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Veille du 27/03

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La DMAF présente les chiffres de marché du Digital Média en 2011. 23 mars 2012 La Digital Media Association France (DMAF) vient de publier les résultats de son Observatoire du marché français du Digital Media, en 2011. Cette étude, menée à l’initiative de la DMAF, a été réalisée par le cabinet d’études Digital Media Village (NDLR : qui édite également Ooh-tv). Le marché français du Digital Media a généré 123,5 millions d’euros de chiffre d’affaires, l’année passée, soit une hausse de 11% par rapport à 2010. Les activités techniques et technologiques représentent 61% du total (75m€), suivies des activités de Régie publicitaire (25,5m€) et de Contenu (23m€). Source : Digital Media Village Les activités techniques Les activités assurant la mise en place puis l’opération de réseaux de digital media constituent les 43% restants : la maitrise d’œuvre/intégration est, avec 12m€, le pôle le plus significatif, suivis des activités d’Opération et de Maintenance (9m€), d’Installation (7m€) et de Conseil (4m€).

L’activité de régie publicitaire L’activité de contenu. Du mobilier "intelligent" et interactif dans les rues de Paris. Google Places Ranking Factors - The PhD Version. Bizible, a start-up that makes local marketing software for SMBs, approached me recently* to preview the results of a Google Places Ranking Factors study they had conducted and I was intrigued enough by their findings to share some of them here.

Bizible’s team is made up of former Bing AdCenter guys and counts a PhD and a stats expert on their staff, so their study is a more scientific attempt to figure out what’s going on with Google Places than your typical “here’s what some SEOs think” kind of thing. For methodology, they studied 30 potential ranking factors by querying approximately 20 cities across approximately 20 local categories (about 400 search terms), looking 30 results deep in Google Places rankings. They looked at each factor in isolation and then looked at them in combination to see if there were any multiplier effects.

So what did them fancy PhD-types discover? Some interesting stuff. Top 3 Factors To Improve Ranking For Pages In Integrated Results Other Interesting Nuggets. TunPharma : Application iPhone et Android Pharmacie en Tunisie. Les promesses de Pinterest. Après Facebook, Twitter, LinkedIn, Viadeo, YouTube, Flikr, Tumblr ou encore Instagram, voici le petit dernier : Pinterest ! Né en mars 2010 à Palo Alto, en Californie, ce réseau social ne cesse de faire parler de lui. Son nom marie deux mots anglais : “pin”, (épingler) et “interest”, (intérêt). Tout le monde peut s’inscrire sur le réseau, à condition d’être invité par un membre.

Concrètement, chaque internaute peut créer des pages (« board ») liées à ses centres d’intérêt, composées de photos et de vidéos (« pins »), associées à un texte de 500 caractères maximum. Chacun peut aussi ajouter les posts des autres (« repins »). Pour l’instant, la nourriture, la décoration et les vêtements sont les thèmes les plus populaires. Des chiffres alléchants Si le réseau fait autant de bruit sur la Toile, c’est parce qu’il est devenu la nouvelle coqueluche des Américains. Les marketeurs sont séduits En France, les entreprises s’inscrivent progressivement sur Pinterest. Tendances Web to Store, ROPO ? Explications & définitions, Le Carnet d'une aventurière du Web. Le spécialiste français de la levée de fonds, Chausson Finances déclarait sur BFM que le secteur ayant reçu le plus d’investissements en 2011 est le web et en particulier les business autour du « Web to Store ». Alors, le Web to Store, kesako ?

Le web to store est utilisé pour désigner un comportement d’achat du consommateur qui effectue une recherche d’informations sur Internet avant d’aller effectuer son achat en point de vente. On parle également de ROPO ou Reseach Online, Purchase Offline. Le distributeur physique a grossièrement le choix entre développer une division e-commerce avec un site en propre et une logistique adaptée pour distribuer ses produits en ligne ou il peut exploiter Internet pour faire la promotion de son catalogue et renvoyer des prospects chauds en magasin.

Chaque stratégie a ses règles et usages à respecter, une petite illustration avec cette vidéo: Le web to store n’a rien de révolutionnaire et existe depuis longtemps sous des formes diverses.