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Comment Showroomprivé a recruté 100.000 membres sur Facebook. "Sur Facebook, même une entreprise peu glamour peut construire une communauté de fans via son application" Le co-fondateur de l'agence de social media KRDS dispense ses conseils aux marques désireuses de lancer leur application Facebook. Quelles questions doit se poser une marque qui veut lancer son application ? Parce que c'est la mode, nombreux sont ceux qui veulent à tout prix créer leur application Facebook, sans prendre le temps de se demander ce que celle-ci pourrait leur apporter. Il est important de s'interroger sur les raisons qui justifieraient un tel développement.

Cherche-t-on à développer sa notoriété, à créer de l'engagement avec ses fans ou à les qualifier ? Selon votre objectif, vous déclinerez votre application différemment. Comment peut-on détecter le potentiel de viralité d'une application ? La concurrence étant de plus en plus rude, les canaux de viralité se sont sensiblement restreints. Qu'est ce qui pousserait l'utilisateur à partager ses interactions avec l'application ?

La viralité est-elle, à elle seule, gage de succès ? Un peu moins aujourd'hui. "Nous nous installerons en Europe au premier trimestre" Le service américain de gestion de communautés pour les entreprises revendique plus de 2 000 clients. Sa directrice générale lorgne déjà le vieux continent. JDN. Pouvez-vous présenter GetSatisfaction et son concept ? Wendy Lea. GetSatisfaction est une société basée à San-Francisco qui a vu le jour en 2007. Pourquoi une société qui dispose d'outils comme Facebook et Twitter pour récolter les feedback de ses clients devrait-elle faire appel à vous ? Nous permettons à une société d'unifier toutes ses conversations en un seul endroit, qu'elles se passent sur Twitter ou Facebook. La société est-elle rentable aujourd'hui ? Elle ne l'est pas encore.

Prévoyez-vous de vous déployer à l'international ? Près de 40% de nos clients sont déjà non-américains. Quels sont vos projets ? Nous envisageons de faire évoluer notre business model en proposant une offre gratuite qui comporterait toutes les options, pour une durée limitée de 30 jours.

Social shopping

Lancement d’un livre sur les réseaux sociaux | Serge ® J’ai annoncé, sur les réseaux sociaux, la sortie de mon nouveau livre jeudi dernier le 1er septembre. Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont retweeté, partagé ou « aimé » l’annonce. Merci beaucoup. Le reste de la promo du livre va arriver dans un second temps. J’ai commencé par le « média » social. Je pense qu’il est intéressant de vous faire un retour de cette opération de communication sociale à petite échelle. J’ai annoncé la sortie sur trois réseaux sociaux : Twitter, Google+ et Facebook.

Impacts sur les réseaux sociaux Twitter (3600+ followers) : 36 retweets10+ échanges avec les twittos+30 followers environ Google+ (1030+ followers) : 62 partages (!) Facebook (320+ amis) : 17 « J’aime » (sur les quelques statuts que j’ai publiés)25 commentaires43 fans sur la page du livre+9 amis Note : je suis beaucoup moins actif sur Facebook que sur Twitter et sur Google+.

Les résultats en termes de visites sur le site du livre Ce résultat est intéressant. Nombre de ventes Voici le détail : Social Media en 2012 : gare aux entreprises qui "font semblant" par Jean-louis Bénard - Chronique e-Business. Se doter d'une stratégie en matière de social media ne se résume certainement pas à l'ouverture d'un compte Twitter ou d'une page Facebook. Cela exige notamment une collaboration étroite entre les équipes métiers et les pros de la technologie. Une alliance indispensable en période de crise. Alors que Facebook vient de sortir officiellement l’Open Graph 2 et 60 premières Timeline Apps , que les infographies et les statistiques se sont multipliées au cours des derniers mois pour démontrer l’impact sur les premières applications pilotes, on pourrait croire que les entreprises ont bien intégré l’enjeu de la socialisation des sites web. De même ce qu’impliquait un véritable community management.

Mais la réalité est beaucoup moins rose. Et l’effort à fournir par les entreprises, en période de « crise » qui plus est, non négligeable.