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Phénoménologie, herméneutique, eksistence, ontologie, épistémolo

De l'au-delà à l'en-deçà...ou l'inconnu pour se connaître. Lundi 12 décembre 1 12 /12 /Déc 06:05 L’homme ne peut guère s’empêcher de chercher une explication de la chose en dehors de celle-ci. Auparavant, avec la transcendance, il y avait un au-delà dépassant le réel pour recevoir toutes les causes supposées des effets sentis. Les idées contemporaines se sont chargées de cette transcendance pour lui régler son compte, et dorénavant celle-ci a du plomb dans l’aile, ce qui est plutôt gênant pour une construction de l’esprit visant plus le ciel que la terre.

L’ontologie est ainsi revenue vers ce qui est réellement, mais sans se satisfaire pour autant des apparences. Partager l'article ! InShare Par Jefka - Publié dans : LE SUJET -Communauté : La commune des philosophes 0. Phénoménologie (philosophie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La phénoménologie (du grec : phainómenon, « ce qui apparaît » ; et lógos, « étude ») est un courant philosophique qui se concentre sur l'étude des phénomènes, de l’expérience vécue et des contenus de conscience. Edmund Husserl ( - ), est considéré comme le fondateur de ce courant, dans sa volonté de systématiser l'étude et l'analyse des structures des faits de conscience[1]. Il n'y a pas à s'étonner de la grande variété des expressions prises par ce courant de pensée qui ressortit à sa nature même qui veut exprimer les aspects spécifiques de chacun de ses domaines d'étude[1]. La phénoménologie constitue l'une des traditions principales de la philosophie européenne du XXe siècle.

Elle a en outre inspiré de nombreux travaux hors de son champ philosophique propre tels : la philosophie des sciences, la psychiatrie, l'esthétique, la morale, la théorie de l'histoire[1], l'anthropologie existentiale[2]. Edmund Husserl (trad. Maurice Merleau-Ponty. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Maurice Merleau-Ponty Philosophe français Époque contemporaine Biographie[modifier | modifier le code] L'enseignant[modifier | modifier le code] À l'âge de cinquante-trois ans, il meurt d'un arrêt cardiaque le soir du , assis à son bureau, où la Dioptrique de Descartes était encore ouverte[2]. « Il laisse une œuvre considérable, inachevée, et singulièrement un livre auquel il travaillait et qui devait constituer son chef-d'œuvre : “Les aventures de la Dialectique” »[3].Claude Lefort est l'exécuteur testamentaire de l'œuvre de Maurice Merleau-Ponty [4].

La rupture avec Sartre[modifier | modifier le code] Philosophie[modifier | modifier le code] Le primat de la perception[modifier | modifier le code] La corporéité[modifier | modifier le code] René Descartes Le langage[modifier | modifier le code] Voir aussi philosophie du langage. Ferdinand de Saussure Les arts[modifier | modifier le code] Les joueurs de cartes, Paul Cézanne. Pragmatisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le pragmatisme est une méthode philosophique tournée vers le monde réel. Le terme désigne parfois un mouvement de pensée selon lequel n'est vrai que ce qui a des conséquences réelles dans le monde.

Le mot pragmatisme est issu d'une école philosophique d'origine américaine, dont le fondateur est Charles Sanders Peirce. Peirce a proposé l'emploi du mot pragmaticisme pour distinguer sa démarche des usages non-philosophiques du mot « pragmatisme ». Les deux autres grandes figures du pragmatisme classique (fin XIXe siècle-début XXe siècle) sont William James et John Dewey. Présentation générale[modifier | modifier le code] Le pragmatisme est plus une attitude philosophique qu'un ensemble de dogmes. « Pragmatisme » vient du grec pragma (le résultat de la praxis, l'action en grec) ce qui atteste du souci d'être proche du concret, du particulier, de l'action et opposé aux idées abstraites et vagues de l'intellectualisme. John Dewey. John Dewey en 1902. Sa philosophie est d'abord marquée par l'instrumentalisme, c'est-à-dire par sa volonté de rompre avec une philosophie classique qu'il voyait comme plus ou moins liée à la classe dominante, pour en faire un instrument de transformation collective et délibérative du monde.

