Le GNS est un outil. Après de nombreuses lectures, discussions et applications autour du modèle GNS, j’ai décidé d’écrire un article pour mettre à plat cette théorie obscure pour les rôlistes francophones.
Le modèle GNS1 n’est pas une tentative de définition exhaustive du jeu de rôle, il ne décrit qu’une partie de cette activité, mais qui peut avoir une grande influence sur nos parties. Le « Big Model2 » lui, définit d’une manière bien plus large les tenants et aboutissants de cette activité en se focalisant sur les éléments analysables : les techniques utilisées et ce qui est dit par les joueurs pendant la séance de jeu. J’emprunterai certains concepts de ce modèle, mais je me centrerai pour le moment sur ce que l’on nomme les « démarches créatives » et les trois « modes GNS ». Je vous propose donc ici ma compréhension et mes réflexions à propos de la partie nommée « GNS » de cette théorie. Afficher le sujet - Le modèle LNS. Alban* a écrit:J'aime le Ludisme et le Simulationnisme ensemble, mais j'aime que ce soit au service d'une certain narrativisme (j'aime l'humour au premier/second degré) . ??!
J'ai l'impression qu'il y a confusion sur les acceptions de ces trois termes dans la théorie de Ron Edwards. Auncune démarche ne se met "au service" des autres, chaque démarche créative ayant une finalité trs différente (cf. infra). Par contre du Narrativisme quasi-pur, a la Changelin/Règne des Ténèbres, j'y suis allergique, si bien que des persos idéalistes que je crée avec des visions optimistes deviennent désespérés, perdent foi en l'humanité et deviennent suicidaires voir mauvais (et étant Neutre Bon IRL a un point d'excès et optimiste moi-même, çà devient atrocement dur de les jouer, je les perd de vue ...).J'aimerai la charcuterie nature. Quand ils commence a y mettre des épices ils en mettent toujours trop~ ...
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