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D’images et d’eau fraîche - Ode à Pinterest. L’une des raisons pour lesquelles les mises à jour de Périphéries sont devenues si rares, c’est que j’ai été avalée par les réseaux sociaux. Maintenant, quand j’ai envie de recommander un livre, au lieu de me fatiguer à synthétiser le propos de l’auteur, à le décortiquer et à le commenter, à le mettre en relation avec des lectures passées, je balance deux lignes sur Facebook ou sur Twitter : « Lisez ça, c’est super. » Une grande avancée pour la finesse de la pensée et la richesse du vocabulaire. Dans son étude des usagers du téléphone portable, le sociologue Francis Jauréguiberry (1) analyse ce que change dans les relations humaines le fait d’avoir à disposition des moyens de communication instantanée, et de pouvoir atteindre n’importe qui, n’importe quand, par un appel ou un SMS — mais sa réflexion vaut aussi pour un statut Facebook ou un tweet.

Denys Finch Hatton en safari Lettre d’Eugène Delacroix à son marchand de tableaux, 28 octobre 1827 Bref. Dans le « New Yorker » Bovarysme 2.0. How magazine publishers are innovating in video. A number of magazine publishers have become media companies, having shifted from producing monthly print titles to daily videos. Several are making significant revenue from YouTube in addition to the money they bring in through video plays on their own sites. In this feature we look at how four publishers – Dennis Publishing, Future, IPC and Vice – have moved beyond magazines and are now producing videos for their existing audiences and to attract new ones. Types of video The four publishers are producing a range of videos, tackling a huge variety of subjects, with production values ranging from videos lasting a few seconds and shot on a phone, to hour-long documentaries filmed on high-end HD cameras.

At the top end of the scale in terms of production, Vice, which started out as a fanzine and now has offices in 34 countries, has just produced a series for HBO. Complementing content across platforms All four publishers we spoke to talked about how video and print can complement each other. "L'autre journalisme" de XXI fait grincer les dents de la presse traditionnelle. Guerre des tuyaux, neutralité du Net : derrière le coup de force de Free. Cartoons: Triumph of the nerds. IN 1989 Bill Watterson, the writer of “Calvin and Hobbes”, a brilliant comic strip about a six-year-old child and his stuffed tiger, denounced his industry. In a searing lecture, he attacked bland, predictable comics, churned out by profit-driven syndicates. Cartooning, said Mr Watterson, “will never be more than a cheap, brainless commodity until it is published differently.”

In 2012 he is finally getting his way. As the newspaper industry continues its decline, the funnies pages have decoupled from print. This burst of new life comes as cartoons seemed to be in terminal decline. Cartoons go way back before newspapers. But it was the combination of the rotary printing press, mass literacy and capitalism which really created the space for comic art to flourish. Newspapers filled with sensationalist reporting sold millions. That was the golden age. The decline of newspapers and the rise of the internet have broken that system. But on the internet, anything can thrive, it seems. How Apple Really Lost Its Lead In The 80s. Steve Jobs gives the finger to rival IBM When Android surged past Apple in smartphone market share, a lot of people squawked that computer history was repeating itself.

The story of the 80s, according to these people, was that Apple pioneered the personal computing industry with the Apple computer. It then stumbled because of its closed approach while Microsoft flourished, spraying its software everywhere through low-cost personal computers. Apple went from being the wealthy market leader to an also-ran in the blink of an eye.

It's going to happen again, too, warn these people, if Apple doesn't learn anything. You see, the iPhone was the innovative market leader, but a cheaper alternative from Google, Android, is being sprayed all over the place. If Apple's not careful, it will one again be a broke also-ran in the blink of an eye. It's an entertaining story, but it turns out it's not exactly accurate. Goldman Sachs released a massive report on the warring tech giants this week. Goldman Sachs. Mais pourquoi contribue-t-on ? La question des motivations revient dès que l’on évoque les mécanismes de contribution dans l’open data ou les données collaboratives. On a parfois du mal à comprendre pourquoi des individus a priori sains de corps et d’esprit consacrent une partie de leur temps libre à ce type d’activité, qu’il s’agisse de développer une application mobile sans grand espoir de gain, ou de cartographier son quartier pour Open Street Map… Les processus contributifs et participatifs sont au coeur de l’open data.

