Fichier:Chateau de Versailles 1668 Pierre Patel.jpg. Fichier:Vue du chevet de la chapelle royale de Versailles.jpg. Cela s'est passé en mai. Un théâtre au château de Versailles : la comédie de la cour des Princes. 1 Jean-Claude Le Guillou, « Le château neuf de Versailles : conception et évolution du projet (autom (...) 2 Le 6 mai 1682. 3 AN, O1 1762A2. 4 L’ordinaire désigne les spectacles donnés environ trois fois par semaine à la cour, « comédie », o (...) 5 Entendre comédie et tragédie. 1Aucun théâtre fixe ne fut construit au château de Versailles avant 1682, bien que dès 1668-1670, Louis XIV l’eût envisagé1.
Peu avant l’installation de la cour à Versailles2, la « petite gallerie » joignant l’aile du Midi et le Corps Central3, située entre la cour des Princes et le parterre du Midi, fut transformée en salle de comédie pour l’« ordinaire » des spectacles4. À Versailles, l’ordinaire débutait à la mi-novembre et s’achevait début avril. Il y avait en moyenne trois divertissements par semaine : « comédie5 », opéra et ballet. Architecture et décor 6 Communication de M. Fig. 1 : « Profil du degré des Princes » avec le passage de la loge de la reine, 1748, mine de plomb : 37 × 49 cm.
Les loges royales. Les projets de Jacques Gondoin : première réponse aux rêves versaillais de Napoléon. 1Sous le Premier Empire, plusieurs architectes furent sollicités pour projeter la transformation du château de Versailles en résidence napoléonienne. Le premier auquel Napoléon s’adressa fut Jacques Gondoin (1737-1818), qui réalisa deux grands projets, dont l’un donna lieu à l’établissement de nombreux plans et de devis. La récente découverte de ces derniers donne l’occasion de poser un nouveau regard sur les propositions de l’architecte, en les définissant de manière plus précise, et en s’intéressant aux données inédites apportées par cette nouvelle source d’archives.
L’analyse porte sur les appartements de l’Empereur, et plus particulièrement sur l’appartement habituel qui devait prendre place au rez-de-chaussée, où les transformations devaient être majeures, comme en témoignent les devis et deux dessins de plafonds qui leur sont annexés. 16 AN, O2 330, rapport général, p. 2. 17 AN, O2 330, « Rapport à M. l’Intendant Général », non signé, ni daté.
. © Émilie Biraud © Jean-Marc Manaï. Jardins et souterrains de Versailles. La Chapelle royale de Versailles le 3 juin 1724. L'ordre du Saint Esprit créé par Henri III en 1578 était l'ordre le plus prestigieux de la monarchie française. Son siège était initialement au Couvent des Grands Augustins à Paris, mais Louis XIV déplaça les cérémonies de l'ordre dans les chapelles de ses différentes résidences.
Le 1er janvier et la Pentecôte en étaient les deux fêtes majeures, mais la cérémonie la plus fastueuse liée à l'ordre qui eut lieu dans la chapelle de Versailles fut la réception de 58 commandeurs et chevaliers par Louis XV le 3 juin 1724.Cette réception donna lieu à un récit détaillé (disponible ici : ... 8672k.html) et fut représentée par une gravure de Rigaud. Plus de six mille personnes y assistèrent. J'ai cherché à évoquer cette cérémonie en réalité virtuelle sur la base des informations fournies par ces deux documents.
Un passage avait laissé entre l'entrée de la chapelle et la nef transformée en salle de réunion du chapitre des chevaliers du Saint Esprit. Versailles comme si on y était. Quelques précisions topographiques concernant le Cabinet du Conseil, puisque c'est théoriquement l'objet de ce forum. Rappelons tout d'abord que le Roi gouverne à l'aide de son Conseil, formé au Moyen Age par la réunion des grands du royaume présents à la Cour. Aux XVI et XVIIè le conseil se spécialise et les conseillers sont de moins en moins des nobles et de plus en plus des roturiers qui doivent tout au roi (ex : Colbert). Le Conseil se réunit tous les jours avec des spécialités différentes (finances, justice, affaires extérieures, religion...), en général après la fin du lever (10-12h) ou au retour de la messe (11h-13h). Le Cabinet sert à nouveau en fin d'après midi.