Le principal moyen envisagé par Dewey à cette fin est ce qu'il nomme la « théorie de l'enquête », qui fait partie de son approche de la démocratie et dans le cadre de laquelle les théories philosophiques traditionnelles sont alors vues comme des moyens de fournir des hypothèses à tester. Biographie[modifier | modifier le code] Son parcours[modifier | modifier le code] Les années de jeunesse[modifier | modifier le code] Comme son ainé, Davis Rich Dewey, il étudie à l'université du Vermont (Phi Beta Kappa), d'où il sort diplômé en 1879.

Dewey a presque 23 ans lorsqu’il continue ses études à l’université Johns-Hopkins en septembre 1882. Les années à l'université de Michigan[modifier | modifier le code] 1. Charles Sanders Peirce. Biographie[modifier | modifier le code] Vie[modifier | modifier le code] Vers l'âge de 12 ans, il lit un livre de logique de l'évêque Richard Whately et devient fasciné par les problèmes de logique au point de penser les problèmes à travers elle[2]. À seize ans, il étudie chez lui Lettres sur l'éducation esthétique de l'homme de Friedrich von Schiller, puis Critique de la raison pure de Kant[2]. Après avoir étudié ce livre pendant trois ans, il en conclut que l'ouvrage est vicié par une « logique puérile »[2]. Peirce souffre depuis son adolescence de troubles nerveux qui de nos jours pourraient être diagnostiqués comme une névralgie du trijumeau. Pour Brent, son biographe, quand il avait une crise, « il était d'abord, presque hébété, puis distant, froid, déprimé, très suspicieux, impatient du plus petit signe de rémission, et sujet à de violentes sautes d'humeur »[3].

Juliette et Charles chez eux à Arisbe en 1907. Reconnaissance tardive[modifier | modifier le code] Phase d'abduction. John Searle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Searle. Cet article concerne le philosophe américain. Pour le directeur de la photographie australien (né en 1942), voir John Seale.

John Searle Philosophe occidental Époque Contemporaine John Searle en 2005 Philosophie du langage[modifier | modifier le code] Les Actes de langage et leur force illocutoire[modifier | modifier le code] La philosophie du langage de John Searle bénéficie de l'héritage de Peter Strawson et de John Austin. Les assertifs : un acte assertif engage le locuteur sur la véracité d'une proposition. John Searle a par la suite travaillé avec Daniel Vanderveken sur cette théorie des actes de langage afin de déterminer la réussite partielle ou complète d'un tel acte. Les Actes de langage indirects[modifier | modifier le code] Les actes de langage indirects sont pour Searle les expressions qui réalisent une action verbale sous les apparences d'une autre.

L'Intentionnalité[modifier | modifier le code] William James. Pour les articles homonymes, voir James. William James (né le 11 janvier 1842 à New York, mort le 26 août 1910 à Chocorua dans le New Hampshire) est un psychologue et philosophe américain, fils d'Henry James Sr., le disciple de Swedenborg, et frère aîné d'Henry James, romancier célèbre. James est un des membres les plus éminents de la génération de penseurs qui ont contribué à donner à la pensée américaine sa propre tonalité. Il est non seulement un des fondateurs du pragmatisme mais également de la philosophie analytique.

William James est souvent présenté comme le fondateur de la psychologie en Amérique. Son premier grand livre, publié en 1890, est intitulé The Principles of Psychology (Les principes de psychologie). Ce livre présente une psychologie basée sur l'évolutionnisme et axée sur la réflexion philosophique. La théorie de la signification constitue le cœur du pragmatisme de James. Un autre point important chez James est la notion de « tempérament » . « Chaque « état[Quoi ?] Sociologie pragmatique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sociologie pragmatique désigne la conjonction de différents courants sociologiques français inspirés par l'ethnométhodologie, la sociologie des sciences et la sociologie de la critique, et communément rassemblés sous cette formule depuis la fin des années 1980.

