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FRANCE - Français, Algériens, Belges, Portugais... qui sont les victimes des attentats de Paris ? Abou Omar, dit "le Belge", derrière les attentats de Paris ? En savoir plus En direct : fin de l'opération en Belgique, le 8e suspect court toujours En savoir plus État d'urgence : 23 interpellations, 31 armes saisies En savoir plus Français, Algériens, Belges, Portugais... qui sont les victimes des attentats de Paris ? En savoir plus La France bombarde un fief de l'EI en Syrie En savoir plus Les centres de collecte de sang submergés après les attentats de Paris En savoir plus "La guerre telle que nous ne la connaissions pas" En savoir plus Attentats de Paris : derrière le décompte des victimes, des visages En savoir plus Attentats de Paris : la police diffuse la photo d'un suspect En savoir plus Le Carillon : massacre dans un repaire de jeunes branchés parisiens En savoir plus Ce samedi soir à Paris où la fête s'est tue En savoir plus Attentats de Paris : une unité nationale de façade En savoir plus.

Attentats de Paris : comment les télévisions du monde entier ont annoncé la nouvelle. LE SCAN TÉLÉ / VIDÉO - Du «Breaking News» américain aux bruitages pakistanais : les médias du monde entier ont leurs caméras braquées sur la France. Zapping. Il y a évidemment CNN, la première chaîne d'information internationale. Mais rapidement les autres chaînes des Etats-Unis se sont mis en éditions spéciales, vendredi dans la soirée, retransmettant leurs homologues françaises BFMTV, iTélé, LCI ou France 24. Les images défilent en boucle, passant d'une photo à un témoin joint par téléphone. Al-Jazeera, chaîne qui informe le monde arabe de la situation, n'entre d'abord pas en édition spéciale.

Plus à l'est encore, en Inde, le traitement de l'information est pris très au sérieux: décalage horaire oblige, nous sommes le matin déjà, alors que la France tente, tant bien que mal, de trouver le sommeil. Non, le passeport syrien ne prouve pas que Daech s'infiltre parmi les migrants. C'est la petite musique qui monte: le passeport syrien trouvé près d'un corps d'un kamikaze est la preuve que Daech se sert de la crise migratoire pour infiltrer ses membres en Europe et y organiser des attentats. Depuis plusieurs mois, des responsables politiques, à droite et à l'extrême droite l'assurent, sans preuve, comme Marine Le Pen (FN), Nadine Morano (LR) ou encore Christian Estrosi (LR), qui déclarait, en août dernier: "Nous avons parmi ces migrants des terroristes de Daech qui s'infiltrent".

Samedi matin, l'information sur la découverte d'un passeport syrien près du lieu des attentats-suicides à Saint-Denis sort. Le document appartiendrait à un migrant enregistré en Grèce. Certains responsables politiques y voient une confirmation de leur théorie et l'évoquent, à mots couverts. >> Lire aussi : Attentats de Paris: la situation en direct Ce que l'on sait Dimanche, le site d'informations Blic publie une photo du document où figure un nom, celui d'un certain Ahmad Almohammad.

Comment le terrorisme pervertit l'espace. La vanité spatiale du geste terroriste – qui n’aboutit qu’à son échec – le ramène à son aberration sociale. Le viol du territoire est traumatisant mais sa portée politique est faible. Ils frappent où ça fait mal, en des points très précis, et ils en espèrent un écho maximal. La diffraction de l’échelle entre le meurtre et son impact est l’un des nerfs du terrorisme. Ce maniement de l’espace est redoutablement efficace. Il permet à un seul individu de commettre en quelques secondes des dégâts considérables. En ce sens, le terrorisme peut bien être l’arme des faibles contrairement à ce que soutient Noam Chomsky.

