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Licence CL & Ref._ Roseline

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Creative Commons. Creative Commons (CC) est une association à but non lucratif dont la finalité est de proposer une solution alternative légale aux personnes souhaitant libérer leurs œuvres des droits de propriété intellectuelle standard de leur pays, jugés trop restrictifs[1]. L’organisation a créé plusieurs licences, connues sous le nom de licences Creative Commons.

Ces licences, selon leur choix, ne protègent aucun ou seulement quelques droits relatifs aux œuvres. Le droit d'auteur (ou « copyright » dans les pays du Commonwealth et aux États-Unis) est plus restrictif. Licences[modifier | modifier le code] Six possibilités existent, combinaisons de quatre pôles définissant les différents usages[2] : Exemple de combinaison : Creative Commons BY-NC-SA, qui est la licence Attribution-Non Commercial-Partage à l'identique. Adaptation aux législations[modifier | modifier le code] Le CRID a adapté les licences dans le droit belge, ces licences belges existent en français, néerlandais et anglais.

Lawrence Lessig. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lawrence Lessig Lawrence Lessig (né le 3 juin 1961 dans l'État du Dakota du Sud aux États-Unis) est un juriste américain de notoriété internationale. En 2010, il est professeur de droit (C. Wendell and Edith M. Carlsmith Professor of Law) au Harvard Law School[1] (Université Harvard, Massachusetts) où il a fondé le Center for Internet and Society[2]. Spécialiste de droit constitutionnel et de droit de la propriété intellectuelle, il est un défenseur réputé de la liberté sur Internet et s’oppose à une interprétation extensive du droit d'auteur qui porte atteinte au potentiel de création et aux échanges en ligne. Il est l'une des voix les plus écoutées dans les débats sur les limites du droit d’auteur et sur le développement mondial de l'Internet.

Biographie[modifier | modifier le code] Il a commencé sa carrière universitaire en étant professeur assistant à l'université de Chicago entre 1991 et 1997. Engagements[modifier | modifier le code] Licence publique générale GNU. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir GPL. Licence publique générale GNU Logo de la licence publique générale GNU, version 3. Cette licence a depuis été adoptée, en tant que document définissant le mode d'utilisation, donc d'usage et de diffusion, par de nombreux auteurs de logiciels libres, en dehors des projets GNU.

Principe de la licence GPL[modifier | modifier le code] La GPL met en œuvre la notion de copyleft, un jeu de mots anglais faisant référence à la notion de copyright (right en anglais signifie à la fois le droit, c'est-à-dire la règle juridique, et la droite, qui marque une direction) que l'on peut transposer en français en parlant de « Gauche d'auteur » par référence au Droit d'auteur. La GPL est la licence de logiciel libre la plus utilisée. L'esprit et l'objectif[modifier | modifier le code] Son histoire[modifier | modifier le code] Richard Stallman en discussion au deuxième jour de la première conférence GPLv3 le 17 janvier 2006. Linus Torvalds. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Linus Benedict Torvalds, né le à Helsinki en Finlande, est un informaticien américano-finlandais[1]. Il est connu pour avoir créé en 1991 le noyau Linux dont il continue de diriger le développement.

Il en est considéré comme le « dictateur bienveillant ». Biographie[modifier | modifier le code] Linus Torvalds fait partie de la communauté des Finlandais suédophones (Finlandssvensk), une population représentant 6 % des habitants de la Finlande. Son père, Nils Torvalds, est journaliste de télévision et de radio et aussi membre actif du Parti populaire suédois (le parti des suédophones finlandais). Il découvre l'informatique vers l’âge de 11 ans grâce à l'ordinateur de son grand-père (un Commodore VIC-20)[3]. Inspiré par le système Minix développé par Andrew S. Linus Torvalds a également créé le logiciel de gestion de versions Git, initialement prévu pour le développement du noyau Linux. En septembre 2010, il obtient la nationalité américaine[6]. Free Software Foundation.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir FSF. La FSF aide également au financement du projet GNU depuis l'origine. Son nom est associé au mouvement du logiciel libre. Le logiciel libre[modifier | modifier le code] La fondation est à l'origine des quatre règles fondatrices du logiciel libre : La liberté d'exécuter le programme, pour tous les usages (liberté 0).La liberté d'étudier le fonctionnement du programme, et de l'adapter à ses besoins (liberté 1).

Le projet GNU[modifier | modifier le code] Protection légale[modifier | modifier le code] En concevant les licences GNU GPL, LGPL et FDL sous l'égide de Richard Stallman et d'Eben Moglen, la fondation devient une protection légale pour GNU. Ce mécanisme sera plus tard reproduit par la fondation Mozilla. Financement[modifier | modifier le code] La FSF employait à l'origine certains hackers du projet. La communauté du logiciel libre[modifier | modifier le code] Techniques[modifier | modifier le code] BadVista. Richard Stallman. Richard Stallman en 2019. signature Richard Matthew Stallman, né le 16 mars 1953 à Manhattan, connu aussi sous les initiales rms (en minuscules[note 1]), est un programmeur et militant du logiciel libre.

