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Tranches de vie

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How I’ll End the War: The Trip Over to Afghanistan. Big Pharma’s focus on blockbuster cancer drugs squeezes out cheaper treatments.

How I’ll End the War: The Trip Over to Afghanistan

José Salvador Alvarenga. José Salvador Alvarenga (born in Garita Palmera, Ahuachapán, El Salvador)[3] is a Salvadoran man who was found on 30 January 2014, aged 36 or 37,[nb 1] in the Marshall Islands, and claimed to have spent 13 months adrift in a fishing boat in the Pacific Ocean.[7] He is reported to have survived on a diet of raw fish, turtles, small birds, sharks, and rainwater.[8] He swam to shore at Ebon Atoll on January 30.[9] Two locals, Amy Libokmeto and Russell Laikedrik, found him naked, clutching a knife and screaming in Spanish.[10] On February 3[4] he was treated in a hospital in Majuro[11] before flying to his family home in El Salvador on February 10.[12] Early and personal life[edit] Alvarenga was born in Garita Palmera, Ahuachapán, El Salvador, to José Ricardo Orellana and María Julia Alvarenga.

José Salvador Alvarenga

Voyage[edit] [edit] Family Support Rumors Some people have questioned the veracity of Alvarenga's story. Une étude confirme le récit du naufragé du Pacifique. Le récit de l'odyssée de treize mois du naufragé du Pacifique est corroboré par une étude américaine qui a analysé les vents et les courants au cours de cette période dans la zone traversée.

Une étude confirme le récit du naufragé du Pacifique

Cette étude menée par l'université de Hawaï à Manoa s'est appuyée sur un modèle développé pour examiner les variations des courants à la surface de l'océan. Échoué sur le rivage d'un atoll des îles Marshall il y a deux semaines, le Salvadorien José Salvador Alvarenga affirme avoir dérivé pendant 13 mois seul dans l'océan Pacifique, un récit qui laisse dubitatifs certains spécialistes. Il était parti en décembre 2012 de l'État du Chiapas, dans le sud du Mexique, et a réapparu 13 mois plus tard, à 12.500 km de son point de départ, affirmant avoir survécu en se nourrissant d'oiseaux, de poissons et en buvant du sang de tortue ainsi que son urine. Etude des courants et des vents. The Love Story I Needed to Share on Valentine's Day  11 Stories You Missed In 2013 That Should Totally Be Made Into Movies. All the world's a stage.

11 Stories You Missed In 2013 That Should Totally Be Made Into Movies

Whether you're a news junkie looking to read about some of the year's most compelling stories you might have missed, or you're a creative type looking for some narrative inspiration, the collection below is a must read as we come to the close of 2013. Don't be surprised to see them adapted for the screen some point down the road. 1. Moi, Christiane F., 51 ans, toujours vivante. M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Géraldine Schwarz Quand elle arrive, un courant électrique traverse la pièce et nous propulse plus de trente ans en arrière.

Moi, Christiane F., 51 ans, toujours vivante

Nous avions 10, 20 ans. Nous avons lu Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée... Nous avons souffert avec elle de sa descente aux enfers, senti la pisse des toilettes publiques où elle se shootait à l'héroïne dans le pied, car le reste du corps était perforé jusqu'au dernier centimètre carré, eu la nausée lorsqu'elle s'embarquait en voiture avec un inconnu en quête de jeune chair, elle que l'addiction à la drogue rendait disponible et bon marché. Nous avons aimé son histoire d'amour avec un autre gamin de la drogue, Detlef, dans des squats pourris où la question n'était pas de savoir qui allait mourir d'overdose mais quand.

"Hallo ! Au printemps 1978, Horst Rieck, journaliste du magazine allemand Stern, couvre le procès d'un pédophile de Berlin qui s'achète les services sexuels de mineures. Et après ? Mon fils a fait sa première rentrée. J’aurais voulu autre chose pour lui. A l’école Aqueduc à Paris, le 15 juin 2013 (Henri Deruer) Cet été mon petit garçon a eu 3 ans, il vient de commencer l’école.

Mon fils a fait sa première rentrée. J’aurais voulu autre chose pour lui

Comme tous les parents du monde nous l’avons préparé les mois qui précédaient la rentrée. « Whaa tu vas aller à l’école mon doudou ! C’est super ! How I Got F*cked by Burning Man, and Other Sacred Ceremonies. (photo by: Trey Ratcliff) So there I was, marching through a sandstorm in the middle of the night, tears streaming down my face.

How I Got F*cked by Burning Man, and Other Sacred Ceremonies

I felt myself getting pushed further and further into the desert by the incessant, blaring boom of loud bass, desperately seeking the outer edges of the playa to escape the competitive cacophony of music and voices and lights and wild and colorful outfits. I couldn't help but wonder why I had chosen to do this, rather than to be in the warm embrace of my boyfriend back home. I had to remind myself, over and over and over again: I had purposefully stepped into this seven-day ceremony. And this was only day two. So how to begin talking about how I got f*cked by Burning Man? Pas né dans le bon corps, j’ai passé mon adolescence à en changer. Portrait de Laurent-13 - Audrey Cerdan/Rue89 En apparence, je ressemblais à tous les autres enfants.

Pas né dans le bon corps, j’ai passé mon adolescence à en changer

Je jouais au foot avec mes copains, je courais après les petites filles en les taquinant, j’en tombais amoureux comme on peut l’être à 5 ans, j’adorais mes figurines Batman et mes déguisements de Zorro. Tout allait bien, jusqu’au moment où la maîtresse d’école a prononcé mon prénom, Laura, en me disant que je ne devais pas m’amuser avec les garçons parce que ce n’était pas mon « monde ».

Foudroyante prise de conscience. Merde, je suis une fille ? Ce jour-là, j’ai appris à jongler entre deux existences. J’entendais mes parents parler de moi au féminin et faire des projets pour mon avenir de jeune femme, mais leurs paroles sonnaient faux. Ma mère me disait souvent « ne va plus chez le coiffeur et arrête de t’habiller comme ça » et mon père, à la fois tendre et cruel, me répétait sans cesse que j’étais sa « princesse ».