Souvent qualifiée de style, la sociologie pragmatique n'est pas un courant unifié[1]. Elle trouve son origine dans les travaux de Luc Boltanski et Laurent Thévenot et cherche à « construire une approche qui tient compte de la capacité des acteurs à s’ajuster à différentes situations de la vie sociale »[1]. Cette perspective sociologique occupe au début du XXIe siècle une certaine place dans le paysage intellectuel contemporain et dans le champ des sciences sociales en France et ailleurs. Description[modifier | modifier le code] L'ambition de la sociologie pragmatique est d'opérer une série de dépassement par rapport à ce qu'elle appelle "la sociologie classique : Phénoménologie de la religion. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La phénoménologie de la religion est la description du fait religieux. Cette discipline se propose d'étudier la conscience du croyant, sa conception du monde, et éventuellement, sa perception des faits religieux.[1] Largement tributaire de l'herméneutique religieuse — c'est-à-dire de l'analyse et de l'interprétation des textes bibliques —, la phénoménologie tente d'articuler la compréhension du fait religieux autour des différents sens des textes sacrés[2].

Histoire[modifier | modifier le code] La première apparition du terme « Phénoménologie de la religion » se trouve en « Lehrbuch der Religionsgeschichte » [3],[A 1] par Pierre Daniël Chantepie de la Saussaye (1848-1920), en 1887. Quelques chercheurs de phénoménologie des religions[modifier | modifier le code] Littérature[modifier | modifier le code] Martin Heidegger (trad. de l'allemand par Jean Greisch), Phénoménologie de la vie religieuse, Paris, Gallimard, (ISBN 978-2-07-074516-6) Phénoménologie de la vie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le philosophe français Michel Henry définit la vie d'un point de vue phénoménologique comme ce qui possède la faculté et le pouvoir « de se sentir et de s'éprouver soi-même en tout point de son être »[4].

Pour lui, la vie est essentiellement de l'ordre de la force subjective et de l'affectivité[5], elle consiste en une pure expérience subjective de soi qui oscille en permanence entre la souffrance et la joie[6][7]. Une « force subjective » n’est pas une force impersonnelle, aveugle et insensible comme le sont les forces objectives que l’on rencontre dans la nature, mais une force vivante et sensible éprouvée de l’intérieur et résultant d’un désir subjectif et d’un effort subjectif de la volonté pour le satisfaire[8],[9]. Le mot « phénoménologique » se réfère à la phénoménologie, qui est la science du phénomène et une méthode philosophique d'étude des phénomènes tels qu'ils se manifestent et tels qu'ils apparaîssent[11].

Henri Bergson - Édition de mai-juin 2012 (n°53) 3 clés pour comprendre Philosophe français, prix Nobel de littérature en 1927, cet intellectuel fut aussi un personnage public influent de la IIIe République. Centrée sur la notion de durée et sur le rapport au temps, sa pensée explore la mémoire, l’élan vital de l’homme et, au-delà, de l’univers.

Les instructions de Bergson laissées à sa mort ont été claires : « Insister toujours sur le fait que j’ai toujours demandé qu’on ne s’occupe pas de ma vie, qu’on ne s’occupe que de mes travaux. » Bergson n’aurait sans doute consenti qu’à ce type de biographie : philosophe français (Paris, 18 octobre 1859-Paris, 4 janvier 1941), auteur de quatre ouvrages essentiels : Essai sur les données immédiates de la conscience (1889) ; Matière et mémoire (1896) ; L’évolution créatrice (1907) ; Les Deux sources de la morale et de la religion (1932), de deux recueils d’articles (L’énergie spirituelle, 1919 et La Pensée et le mouvant, 1934) et d’autres études (Le Rire, 1900 ou Durée et simultanéité, 1922).

