background preloader

Jacques Louis David

Facebook Twitter

Corday contre Marat: deux siècles d'images | Guillaume Mazeau. Parmi les images en rapport avec la Révolution rançaise,celles qui se réérent à l’assassinat de Jean-Paul Maratpar Charlotte Corday, le 13 juillet 1793, constituentde loin l’ensemble le plus important en nombre,bien avant les représentations de la prise de la Bastilleou de l’exécution de Louis XVI.Pourtant, l’attentat politique de l’été 1793 ne concerneque des individus dans un espace privé. De plus, mêmes’il a marqué les contemporains et contribué à radicaliserles esprits, il n’a pas vraiment changé le cours de l’histoire,au contraire des deux autres événements cités, collectiset ondateurs.Les collections du musée de la Révolution rançaise reètentelles-mêmes ce constat et nous souhaitions depuis longtempsattirer l’attention sur cette iconographie si riche de sens.La passionnante thèse de Guillaume Mazeau soutenueen 2007 à l’université de Paris I Panthéon-Sorbonne, Charlotte Corday et l’attentat contre Marat : événements, individuset écriture de l’histoire (1793-2007)

Histoire des Arts en Khâgne » Blog Archive » Jacques Louis David et la peinture d’histoire. Au moment de la Révolution, David et les néoclassiques entraînent une libération de l’art par rapport au pouvoir politique tout en traitant de sujets politiques. Ils refusent l’enfermement dans une dimension purement esthétique : conformément à la vision de l’art de Diderot, pour eux les œuvres ont aussi une fonction pédagogique, didactique (c’est l’époque de la constitution du Muséum). Si le retour au classique n’est pas propre ni à la France ni à la peinture, les peintres français jouent un rôle d’avant garde en la matière. Comme pour l’architecture avec Ledoux et le « néopalladianisme » britannique, c’est par la dénonciation des « excès » du rococo que le changement surgit. La querelle de la grande et de la petite manière prolonge celle des Anciens et des Modernes au profit des premiers. La question de la représentation du politique. - Au XVIIe siècle, Louis XIV avait mis les pouvoirs de la représentation au service de la représentation du pouvoir (cf.

L’émergence d’un nouveau style. Animation - Le sacre de l'empereur Napoléon Ier : une œuvre clé. Jacques Louis David,La mort de Marat,1793,classicisme,éducation,enseignement,analyse et etude de la toile et du style,art,culture,peinture. Laisser un commentaire ou un avis : Jacques Louis David. (1748-1825). La mort de Marat. (1793). Jean-Paul Marat (1743-1793) est médecin, journaliste et homme politique. Il se préoccupe surtout de politique. Le point de vue se situe au niveau du visage, puis l’œil suit le bras et voit la page que lisait Marat. Marat, le sujet principal, se trouve sur 3 lignes de force et sur 2 points naturels d’intérêt. La moitié de l’espace pictural est constituée de vide, le corps de Marat semble abandonné dans le néant. La toile est construite en fonction de la grande diagonale descendante.

Détails : Marat semble endormi, son visage est serein. La toile est un hommage donc David fait une dédicace. Marat a encore dans la main le billet que Charlotte Corday lui a fait remettre pour être reçue. Lumière : La lumière la lumière vient du bas à gauche. Couleurs : Harmonie entre couleurs chaudes. Toiles Similaires : Jacques Louis David.

Jacques Louis David. Jacques Louis David. La Mort de Marat, le 13 Juillet 1793. Jacques Louis David,Le Serment du Jeu de Paume,20 Juin 1789,classicisme,éducation,enseignement,analyse et etude de la toile et du style,art,culture,peinture. Laisser un commentaire ou un avis. Jacques Louis David. (1748-1825). Le Serment du Jeu de Paume. (20 Juin 1789). Le 20 juin, lorsque les députés du tiers état se présentent pour une réunion des États généraux à la salle des Menus-Plaisirs du palais de Versailles, ils trouvent la porte fermée. Ceci présage de leur renvoi prochain, ils se rassemblent donc à l’instigation de Joseph Ignace Guillotin, dans la salle voisine du Jeu de paume et la réunion débute vers 10h30. Au cours des débats, présidés par Jean Sylvain Bailly, Jean-Joseph Mounier déclare que : « les représentants de la nation doivent se lier au salut public et aux intérêts de la patrie par un serment solennel ».

Immédiatement, les députés Antoine Barnave et Le Chapelier rédigent la formule du serment. Le point de vue est situé sur l’orateur central. Le député Jean Sylvain Bailly qui lit le serment se trouve juste en dessous du centre géographique de l’œuvre, encadré par 4 points naturels d’intérêt. Il y a 2 espaces distincts.