C'est la aussi que le roi donne ses audiences privées et reçoit sa famille (n'oublions pas que le bureau, la pièce, n'existe qu'à partir de Louis XV. Aux XVIIè et XVIIIè, seuls trois palais royaux abritent une salle du Conseil : Versailles, Compiègne et Fontainebleau. Appartements du comte d'Artois et de son épouse à Versailles. Les salles d’Afrique : construction et décor sous la monarchie de Juillet (1830-1848) Merci à Valérie Bajou et Alain Messaoudi pour leur relecture attentive. 1 Versailles, service des archives du château de Versailles (SACV), sans cote, Journal des rapports d (...) 2 Marthe-Camille Bachasson, comte de Montalivet, Le roi et sa liste civile, Paris, s. n., 1851 [1850] (...) 1Le projet dédié « à toutes les gloires de la France », réunissant « tous les souvenirs historiques nationaux qu’il appartient aux arts de perpétuer1 », apparaît pour la première fois sous la forme d’un rapport au roi Louis‑Philippe (1773-1862), daté du 29 août 1833.
Issu de l’ambition d’un monarque voulant réconcilier les divergences nationales, le musée de l’Histoire de France permettait de diffuser un message politique destiné à renforcer l’autorité et le prestige du souverain, garant de l’unité du pays. Ce fut « l’œuvre personnelle de Louis‑Philippe », comme le précisait Marthe-Camille Bachasson, comte de Montalivet (1801-1880), intendant général de la liste civile2. . © Aurélie Cottais 27 E. 71 M. Blog de berdom - Page 344 - Château de Versailles - Skyrock.com. Blog de Versablog5 - Page 93 - Blog de Versablog5 - Skyrock.com. Histoire de Versailles. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’histoire de Versailles est celle d'une ville ou du moins d'un village relativement ancien qui a vu sa tranquille évolution basculer au XVIIe siècle par le hasard des choix des monarques français.
Les origines[modifier | modifier le code] Le bourg de Versailles était situé à l'intérieur d'un quadrilatère compris entre les rues actuelles de Saint-Julien, de Satory, de l'Orangerie et de l'Indépendance Américaine. Le château seigneurial était bâti sur le mont de Versailles situé au Nord du village et l'église Saint-Julien se trouvait sur l'emplacement actuel du Grand Commun. Le nom est mentionné sous la forme latinisée Versalias en 1074 et pourrait être issu du latin versus, versant et du suffixe -alia.
Un versailles est en effet en vieux français une terre défrichée. Les Verses Saillantes Au XIVe siècle, Gilles de Versailles exerce la charge de bailli du roi. Louis XIII[modifier | modifier le code] — Architexture françoise, par Blondel, liv. Ménagerie royale de Versailles. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La ménagerie de Versailles fondée par Louis XIV. Le joyau du parc de Versailles[modifier | modifier le code] Veüe et perspectiue de la Ménagerie de Versaille du costé de la porte Royale, estampes du XVIIe. La ménagerie est centrée autour d'un bâtiment octogonal couvert par en dôme en ardoise[3]. A l'étage, un balcon entoure le bâtiment permettant une vue sur les différents enclos disposés en éventail[3]. Sur le devant du bâtiment se trouve une cour d'honneur. Marie-Adélaïde de Savoie s'amuse à y baratter et à y jouer la paysanne jusqu'à sa mort tragique en 1712, à l'âge de vingt-six ans avec son fils et son mari, laissant Louis XIV inconsolable[5].
Décadence et disparition[modifier | modifier le code] Plan de la ménagerie sous Louis XV. Le premier zoo des temps modernes[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Parc de Versailles. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le parc de Versailles , également appelé parc du château de Versailles , est un parc qui s'étend sur 815 hectares sur le territoire de la commune de Versailles, dans les Yvelines en France. Dans ce parc entièrement clos, se trouvent plusieurs monuments, tels : le château de Versailles, le Petit Trianon et le Grand Trianon, le Hameau de la Reine, ainsi que les jardins à la française du château de Versailles créés par André Le Nôtre[1]. Histoire[modifier | modifier le code] Le projet de Louis XIV[modifier | modifier le code] Au XVIIe siècle, le roi Louis XIV souhaite s’installer à l’écart de Paris ; il cherche pour cela un vaste espace pour construire un château à la mesure de son pouvoir.