Car les faibles n’ont pas de grande capacité spatiale mais ils choisissent leurs cibles pour accroître l’impact de leurs gestes. Place de la République, à Paris, le dimanche 15 novembre 2015, deux jours après les attentats qui ont ensanglantés Paris. Dans l’écosystème numérique, les cibles sont toujours des êtres humains, mais elles deviennent symboliquement des lieux. Pierre-Jean Luizard: «Daech essaie de faire en France ce qu’il a réussi en Irak»

LE PETIT QUOTIDIEN Questions Reponses. L Actu. Mon Quotidien. Petit Quotidien. ARTE Journal Junior. Attentats à Paris : Marc Trevidic dit ses 4 vérités. iTELE : "Le ras-le-bol d'un Français de confession musulmane" Attentats de Paris. Le choc à la une de la presse mondiale. From Beirut, This Is Paris: In A World That Doesn’t Care About Arab Lives  | A Separate State of Mind | A Blog by Elie Fares. When a friend told me past midnight to check the news about Paris, I had no idea that I would be looking at a map of a city I love, delineating locations undergoing terrorist attacks simultaneously. I zoomed in on that map closer; one of the locations was right to where I had stayed when I was there in 2013, down that same boulevard. The more I read, the higher the number of fatalities went.

It was horrible; it was dehumanizing; it was utterly and irrevocably hopeless: 2015 was ending the way it started – with terrorists attacks occuring in Lebanon and France almost at the same time, in the same context of demented creatures spreading hate and fear and death wherever they went. I woke up this morning to two broken cities. My friends in Paris who only yesterday were asking what was happening in Beirut were now on the opposite side of the line. Both our capitals were broken and scarred, old news to us perhaps but foreign territory to them. And you know what, I’m fine with all of it.

Related. Il y a des actes barbares, il n’y a pas de Barbares. Ce texte a déjà été publié sur Reporterre le 20 mars dernier. Au lendemain des terribles attentats qui se sont déroulés à Paris le 13 novembre au soir, et qui ont provoqué la mort d’au moins 128 personnes, nous le republions, dans l’émotion, et dans la réflexion. Patrick Viveret A menace globale il faut une riposte globale, déclare un responsable tunisien après les attentats de Tunis venant après ceux de Paris, de Copenhague, de Tunis... Certes, mais encore faut-il ne pas se tromper de menace si l’on ne veut pas que la riposte soit inadaptée ou pire contre-productive. Car si à l’évidence, nous sommes en présence d’un conflit mondial qui peut toucher n’importe quel pays à n’importe quel moment, qui concerne tout autant l’échelle planétaire que l’échelle locale de nos cités, il y a deux approches radicalement différentes de l’analyse et de la stratégie à mettre en œuvre.

Il y a des actes barbares, il n’y a pas de Barbares Simple nuance de vocabulaire dira-t-on ? Vu du Pakistan. L’Europe et les Etats-Unis responsables des attaques de Paris. Ce 15 novembre, le ton des médias pakistanais est sévère contre les Occidentaux qui, selon eux, ne commettent que des erreurs en Irak et en Syrie. Au Pakistan, les attaques terroristes de Paris réveillent le douloureux souvenir de l’attentat perpétré en décembre 2014 par les talibans contre une école militaire de Peshawar, qui a causé la mort de 132 enfants.

Dans son éditorial du dimanche 15 novembre, le site Dawn relève “d’étranges similitudes” entre deux événements qui portent la marque d’une “vérité simple” : les militants de l’islam radical “voient des ennemis partout – musulmans, chrétiens, hindous, non-croyants” et l’Etat islamique tue “sans discernement”, comme le faisait Al-Qaida. “Nous en sommes tous victimes”, acquiesce le quotidien The Nation, qui s’interroge sur l’engagement récent de la Russie et du Hezbollah libanais en Syrie. Paris. Ils ont frappé la jeunesse et la mixité. Les assaillants s’en sont pris au cœur de la capitale, celui que fréquente la jeunesse venue de tous les milieux, souligne le journaliste du site américain Fusion.

Depuis le 13 novembre, le triangle d’or de la culture jeune à Paris est couvert de sang. Nous commençons peu à peu à entrevoir l’étendue des attentats qui ont frappé la ville vendredi soir. Mais nous sommes sûrs d’une chose, c’est que ces attaques, par leur échelle et leur coordination, sont sans précédent, du moins à Paris. Les terroristes ont essentiellement visé le centre de la capitale, sur la rive droite. Des endroits, des rues qui grouillent de vie les vendredis soir. Des endroits que je connais bien. Le fief de la gauche parisienne Ces quartiers sont le fief des hipsters socialistes, qui ont récemment élu pour maire une socialiste et peuplé le conseil municipal d’une horde de candidats écolos, tandis que le reste du pays penchait plutôt en faveur des partis de droite, plus conservateurs et hostiles à l’immigration.