiale des « Trending Topics », c’est-à-dire le top 10 des sujets du moment. Chine : vers un grand schisme de l'Internet ? Pour créer un site Web en Chine, il faudra montrer ses papiers - Censure : Google souhaite trouver une solution pour rester durab. Finalement, Google devrait rester encore quelques années dans l'Empire du Milieu. C'est du moins ce qu'a souhaité le co-fondateur de Google, Serguey Brin, lors de la conférence annuelle du TED (Technology Entertainment Design) qui s'est déroulée vendredi dernier à Long Beach, en Californie. Google aurait-il mis de l'eau dans son vin ? Il y a un mois, le moteur de recherche avait pourtant menacé de mettre un terme à ses opérations en Chine, en fermant bureaux et nom de domaine.

Pour marquer sa détermination, l'entreprise avait même fait le pari de défier la censure chinoise en retirant temporairement les filtres du moteur de recherche. Pendant quelques temps donc, les internautes chinois ont pu accéder à des contenus sensibles ou indésirables. Pour comprendre les raisons de cette défiance, il faut remonter en décembre dernier. Toutefois, avec "seulement" 31,5 % de parts de marché (loin derrière les 64 % de Baidu, un moteur de recherche chinois), Google risque de se heurter face à un mur. Les États-Unis s'inquiètent du filtrage du web australien - PC I. L'offensive américaine pour un Internet libre.

Le jour où l’Internet chinois s’éveillera (chez nous) | Owni.fr. Jacques Myard veut nationaliser Internet. Dans la consternante escalade à l’e-gnorance, il ne se passe pas une semaine sans qu’un « intellectuel », un politique, un artiste, un moine copiste, (…) n’y aille de sa cyber réflexion empreinte de bêtise et creusant un peu plus le gouffre qui existe déjà entre les personnes qui utilisent Internet et celles qui en parlent.

Cette semaine, la palme de l’e-gnare revient au député UMP Jacques Myard qui propose de nationaliser le réseau Internet. Et oui, quand on touche le fond à l’UMP, il est toujours temps de creuser. Alors là vous vous dites « super, Internet va être un service public, ça va être gratuit, on pourra tous accéder à la connaissance … les routeurs feront grève des fois mais on sera solidaires » … Que neni ! Il faut comprendre que pour Jacques Myard « le réseau Internet est totalement pourri », d’ailleurs, pour lui nationaliser Internet est normal puisque les chinois l’ont fait ! Mais qu’est-ce qui excède à ce point l’ami Jacques ? Les terroristes bien sur !

On récaptitule ?