Dans les jardins de Versailles, la nature est apprivoisée : les parterres de fleurs sont géométriques, les allées, rectilignes et les bassins, symétriques. Améliorations[modifier | modifier le code] Restauration[modifier | modifier le code] Jardin du Roi. Hameau de la Reine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue aérienne du hameau de la Reine. Plan du hameau de la Reine Abandonné après la Révolution française, le hameau de la Reine a fait l'objet de trois campagnes majeures de restauration : l'une menée par Napoléon Ier de 1810 à 1812 représente l'essentiel de la base actuelle. La deuxième a été réalisée grâce au mécénat de John Rockefeller Jr dans les années 1930. Historique et vie du hameau[modifier | modifier le code] Au début de son règne, Louis XVI offrit à la reine Marie-Antoinette le Petit Trianon.
La jeune reine avait pris à cœur le rôle de bergère qu'elle avait tenu dans certaines des pièces données dans son théâtre personnel[b 2] et avait pris goût à cette vie de comédie champêtre de sorte qu'elle souhaita posséder son propre hameau[note 3]. Construction[modifier | modifier le code] Plan de Versailles de Delagrive de 1746. Lancée durant l'été 1783 par la Reine, la construction commença par les maisons rustiques. Les appartements de Madame Du Barry à Versailles. La société des amis de Versailles a pour but de réunir des admirateurs inconditionnels du château et de généreux donateurs permettant de redonner son éclat d'antan à cette œuvre magistrale voulue par Louis XIV.
Les membres ont la possibilité de visiter des lieux, généralement inconnus du grand public, avec un conférencier. L'appartement de la "belle" Du Barry a été entièrement rénové et meublé dans l'esprit du XVIIIe siècle avec du mobilier d'époque. Quelques pièces rares, tant par leur nombre que par leur esthétique, ont pu être réunies. Elles ont appartenu à la célèbre Comtesse. Jeanne Bécu et le Roi Louis XV ne se trompe pas lorsqu'il croise, dans un des grands escaliers de Versailles, une jeune femme d'une grande beauté dont il tombe éperdument amoureux.
Pour être présentée à la cour, Mademoiselle Bécu doit être titrée, elle épouse donc le Comte Guillaume Du Barry avec lequel elle contracte un mariage blanc. L'installation Visite d'un chef-d'œuvre du XVIIIe siècle L'antichambre L'alcôve. Le château de Versailles en été, un retour au siècle des lumières. Pour le public, Versailles est un endroit somptueux, mais statique, dans lequel le visiteur passe de pièce en pièce, sous la houlette d’un conférencier qui raconte les heures glorieuses du château. Cependant, l’ancienne demeure des plus prestigieux Rois de France est un lieu bien vivant dans lequel de nombreuses festivités ont lieu tout au long de l’année.
Les mois d’été sont, traditionnellement, riches en réjouissances de tous genres. Juin -dix-sept juillet, les fêtes vénitiennes selon Vivaldi Ici, une façon de retrouver les fêtes somptueuses données en son temps par Le Roi Soleil lorsqu’il ne pensait qu’à sa propre grandeur et à la gloire de Versailles. Pour les amoureux de Vivaldi, on écoute un concert qui reprend l’oeuvre principale du compositeur. Chaque vendredi, face aux pièces d’eau, sur lesquelles évoluent des gondoles et des personnages bien connus du Carnaval vénitien, les meilleurs artificiers tirent d’extraordinaires feux qui renforcent la magie de l'endroit.
