background preloader

Articles

Facebook Twitter

CES 2013 : le boom de l'impression 3D. Incroyable mais vrai : l’imprimante 3D solaire qui fonctionne au sable. Lors du dernier Meetup Sculpteo, quelqu’un expliquait que le verre aurait été découvert pas des soldats Égyptiens : à force de rester sans bouger au soleil avec leurs grands boucliers réfléchissant la lumière du soleil devant eux, sur le sable, celui-ci finissait par durcir et changer de propriété.

Sans être certain de la véracité de la légende, il semble en effet que les premiers verres artisanaux trouvent leur source en Mésopotamie ou en Égypte, au troisième millénaire avant Jésus-Christ. Coïncidence ou pas, c’est encore en Egypte, en mai 2011, que Markus Kayser a tenté une expérience étonnante. Ce designer industriel allemand, étudiant du Royal College of Art de Londres a inventé la première imprimante solaire fonctionnant avec du sable. Il travaille aujourd’hui au MIT Media Lab (Cambridge, USA).

La première imprimante 3D solaire qui utilise du sable, et aucun liquide… Voici l’expérience telle qu’il la raconte sur son site (traduction « libre ») : Une imprimante 3D fabrique des objets en verre. Un objet en pâte de verre, d'abord dessiné sur écran et ensuite réalisé par l'ordinateur. © University of Washington Une imprimante 3D fabrique des objets en verre - 2 Photos A l'Université de Washington, Mark Ganter et ses collègues du Solheim Rapid Manufacturing Laboratory travaillent depuis de nombreuses années sur ce que l'on appelle les imprimantes 3D, capables de fabriquer des objets. A l'origine, cette technique, appelée stéréolithographie, utilisait la polymérisation de résine par un laser piloté par un ordinateur et balayant la surface.

Un logiciel peut ainsi, tranche par tranche, solidifier la résine pour matérialiser un modèle numérique. Toujours utilisée dans l'industrie, et même en chirurgie, cette technique reste très coûteuse mais une autre méthode est apparue, reprenant, elle, le principe d'une imprimante à jet d'encre. Grant Marchelli prépare son imprimante 3D en étalant une fine poudre de verre. © University of Washington À voir aussi sur Internet Sur le même sujet. Impression 3D : évolution ou révolution ? Imprimante 3D d'Ultimaker © ultimaker.com Troisième révolution industrielle selon The Economist, nouvelle aube qui changera notre quotidien d’après Wired ou encore science-fiction devenue réalité pour France 2 : il n’est pas un jour sans que la sphère médiatique ne s’émerveille de l’additive manufacturing.

«Cela fait 25 ans que nous développons l’impression 3D en toute discrétion mais depuis quelque temps le téléphone n’arrête pas de sonner, s’amuse Thierry Dormal. Quand j’entends que d’ici peu, il suffira de remplacer un organe vital par son double 3D ou que les voitures seront bientôt conçues à la chaîne selon le même principe, je me dis qu’il faut calmer le jeu», avance ce professeur à l’ULg, spécialiste de la question en tant que responsable depuis 1990 du département Rapid Manufacturing au Sirris, une structure wallonne qui accompagne la mise en œuvre d’innovations technologiques. Des tissus synthétiques créés avec une imprimante 3D | Médecine. Ce nouveau type de matériau est formé de milliers de gouttelettes d'eau encapsulées chacune dans un film de graisse et reliées entre elles, et capables d'effectuer certaines fonctions des cellules du corps humain.

Ces «réseaux de gouttelettes» pourraient être des composantes d'une nouvelle technologie pour administrer des médicaments et potentiellement remplacer des tissus endommagés de l'organisme. Étant donné que ce matériau est entièrement synthétique, sans génome et sans capacité de réplication, il permet d'éviter les problèmes rencontrés avec d'autres types de tissus artificiels, tels que ceux utilisant des cellules souches humaines, expliquent les auteurs de ces travaux parus dans la revue américaine Science datée du 5 avril. Ce matériau synthétique peut aussi être conçu pour prendre différentes formes une fois imprimé.

Ainsi une structure plate peut être programmée pour se replier et prendre une forme sphérique qui ne peut pas être directement obtenue par l'impression en 3D. Ces djihadistes qui rêvent d’armes construites à partir d’imprimantes 3D - TECHNOLOGIES. These 3-D Printed Speakers Put On a Dazzling Light Show | Wired Design. Like these speakers? You can’t have them. The speakers are one-of-a-kind, 3-D printed on an Objet Connex 500 at Autodesk and endowed with an audioreactive LED system by LumiGeek, a new company that makes Arduino-compatible microcontrollers for an LED development kit. Built by LumiGeek founder John “Parts” Taylor and Autodesk applied innovation engineer Evan Atherton, the speakers are both a drool-worthy experiment and an example of what 3-D printing can do now. With about $2,200 worth of 3-D printed material, the cost is nearly prohibitive. Because of the dampening properties of the material, Atherton figured it would make a good housing for a pair of speakers.

LumiGeek’s yet-to-be-released product is a Bluetooth-programmable, Arduino-compatible microcontroller that allows the user to define the actions of an LED strip, or other visual output, based on an audio file; it’s real-time audio analysis paired with video-creation software. 3-D printed speaker prototype. This 3D printer makes edible food - Jan. 24. An experimental 3D food printer "prints" frosting on a cupcake.By Laurie Segall, staff reporterJanuary 24, 2011: 10:11 AM ET NEW YORK (CNNMoney) -- A 3D food printer sounds like something out of Star Trek, but it's not out of this world. It's up and running at the French Culinary Institute in Manhattan -- and in five years, it could be in your home. As part of a project at Cornell University, a group of scientists and students built a 3D printer and began testing it out with food. The device attaches to a computer, which works as the "brain" behind the technology.

It doesn't look like a traditional printer; it's more like an industrial fabrication machine. Users load up the printer's syringes with raw food -- anything with a liquid consistency, like soft chocolate, will work. The ingredient-filled syringes will then "print" icing on a cupcake. The project came out of Cornell's Fab@Home venture, headed up by associate professor Hod Lipson. That could draw in chefs and restaurateurs.