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Édition

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Et si l’édition faisait un virage à 180° ? | Owni.fr. “This the end of the publishing and books are dead and boring”… à moins que le secteur ne prenne le chemin inverse pour s’adapter à l’évolution du marketing provoquée par les réseaux sociaux et à la dématérialisation des contenus. Vous comprendrez à mi-parcours de cette vidéo ;-) Une leçon dont d’autres secteurs de l’industrie culturelle ferait [...] “This the end of the publishing and books are dead and boring”… à moins que le secteur ne prenne le chemin inverse pour s’adapter à l’évolution du marketing provoquée par les réseaux sociaux et à la dématérialisation des contenus.

Vous comprendrez à mi-parcours de cette vidéo ;-) Une leçon dont d’autres secteurs de l’industrie culturelle ferait bien de s’inspirer, s’il n’est pas trop tard. Vidéo trouvée sur Vinzblog, réalisée pour la branche anglaise de Dorling Kindersley Books et produite par Khaki Films. D’abord destinée à un usage interne, elle a rencontré un tel succès qu’elle a été partagée, sur Youtube par exemple. Ce qui ne va plus entre auteurs et éditeurs - La république des. Pour la deuxième année consécutive, la SCAM (Société civile des auteurs multimédia) publie un état des lieux des relations entre auteurs et éditeurs, une semaine avant l’ouverture de la chasse (la Salon du livre de Paris, en pleine débandade pour ses 30 ans). Cette étudequi se présente comme un baromètre indiquant la température actuelle du couple (de l’eau dans le gaz ?) Est sous-titré « Les bons comptes feraient les bons amis ».

Demandez le programme… 500 écrivains ont répondu au questionnaire de la SCAM qui représente un grand nombre de créateurs (écrivains, réalisateurs, traducteurs, journalistes, photographes, dessinateurs) auprès du législateur, des producteurs et des diffuseurs. Etat des lieux et conclusions : • Un quart des auteurs interrogés a eu connaissance d’exploitation de ses livres à l’étranger sans en avoir été informé par l’éditeur. • 28 % n’ont pas été informés de la mise au pilon d’un ou plusieurs de leur(s) livre(s). Cette entrée a été publiée dans La vie littéraire. Auteurs-éditeurs: la guerre numérique est-elle déclarée ? Ce que les auteurs gagneront. Les auteurs de BD pour commencer, puis tous les auteurs derrière, entendent prévenir les dérives pour leurs droits que le passage au tout numérique risque d’entraîner. Ils ont raison, bien sûr, mais leur appel, peut-être surtout par sa formulation et ses sous-entendus conservateurs, me dérange.

Les auteurs déplorent que les initiatives éditoriales partent dans tous les sens -imposent leur cadre- sans plus aucun cadre légal adapté et protecteur des auteurs. Comment pourrait-il en être autrement puisque personne ne sait où nous allons ? Nous devons plébisciter le « dans tous les sens. » et nous devons en être les artisans. Auteurs comme éditeurs doivent inventer l’avenir. Si nous figeons aujourd’hui un cadre, nous nous étoufferons nous-mêmes. Comment l’éditeur va-t-il adapter au numérique les usages établis de l’exploitation permanente et suivie qui sont au cœur de son métier : vente active, promotion, disponibilité permanente du « produit » ?

Revenons un peu en arrière. L'édition devra se débarrasser de ses habits de dinosaure - Actu. My Major Compagny Books lancé avec XO Editions - ActuaLitté - Le. Et un de plus qui s'aventure dans l'édition participative, mais cette fois fort d'une certaine expérience dans le domaine. En effet, depuis plusieurs mois, My Major Compagny et XO Éditions travaillent ensemble à la réalisation d'un site invitant les internautes à s'investir dans des livres, sur un principe simple : récolter des fonds pour payer la réalisation du livre élu.

Élu, à la condition qu'il recueille les 20.000 € nécessaires pour voir le jour, à travers My Major Compagny Books. Bien sûr si le montant des 20.000 € n'est pas atteint, les internautes seront rembrousés des parts achetées. Ici, comme ailleurs, donc, l'internaute pourra découvrir des extraits de textes et décider d'investir ses derniers dans un auteur qui lui semble intéressant. Pour l'heure, seule une version bêta est en ligne et le grand lancement se fera le 24 mai. Gagner de l'argent sur les ventes Et des ventes, on risque d'en voir se faire, puisqu'en mettant Bernard Fixot dans l'affaire, MMC ne se trompe pas trop. Amazon se lance dans l'édition de littérature étrangère avec Ama. Après le lancement l'année dernière de sa branche d'édition (pour les auteurs autoédités) AmazonEncore, le cybermarchand fait une nouvelle incursion dans le monde de l'édition en lançant AmazonCrossing.

Cette nouvelle branche d'édition s'intéresse aux oeuvres étrangères qui n'ont pas encore été publiées ni traduites en anglais. Il semblerait bien que la volonté d'Amazon de s'ancrer plus fortement dans le paysage de l'édition s'affiche de plus en plus clairement. On se souviendra aussi que le cybermarchand est devenu l'éditeur de J.A. Konrath qui était auparavant dans l'écurie d'Hyperion. Pour ce qui est du choix des oeuvres qui seront éditées, AmazonCrossing fonctionnera sur le même modèle que AmazonEncore. Le vice-président livres chez Amazon, Jeff Belle a expliqué : « L'objectif de nos programmes d'édition est de présenter aux lecteurs des auteurs formidables qu'ils n'auraient pas eu autrement l'occasion de connaître.

Sources : , , , Pour approfondir. Blog Archive » Quel avenir pour le livre numériq. Quelques points retenus dans les nombreuses déclarations faites lors de la table ronde organisée le 28 avril 2010 par le Sénat pour poursuivre les réflexions déjà engagées sur l’avenir de la filière du livre, en mettant l’accent sur la question du prix unique, puis sur les modèles envisagés pour la numérisation du patrimoine. Article mis également en ligne sur le site de l’ADBS Vidéocast de la table-ronde. Sur le site Public-Sénat Un enjeu : sortir du cadre Que le marché du livre numérique ait pris son essor, voilà qui semblait (presque) reconnu par tous.

Mais le paysage reste flou. Il y avait le même consensus pour reconnaître que le numérique était une opportunité. Innover implique d’investir. Pour faire état de la situation, il suffit de rappeler que lorsque l’on passe de l’analogique vers le numérique, l’on passe d’une économie de biens à économie de services [3], soit un paradigme différent impliquant de nouveaux usages et de nouveaux modèles économiques. Une filière du livre ébranlée. Édition: la fourchette fatale. Aux Échecs, la fourchette est le coup rêvé. Attaquer simultanément plusieurs pièces de l’adversaire ce qui lui impose d’en sacrifier au moins une. Le monde de l’édition se trouve dans la même situation. Quelles pièces seront sacrifiées ? Le livre est mort Tout d’abord, il faut se mettre dans la tête un fait : le livre ne survivra pas à la révolution numérique. Par livre, j’entends cet objet fait de feuilles de papier reliées, surtout pas du texte qui est imprimé sur ces feuilles. Certains invoquent un pseudo théorème : une nouvelle technologie n’a jamais fait disparaître une technologie plus ancienne.

Ce théorème ne tient pas. L’erreur est de croire que le livre est un média. Nous y voilà. Les nouvelles liseuses offriront tous les avantages du papier et tous ceux du numérique et elles s’alimenteront en électricité à l’aide de la lumière ambiante. L’édition est morte Un tel système se perpétuera-t-il lorsque le texte aura achevé sa mue numérique ? Notes Tags: édition, eBook, Coup de gueule.