Pendant tout l’été. Marie-Antoinette et ses appartements de Versailles. La reine ne cesse d’agrandir son «territoire» tout au long de son règne, s’octroyant les pièces laissées par le décès d’un membre de la famille royale ou en faisant expulser, tout bonnement et simplement, les malheureux occupants. On peut voir une sorte de fuite en avant dans cette façon d'agir, peut-être explicable par un profond ennui et une réelle aversion pour la Cour. Avril 1770 à Versailles A quatorze ans et demi, lors de son arrivée en France, le premier de ses appartements lui est octroyé par Louis XV, comme c'était la coutume. En effet, le roi attribue chaque appartement, selon son bon vouloir, aux membres de la famille royale et aux courtisans. Marie-Antoinette est logée au rez-de-chaussée, dans l'aile sud.
Deux endroits retiennent tout particulièrement l’attention, le petit salon et la bibliothèque, leur superficie est, pour le moins, restreinte mais ils sont décorés avec goût dans des couleurs coquille d’œuf et turquoise. Mai 1774 Le lit, "à la duchesse", est une pièce unique. Erreur 404. Le grand cabinet. Divisée provisoirement de 1712 à 1714 pour former la chambre et le cabinet du duc de Berry, elle sera affectée aux gardes de la duchesse de Berry jusqu'à sa mort, en 1719, puis à ceux du Régent. Attribuée aux gardes du Dauphin, fils de Louis XV, de 1736 à 1744, cette salle, deviendra le grand cabinet de son épouse, Marie-Josèphe de Saxe. Les boiseries dorés et sculptés originales, ont été restituées d'après les dessins de Gabriel. Le console placée sous l'un des miroir, d'origine, supporte le baromètre exécuté pour le Dauphin, le futur Louis XVI, qui occupera l'ancien appartement de sa mère jusqu'à son avènement.
Les dessus-de-porte, peints par Carle van Loo et représentant Psyché et l'Amour dans un char, et l'Amour quittant Psyché, proviennent de l'appartement de la première épouse du Dauphin, Marie-Thérèse-Raphaelle de Bourbon, dans l'aile du Midi. L’étonnante destinée d’un édifice provisoire : la chapelle royale de Versailles entre 1682 et 1710. Sur les quatre premières chapelles du palais, voir Alexandre Maral, « Les premières chapelles du château de Versailles », Bulletin de la Société de l’Histoire de Paris et de l’Ile de France, 1995-1997 (1999), p. 169-200. François Harlay de Champvallon, archevêque de Paris de 1671 à 1695. Gazette de France, 1682, « De Paris, le 2 may », p. 261-262. Ibid., « De Versailles, le 22 may », p. 295-296.
Ibid., « De Versailles, le 29 may », p. 310. Jean-Aymar Piganiol de La Force, Nouvelle Description des chasteaux et parcs de Versailles et de Marly, Paris, F. et P. Delaulne, 1701, p. 26. Jean-François Félibien, dit Félibien des Avaux, Description sommaire de Versailles ancienne et nouvelle, Paris, A. Ibid., p. 106. Mercure galant, mai 1682, p. 2-3. Ibid., novembre 1686, p. 321. Marie-Jeanne d’Aumale, Souvenirs sur Madame de Maintenon publiés par le comte d’Haussonville et G.
Sur les étapes de la construction de l’aile du Nord, voir Alfred et Jeanne Marie, Versailles – son histoire, t. Arch. nat., V.A. L’appartement de Louis-Philippe Ier au Grand Trianon. 1 Diderot ; d’Alembert, 1751-1765, article « Trianon ». 2 Blondel, 1737-1738. 1Si le mot Trianon devient dès le xviie siècle un terme générique désignant « un pavillon isolé construit dans un parc et détaché d’un château1 », fait « pour s’y délasser du concours qui abonde ordinairement dans les palais des souverains2 », c’est bien parce que la réputation du Grand Trianon en tant que maison d’agrément et de campagne a survécu bien au-delà du petit palais que désira Louis XIV pour échapper aux servitudes du château de Versailles. 2Louis-Philippe (1773-1850) n’échappe pas à cette tradition et en fait dès 1835 sa résidence familiale en même temps que sa demeure occasionnelle et celle de l’intimité royale. 3 Fontaine, 1987 : 1021. 3Alors que les rois de France, véritables rois bâtisseurs, ont donné au royaume ses plus beaux palais en même temps que ses plus beaux fleurons, Louis-Philippe s’efforce de transmettre ces témoins du patrimoine français en se plaçant en continuateur de l’Histoire.
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