La confusion entre l'éthique et la morale. Le premier cas correspond à l'éthique, c'est-à-dire aux préférences de chaque individu quant à sa propre vie. Il y est question d'un ordre de préférence entre des lignes de conduite alternatives (et les vécus futurs qui en sont les conséquences prévues). L'éthique est donc relative et contingente. Elle est relative à chaque individu, et même au vécu actuel de chaque individu, puisqu'elle concerne la préférence d'un individu à un moment donné entre un nombre limité de possibilités. Elle est donc contingente, parce que d'autres individus, ou bien le même individu à d'autres moments, ou dans d'autres circonstances, pourraient avoir des préférences différentes.
Le second cas correspond à la morale, c'est-à-dire au devoir constant de tout individu. Il y est question, non pas de valeur relative et contingente, mais de Bien et de Mal, c'est-à-dire d'un critère de valeur absolu et obligatoire, lequel devrait être suivi par tout individu, constamment, quelles que soient les circonstances. Philosophie éthique. Voyage au bout d’un enfer de glace.
Connexion Caroline Montpetit 13 mai 2014 Société / Actualités en sociétéVoyage au bout d’un enfer de glace Photo : Caroline Montpetit Le Devoir Tout sur le projet de Marquise Lepage : 40 entrevues, 12 montages vidéo, des archives ainsi qu’une chronologie complète de l’histoire des relocalisations des Inuits. Inukjuak — En 1953 et en 1955, 19 familles inuites ont été relocalisées, par le gouvernement fédéral, de la côte d’Hudson vers le Haut-Arctique, quelque deux mille kilomètres au nord de la côte de la baie d’Hudson, où elles vivaient.
Iqqaumavara, un projet Web de Marquise Lepage, en collaboration avec l’ONF, raconte cette douloureuse histoire. C’était un matin de septembre. . « Ça ressemblait vraiment à une planète morte. Markoosie est l’une des personnes interviewées dans le cadre du vaste projet Web Iqqaumavara, qui signifie « Je m’en souviens », en inuktitut, que la réalisatrice Marquise Lepage lançait vendredi dans la petite communauté d’Inukjuak, dans la baie d’Hudson. Des excuses. Ce serait la faute d’Ottawa si les autochtones canadiens sont au bas de l’échelle. Rapporteur spécial des Nations unies sur les droits des peuples autochtones, James AnayaCrédit photo : PC / Sean Kilpatrick Selon le rapporteur spécial de l’ONU, le gouvernement canadien manque d’initiative. Après avoir visité une bonne partie du Canada durant neuf jours l’automne dernier, le rapporteur spécial de l’ONU sur les droits des peuples autochtones se déclare peu impressionné par les initiatives canadiennes à l’égard d’une plus grande justice sociale envers les autochtones du Canada.
Dans son rapport présenté lundi, James Anaya reconnaît que le Canada n’est pas inactif, mais que tous ses efforts déployés ne parviennent pas à réduire l’écart entre le bien-être des Autochtones et celui des non autochtones au Canada. Il évalue que cet écart à l’automne 2013 n’avait pas rétréci depuis sa précédente visite en 2004. Tout au bas de l’échelle sociale canadienne Selon M. Manque de consultation chronique Réputation internationale canadienne écorchée Nos récents articles Liens externes.
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