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Robert Silverberg. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Robert Silverberg Robert Silverberg en 2005 Œuvres principales Biographie et carrière littéraire[modifier | modifier le code] Une jeunesse extrêmement prolifique[modifier | modifier le code] Il publie sa première nouvelle à 18 ans et son premier roman, Révolte sur Alpha C, à peine un an plus tard. Il remporte à 20 ans le prix Hugo de « l'auteur le plus prometteur ». En 1958, la faillite de l'American News Company, le principal distributeur de pulps, entraîne dans sa chute un bon nombre de titres. Enfin, Robert Silverberg est président de la Science Fiction and Fantasy Writers of America pendant les années 1967-1968. Puis, au milieu des années 1960 Frederik Pohl, le rédacteur en chef de la revue Galaxy, lui propose un marché unique.

Années 1970[modifier | modifier le code] C'est une retraite bien occupée. Années 1980[modifier | modifier le code] Années 1990 et 2000[modifier | modifier le code] Vie privée[modifier | modifier le code] SILVERBERG Robert. Prolifique Robert ! Robert SILVERBERG démarra très tôt et très fort : il a publié sa première nouvelle à 18 ans et reçu à 20 ans le prix Hugo de l’auteur le plus prometteur [personne d’aussi jeune n’a jamais remporté ce prix, avant ou après lui.]

Dans la première partie de sa carrière, il innonde les magazines de quantités de nouvelles - assez commerciales. Il publie tellement qu’il est obligé de prendre quantité de pesudonymes : on lui connait plus de 25 noms de plume différents ! Une nouvelle par jour... On raconte qu’à l’époque il était capable de pondre une nouvelle en une journée, sur le thème commandé et de la longueur souhaitée par l’éditeur. Entre 1957 et 1959, il écrit ainsi plus de 220 textes courts et 11 romans, presque tous republiés ensuite... C’est Frederik POHL, alors rédac-chef du magazine Galaxy, qui réussit à le convaincre qu’une SF plus littéraire peut trouver son public... Un petit tour... et puis revient "Les monades urbaines" ["The World Inside", 1971] Clifford D. Simak. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Simak. Clifford D. Simak Œuvres principales Clifford Donald Simak, né le à Millville au Wisconsin et mort le (à 83 ans) à Minneapolis au Minnesota, est un auteur américain de science-fiction.

Les origines modestes de ce fils de fermiers modèleront la plupart des personnages de ses romans. Ses thèmes favoris sont la nature et les robots anthropomorphiques. Il a gagné plusieurs prix Hugo et prix Nebula. Biographie[modifier | modifier le code] Né le 3 août 1904, Clifford Donald Simak est le fils d'un immigré tchèque, John Lewis Simak, ouvrier agricole, et de Margaret Wiseman, fille d'un propriétaire fermier de Millville dans le Wisconsin aux États-Unis. Après ses études à l'Université du Wisconsin-Madison, il commence à travailler comme instituteur, toujours dans le Wisconsin. Simak commence sa carrière d'écrivain de science-fiction à un âge avancé car, en 1931, il a déjà 27 ans.

(liste non-exhaustive) Simak Clifford D. Clifford D. Simak est le fils d’un immigré tchèque ouvrier agricole. Il passe son enfance dans la ferme paternelle près de Milville dans le Wisconsin (Etats-Unis), autant dire à la cambrousse. Instituteur, puis journaliste dans un canard local du Michigan, Simak écrit Cubes of Ganymede, sa première nouvelle, en 1931. Il l’envoie au magazine d’Hugo Gernsback, Amazing Stories, qui ne la publiera jamais. Il faut reconnaître que ses premiers textes sont un peu simplets et manichéens, à l’image des premiers pulps. Mais Simak est publié par d’autres revues, comme Astounding Stories of Super Science et Wonder Stories. Fin 1937, Clifford D. De 1938 à 1943, Simak publie une vingtaine de nouvelles dans Astounding Science Fiction (nouveau nom de Astounding Stories) en particulier City, prémisses de ce qui sera plus tard son plus célèbre roman, Demain les chiens.

