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Cybersecurity

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Télécoms : la guerre froide technologique est déclarée. Par Michel Nakhla.

Télécoms : la guerre froide technologique est déclarée

Les smartphones et les équipements des réseaux Internet du groupe chinois Huawei contiendraient, selon les autorités américaines, des fonctionnalités ou des logiciels qui pourraient servir à l’espionnage. À ces soupçons supposés se rajoute l’obligation pour les entreprises chinoises de collaborer, en matière d’information, avec les autorités politiques si ces dernières l’exigent. Faut-il en déduire que Huawei serait lié au pouvoir chinois ? Pékin se défend en invoquant une concurrence « déloyale et méprisable » qui vise simplement à étouffer la concurrence et à empêcher l’expansion de Huawei dans le domaine de la technologie.

L’arrestation très médiatisée, début décembre 2018 au Canada à la demande des États-Unis, de la directrice financière du géant des télécoms chinois Huawei, par ailleurs fille du patron et fondateur du groupe, a relancé les rivalités. Des équipementiers de plus en plus conquérants Huawei, un équipementier devenu incontournable. Inauguration de la chaire cyber défense à l'école militaire - novembre 2012. La guerre invisible. Pas de vide juridique dans le cyberespace. 16-08-2011 Interview La guerre informatique et le droit international humanitaire.

Pas de vide juridique dans le cyberespace

Partout dans le monde, les décideurs et les responsables militaires réfléchissent aujourd’hui aux implications de la guerre informatique. Cordula Droege, conseillère juridique au CICR, explique que le cadre juridique existant est applicable et doit être respecté même dans l'infosphère. Cyberguerre : un général veut un deuxième Internet aux Etats-Unis. Couverture de « Cyberwar » Pour certains, la cyberguerre est un sujet de scénario de films de science fiction ; pour d’autres, c’est la réalité de la guerre contemporaine.

Cyberguerre : un général veut un deuxième Internet aux Etats-Unis

Exemple avec le général Keith B. Alexander, chef du Cyber Command de l’armée américaine, selon qui il existe « une réelle possibilité que, dans l’avenir, ce pays soit l’objet d’une attaque destructrice, et nous devons nous y préparer ». Dans un entretien avec plusieurs journalistes, dont rend compte cette semaine le New York Times, le général Alexander propose la création d’un réseau Internet distinct de celui qui existe aujourd’hui, afin de sécuriser le réseau électrique américain, considéré comme le maillon faible de la sécurité des Etats-Unis. Cette proposition d’une ampleur considérable, financièrement et techniquement, est lancée publiquement par le général en anticipation d’une remise à plat de tous les enjeux stratégiques liés à Internet par la Maison Blanche d’ici à janvier. Computer-network.jpg.

Cyber défense - Blog Cyber-defense - (Navigation privée) 23juil. Le blog EGEA publie un article pour explorer les différences entre cyber défense et cyber sécurité [1]. Pour autant, si l'angle d'étude de M. Kempf est intéressant (il décortique les notions sous le prisme de l'ordre public, l'économie, et la technologie). Il ne permet peut être pas selon nous de bien expliquer les nuances entre ces termes. Dans celui-ci Olivier Kempf écrit:" La cyber-sécurité se comprend alors comme la lutte contre la cybercriminalité". Cette affirmation laisserait penser que la sécurité renvoie toujours à une forme de "police". D'abord si l'on retient la classification des cyber-menaces selon les trois types suivants: criminels (leur but=argent, y compris l'espionnage industriel);"hacktivists" (but=partager/imposer une opinion, des idées) et enfin:états (but=contrôle au sens large ce qui inclue coercition) alors l'affirmation de M.

Cyberguerre - France Culture - (Navigation privée) Bruxelles2 - (Navigation privée) Nicolas Gros-Verheyde / Brèves, Cyber Espace / (B2) La cyber-sécurité est aujourd’hui le sujet de toutes les attentions. Après la note du chef d’Etat-Major américain, voilà la Chambre des communes, par le biais de sa commission de défense, qui lance une enquête sur la cyber-sécurité. Identifié comme un des trois risques principaux par la stratégie national de sécurité, les Britanniques ont ainsi lancé un programme de 650 millions de £ pour assurer la cyber-sécurité. Les parlementaires veulent connaitre d’abord la nature et l’étendue de cette menace pour les systèmes des forces armés et les opérations ; l’organisation de la réplique au niveau ministériel comme des différents Etats-Majors. Cette mission d’enquête n’est qu’un premier pas, annonce les parlementaires. « Il y a eu une rupture stratégique en 2012 » - (Navigation privée) Depuis un an, entre les cyberattaques de plus en plus sophistiquées et les postures étatiques moins opaques, peut-on considérer que la géopolitique a changé dans le domaine cyber ?

« Il y a eu une rupture stratégique en 2012 » - (Navigation privée)

Comme le montre le tout récent rapport du Sénat, il y a eu de nombreuses évolutions. En plus de nouveaux virus puissants comme Stuxnet ou Flame, il est apparu un front de cyber contestation. Il y a des hackers patriotes, qui attaquent des sites étatiques, de partis politiques, de députés. C’est arrivé à la France après le vote de la loi reconnaissant le génocide arménien. Il y a également les activistes d’Anonymous. Comment s’adapte la France face à ce nouveau contexte géopolitique ? Le ministère et les armées ont clairement pris conscience des enjeux, et le sujet est traité avec un haut niveau de priorité. Enfin, nous avons renforcé nos liens avec l’ANSSI et son centre opérationnel, et nous bénéficions de ses capteurs en complément des nôtres. La Recherche - (Navigation privée)

Grandes manoeuvres pour la cyberguerre.