background preloader

Veille du 29/03

Facebook Twitter

Monoprix “test and learn” sur Pinterest. Pourquoi avoir ouvert une page Monoprix sur Pinterest ? Parce que Pinterest est devenu, en peu de temps, un des réseaux sociaux les plus suivis, dont nous ne pouvions ignorer l’émergence. Il s'inscrit de plus en plus dans le quotidien des consommateurs auxquels nous souhaitons nous adresser. C’est pour cette raison que Monoprix veut partager ses coups de cœur, inspirations et nouveautés avec ses followers, que ce soit dans le domaine de la mode, de la décoration, de l’alimentation ou de la beauté.

La dynamique d’image et d’innovation est importante pour Monoprix, qui a mis au point une stratégie de présence sociale pragmatique, dite de “test and learn”, sur les nouveaux réseaux. Cela permet donc un usage innovant et complémentaire aux actions menées sur les autres réseaux. Pinterest s'inscrit dans cette démarche et vient compléter l'écosystème social de Monoprix avec une approche de magazine “lifestyle”, naturel pour l'enseigne et attendu par ses cibles. Pages fan : les règles d'or - MEDIA. Quelles pourraient être « les règles d’or » d’une page fan réussie ? Damien Vincent : "C’est un exercice compliqué. D’abord, parce que Facebook est un outil de communication encore relativement nouveau et qui évolue en permanence. Il faut donc s’adapter. D’autre part, les choses ne sont pas identiques d’une marque à l’autre. Mais s’il n’existe pas de recettes miracles monolithiques qui peuvent s’appliquer à toutes les marques, on constate quand même des similitudes dans les pages qui fonctionnent le mieux.

Une approche « Test and Learn » est à privilégier. Il est vrai qu'il y a une nécessité à allouer des ressources : en temps, en énergie et en budget. Le « storytelling » est aussi déterminant. Les pages fans doivent évidemment donner de l’exclusivité et de la valeur ajoutée à leurs membres. Facebook doit être considéré non pas comme un canal séparé, mais comme un support qui apparait dans tous les autres supports de communication. Peut-on mesurer le ROI des pages fan ? De la mesure de l'effet ROPO via les coupons.

Commerce connecté : 50 % des mobinautes font leurs course avec leur smartphone. Des applications mobile qui génèrent du trafic en magasin grâce à du placement de marque, ou grâce à un déploiement sur des écrans digitaux. Des sites qui référencent en temps réel les produits présentés en magasins. Des vendeurs équipés de tablettes encaissant directement les achats des clients, ce qui permet d'éviter le passage en caisse. Des cabines d'essayages qui scannent et mémorisent les mensurations des clients lesquels commandent en ligne leurs vêtements sur mesure.... Les exemples de commerce connecté prolifèrent. Et le parcours client se digitalise ce qui devrait à terme, modifier sensiblement le marketing des derniers mètres : Pour accompagner ce phénomène, lié à la digitalisation du point de vente et aux changements des habitudes d'achat, qui reposent de plus en plus sur les nouvelles technologies, Digitas France (VivaKi/Publicis Groupe) dirigé par Mathieu Morgensztern vient de se doter d'une cellule dédiée, baptisée “Connected Commerce for active brands”.

La complémentarité magasin/e-commerce mise en lumière par l’étude «Online Shopper Intelligence» de Kantar Media Compete. [Etude] Comment les interactions online/offline influencent le parcours d’achat. L’étude « Online shopper intelligence » récemment publiée par Kantar Media Compete met en lumière à quel point les interactions entre le online et le offline sont multiples et variées dans le parcours d’achat du consommateur. Selon l’enquête, la pratique la plus répandue est de rechercher le produit sur internet avant de l’acheter en magasin. Baptisée Ropo (pour research online, purchase offline) cette tendance concernerait plus de 9 cyberacheteurs sur 10. En effet, la quasi-majorité des sondés déclare être encline à rechercher au moins un type de produit en ligne avant de l’acheter en magasin.

Ce comportement concerne davantage les achats high-tech et électroménager (32% et 27% des acheteurs), dont le prix d’achat est globalement plus élevé. Si le web génère incontestablement de l’activité en magasin, l’inverse est également vrai. En effet, plus d’un acheteur en ligne sur deux a tendance à rechercher au moins un type de produit en magasin avant de l’acheter sur internet. Multiplicite-interactions-entre-commerce-et-off-line. L’étude “Online Shopper Intelligence” réalisée par Kantar Media Compete en France (1) montre que tous les acheteurs en ligne ont tendance à rechercher au moins un type de produit sur un canal de vente (internet ou en magasin) avant de l’acheter sur l’autre canal. Plus d’un cyber acheteur français sur deux recherche des produits en magasin avant de les acheter en ligne.

La pratique la plus répandue est de rechercher le produit sur Internet avant de l'acheter en magasin : plus de 9 cyberacheteurs sur 10 déclarent en effet être enclins à rechercher au moins un type de produit en ligne avant de l’acheter en magasin. Ce comportement concerne davantage les achats high-tech et électroménager (32 % et 27 % des acheteurs), dont le prix d’achat est globalement plus élevé. C’est également le cas pour les vêtements et chaussures pour lesquels le “toucher” constitue un élément important dans l’acte d’achat. Shoppers compulsifs du “clic” : qui sont-ils ?