Progressivement Simak s’éloigne d’Astounding pour collaborer avec Galaxy SF, autre revue (58 nouvelles publiées entre 1941 et 1948). Norman Spinrad. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Norman Spinrad Norman Spinrad en 2006 Œuvres principales Norman Spinrad en 2013 Biographie[modifier | modifier le code] Norman Spinrad est né en 1940 dans le Bronx de New York où il passe son enfance. Pendant sa dernière année d'études, il suit des cours d'écriture de nouvelles et soumet ses premières histoires à différents magazines. Il travaille ensuite comme éditeur, tout en continuant à publier régulièrement des nouvelles. De décembre 1967 à octobre 1968, il pré-publie en 6 épisodes son roman Jack Barron et l'éternité dans la revue britannique News Worlds de Michael Moorcock. En 1972, Spinrad publie Rêve de fer. Ces deux romans majeurs sont représentatifs de l'esprit polémique de Spinrad. De 1980 à 1982, il est président de la Science Fiction and Fantasy Writers of America (il sera à nouveau nommé président de cette association en 2001-2002).

En 2012, il publie Le Temps du rêve chez Fayard[8]. Œuvres[modifier | modifier le code] SPINRAD Norman. Scandale en Angleterre : la revue New World est interdite, suite à la publication dans ses pages d’un roman de S. -F. dont la crudité choque les bonnes consciences. Ce roman c’est "Jack Barron et l’éternité", le dernier ouvrage de Norman SPINRAD. Jusqu’ici SPINRAD n’avait commis que des romans de S. -F. assez classiques. "Jack Barron... " est un tournant dans sa carrière, et désormais, tous ces livres seront des dénonciations de la société américaine. Exilé en France, où il vit depuis 1988, SPINRAD a quitté son pays mais ne cesse de le contempler de loin, avec l’amertume d’un amoureux déçu : ce pays qui pour lui est une oeuvre de science-fiction en direct, parce qu’il est le seul état transnational, et donc l’avenir en marche du reste de la planète, ce pays s’est perdu en chemin.

La cassure est nette : elle est intervenue avec la guerre du Vietnam et l’affaire du Watergate. A découvrir pour son style très réaliste, et sa violence moderne. - "Les Solariens" ["The Solarians", 1966] Bruce Sterling. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Bruce Sterling Bruce Sterling en 2008. Œuvres principales Vie et œuvre[modifier | modifier le code] À partir de la fin des années 1970, Sterling écrit les textes du cycle Mécas/Morphos : le système solaire est entièrement colonisé par l'homme et deux factions principales s'y affrontent.

Les Mécanistes emploient des implants basés sur la mécanique, l'électronique et l'informatique, les Morphos pratiquent la manipulation génétique à grande échelle. Dans les années 1980, Sterling publie une série de fanzines appelé Cheap Truth (en) sous le pseudonyme de Vincent Omniaveritas. Il a aussi inspiré deux projets que l'on peut retrouver sur le Web : Le Dead Media Project (en), une collection de « notes de recherche » sur les technologies des médias « morts », des quipus incas au jeux vidéo et ordinateurs des années 1980 en passant par le phénakistiscope victorien.

Œuvres[modifier | modifier le code] Romans[modifier | modifier le code] Bruce Sterling. Beyond The Beyond. STERLING Bruce. Pionnier du mouvement cyberpunk, auteur à sucès, journaliste et essayiste, activiste des cyber-libertés, Bruce STERLING rejoint dans la réalité les personnages de ses fictions. Bruce STERLING écrit ses premières historiettes à l’âge de douze ans.

Rien de bien sérieux. Après plusieurs années passées à l’étranger [son père travaille notamment en Inde sur un projet d’usine], il entre à l’Université du Texas, à Austin en 1972. C’est à cette époque, qu’avec un groupe d’amis fans de science-fiction, il s’attaque sérieusement à l’écriture. Diplômé de journalisme en 1976, il vend la même année sa première nouvelle, Man-made Self. A partir de là, STERLING développe dans ses romans l’univers cyberpunk, appuyé par des auteurs comme William GIBSON, avec lequel il co-écrira plusieurs romans, ainsi que John SHIRLEY et Rudy RUCKER. En 1986, il réunit plusieurs nouvelles censées représenter ce mouvement, sous le titre "Mozart en verres miroirs" ["Mirrorshades", 1986]. "Schismatrice +" ["Schismatrix", 1985]