Dans le concours organisé par Rennes Métropole en 2010, deux tiers des participants étaient des particuliers. Il y avait certes parmi eux quelques apprentis entrepreneurs et quelques rares militants de la cause du logiciel libre et de l’open source, mais plus généralement les motivations n’étaient ni pécuniaires ni politiques. 1 – Une approche par les motivations : mais pourquoi contribuez-vous ?

En résumé, les grandes catégories de motivations sont : 3 – Ne pas sous estimer le facteur d’opposition. Technology giants at war: Another game of thrones. [datajournalisme] 7 idées de projets pour la presse locale. Je suis toujours frappé du potentiel inexploité du datajournalisme par la presse locale en France. Mises à part quelques rares expériences (au Dauphiné Libéré par exemple ou à Marsactu pour les pure players locaux), l’utilisation et la mise en scène des données sont quasi absentes des sites d’informations régionaux.

On en reste malheureusement encore au stade de la Google Map comme sommet d’innovation data-journalistique ! Justice, fiscalité, fait divers, sport, économie, culture, citoyenneté… A l’échelle d’une région, d’un département, d’une ville, d’un quartier, d’un village, ce ne sont pourtant pas les statistiques et les sources pertinentes qui manquent. Or, si la mission de la Presse Quotidienne Régionale est bien de raconter la vie d’un territoire, pourquoi ne pas le faire également avec des données ? L’argent, mon bon monsieur ? Me rétorquera-t-on. Tout cela coûte cher, la crise de la presse, bla bla bla… L’argent est à mon avis un (presque) faux problème. CARTE 1. CARTE 2. Kate Darling on Tech in the Adult Industry | Ladiez Night.

How Videogames Are Changing Disney | Game|Life. ANAHEIM, California — Mickey Mouse. Donald Duck. Swampy Alligator? There’s a funny thing happening at Disneyland. The California theme park’s familiar landscape is still dominated by attractions based on the company’s evergreen stable of world-famous film characters. But walking around the two theme parks, one begins to notice some interlopers from outside the established Disney canon.

Disney first licensed its characters for use in games beginning in the early 1980’s with titles like Sorceror’s Apprentice for Atari 2600, or The Black Cauldron for personal computers. “This is maybe the first time in Disney’s history where we have a character that was created solely for a videogame product that is now branching in other directions,” says Disney Interactive Media Group vice president Bill Roper. In fact, Swampy is just one of the ways that Disney’s stable of popular and lucrative characters is being shaped and changed by videogames. “I realize I’m immersed in the Kool-Aid,” he says. Facebook : son nouvel algorithme, son ciblage, et notre ligne éditoriale.

Le Monde.fr aime Facebook : nous y postons tous les jours une sélection d'informations que nous estimons importantes, essentielles, immanquables (sous formes de liens, d’images ou de vidéos). Nos lecteurs aiment Facebook : ils sont plus de 400 000 à y suivre notre page, pour "aimer" et surtout commenter nos informations. Et ils sont environ 26 millions en France, selon les derniers chiffres Nielsen, et un milliard dans le monde, selon les derniers chiffres de Mark Zuckerberg, à avoir un profil. Sur Facebook, ils publient des statuts ou des liens, partagent coups de cœur et coups de gueule, discutent avec leurs amis ou des inconnus des petits et grands événements de la vie.

Mais Facebook, c’est également une plateforme retravaillée en permanence par des équipes soucieuses de faire évoluer la formule et l’expérience des utilisateurs. Pour les professionnels, toutes ces évolutions ne sont pas forcément faciles à appréhender. Las. Michaël Szadkowski et Flavien Hamon. Facebook FBX. PageData - Facebook page metrics from Inside Network.

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Inauguration des 4 premiers panneaux. Poster une vidéo anti-Islam sur YouTube et Dailymotion ? C'est possible.