Initiateur du mouvement du logiciel libre, il lance, en 1983, le projet GNU et la licence publique générale GNU connue aussi sous le sigle GPL. Il a popularisé le terme anglais « copyleft »[note 2]. Programmeur renommé de la communauté informatique américaine et internationale, il a développé de nombreux logiciels dont les plus connus des développeurs sont l’éditeur de texte GNU Emacs, le compilateur C de GNU (GCC), le débogueur GNU (gdb) mais aussi, en collaboration avec Roland McGrath, le moteur de production GNU Make. Depuis le milieu des années 1990, il consacre la majeure partie de son temps à la promotion des logiciels libres auprès de divers publics un peu partout dans le monde. Biographie[modifier | modifier le code] Tout bascula au début des années 1980.

Copyright Copyleft. Une récente étude, révélée au Comdex à Las Vegas le 13 novembre, montre que la propriété intellectuelle représente 80% de la valeur des 500 premières entreprises du S&P. Elle s'élève, d'ailleurs, pour les Etats-Unis, à 400 milliards de dollars ! La réglementation et la protection de la propriété intellectuelle constituent donc un enjeu considérable pour nos sociétés de l'information. Or on observe un paradoxe. En effet, d'un côté, l'affaire Napster et plus largement le développement du peer to peer tendent à prouver qu'il s'agit d'une notion bien malmenée par les nouvelles technologies.

On assiste à une levée de boucliers des créateurs ou auteurs qui ne se sentent plus assez protégés par le copyright dans son état actuel. Il semble évident que la notion classique de copyright ne permet plus d'appréhender la valeur intellectuelle dans son ensemble. 1) Les similitudes: deux notions juridiques anglo-saxonnes qui s'intéressent à la propriété intellectuelle La GNU General Public License.

Licence publique générale GNU. Quel copyright / copyleft ? Pourquoi protéger un site web ? Un site web représente tout un capital intellectuel qui doit être protégé, car vous pourrez ainsi définir dans quelles conditions vous souhaitez (ou pas) que l’ensemble ou une partie de celui-ci puisse être reproduit, vendu, etc. Quoi protéger dans votre site web ? Tout : Logo et charte graphique s’il en existe une Web design et ergonomie, code informatique Contenu : textes, documents, photos, vidéos...

Quelle différence entre une licence propriétaire et une licence libre ? Le copyright est fondé sur la protection de l’auteur et se présente donc comme un droit privatif. Le droit de reproduction, de distribution, de modifictation, de mise en scène (perform) et d’affichage. A contrario, cela signifie que ce sont autant de droits enlevés aux autres citoyens. Le copyleft [1] est fondé sur la liberté des utilisateurs. Le copyleft est basé sur le fait que nous vivons en communauté, il est mieux adapté à internet. Quelques licences pour faire le choix.

Qu'est-ce que la licence GPL ? par Michel Roche - FSF Europe. Licenses Explained | Creative Commons. Ceci est la traduction en français d'une création originale de Creative Commons, A Spectrum of Rights. (Credits de la version originale : Cartoon concept and design by Neeru Paharia.

Original illustrations by Ryan Junell, Photos by Matt Haughey.) Vous pouvez télécharger toutes les images au format PNG en cliquant ici. Les images ont été dimensionnées de façon à être imprimées sur une page A4 paysage. Les images ont été fabriquées grace à gimp, gif2png et inkscape. Ces travaux ont également été produits sous d'autres formats (pdf, Oo, flash, etc...) sur le site de Framasoft This work is licensed under a Creative Commons License. Qu'est-ce que le copyleft ? [Traduit de l'anglais] Le copyleft est une méthode générale pour rendre libre un programme (ou toute autre œuvre) et obliger toutes les versions modifiées ou étendues de ce programme à être libres également.

La manière la plus simple de faire d'un programme un logiciel libre est de le mettre dans le domaine public, sans copyright.1 Cela autorise les gens à le partager si le cœur leur en dit, avec leurs améliorations éventuelles. Mais cela autorise aussi des personnes indélicates à en faire un logiciel privateur.2 Elles peuvent très bien y effectuer des changements, nombreux ou non, et distribuer le résultat en tant que logiciel privateur.

Ceux qui recevront le programme dans sa forme modifiée n'auront pas la liberté que l'auteur original leur avait donnée ; l'intermédiaire l'aura fait disparaître. Notre but, au projet GNU, est de donner à tous les utilisateurs la liberté de redistribuer et de modifier les logiciels GNU. Le copyleft est un moyen de se servir du copyright du programme. Qu'est-ce que le copyleft ? CopyleftFrederiqueCote.