Phénoménologie (science) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme phénoménologie appliqué à la science est utilisé pour décrire un corps de connaissance reliant de nombreuses observations empiriques entre elles, de façon cohérente avec la théorie fondamentale, mais n'en étant pas issu. Une théorie phénoménologique exprime mathématiquement le résultat de l'observation d'un phénomène sans s'attarder à sa signification fondamentale[1]. Le mot dérive de « phénomène » ( du grec φαινόμενoν, pl. φαινόμενα - phenomena, traduit par "chose manifeste, évidente, qui apparaît", et -λογία - -logia, traduit par « étude de » ou « recherche »), et s'applique à tout événement observable. Une autre façon d'appréhender la phénoménologie en science est de considérer qu'elle constitue l'intermédiaire entre l'expérience et la théorie.

Portail des sciences. Alfred Schütz. Psycho-phénoménologie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] L’acte de naissance de la psycho-phénoménologie se trouve dans le no 13[1] de la revue du Groupe de Recherche sur l’EXplicitation (GREX), Expliciter[2], datant de février 1996. Dans cet article, intitulé Pour une psycho-phénoménologie, Pierre Vermersch relate sa décision d’investir le champ de la recherche sur la subjectivité selon un angle particulier. Il fait alors le constat d’une nécessité théorique qui n’a pas encore trouvé sa voie : l’étude rigoureuse de la pensée privée. Depuis son travail de thèse, en 1976, Pierre Vermersch s’était consacré à l’élargissement du recueil de données des activités cognitives, tout d'abord en utilisant les enregistrements vidéo, puis, à partir des années quatre-vingt, en élaborant une méthode d’entretien, l’Entretien d'explicitation.

Le point de vue phénoménologique[modifier | modifier le code] L’approche scientifique de l’introspection[modifier | modifier le code]

Modernite et post-modernite

Quels sont les problèmes philosophiques essentiels? 1. Métaphysique : Que puis-je savoir ? Puis-je me connaître moi-même ? Ma conscience est-elle transparente () ou opaque à elle-même (, à cause de l'inconscient) ? Mon esprit est-il plus aisé à connaître que mon corps () ou non () ? Peut-on expliquer l'homme, ou seulement le comprendre () ? Le regard de l'homme sur lui-même peut-il être ou non scientifique ? Les sciences humaines peuvent-elles être des sciences exactes ? En quel sens peut-on dire que l'histoire est une science ? Puis-je connaître autrui ? À partir de moi, ou en sortant de moi ? Par la parole ou le silence ? Le langage est-il instrument de communication ? Puis-je connaître la réalité extérieure ? Sommes-nous certains ou non () d'une réalité matérielle extérieure ? Comment les théories scientifiques s'articulent-elles avec l'expérience ? Peut-on expliquer le vivant mécaniquement (), par une « âme » (), par un élan spécifique () ?

Questions générales de la théorie de la connaissance (gnoséologie et épistémologie) 2. 3. 4. 5. 6. 7. Les grandes questions des philosophes. Le Système de la science-hegel.net. I. Garo | « L’infâme dialectique » : le rejet de la dialectique dans la philosophie française de la seconde moitié du 20e siècle. Loic Garcin, Autonomie et solidarité. STEP:Signalement des thèses en préparation. Solidarité et autonomie. Heidegger d'un change à l'autre : Catherine Malabou, Didier Franck, François Raffoul. Une pensée de l'altérité chez Martin Heidegger. L'anonymat de l'ego et la phénoménologie emphatique chez Levinas. Se vouer à l'autre - L'aventure ethique avec Emmanuel Levinas - Grégoire Jalenques. Emmanuel Levinas.

Éthique

Conscience. Conscience (biologie) Gaston Bachelard. Comment les JT mettent en scène le néant. Ethologie. Village planétaire. Œcuménopole. Esthétique, critique de la représentation, déconstruction de la signification. Écologie. Marx écologiste ? L'écosocialisme comme écologie de l'Autonomie. Darwinisme et marxisme. Philo. Ressources bibliographiques etpédagogiques (philo)

0nfray. Serge Provost - Le stoïcisme : le bonheur si je veux ? Philosophie 2.0.