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France

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File:LeLudePlan1785.png. Château du Lude (Sarthe) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les jardins, façonnés par les différents propriétaires du lieu, ont servi de cadre à un son et lumière qui a fait la renommée du Lude pendant près de quarante ans. Ils accueillent depuis le début des années 2000 plusieurs manifestations, comme la Fête des jardiniers, au cours de laquelle est décerné le prix P.J. Redouté. Le château du Lude détient le label « Jardin remarquable ». Le château du Lude et ses environs. Vers la fin du XIIIe siècle, les bases d'une forteresse en maçonnerie sont établies plus au sud, à l'emplacement du château actuel. La façade François Ier, du XVIe siècle. Issu d'une famille poitevine, ami d'enfance de Louis XI, Jean de Daillon fait l'acquisition du château du Lude en 1457. C'est lui qui lance, dès le milieu du XIXe siècle, une grande campagne de restauration de l'édifice impliquant quatre architectes différents : Pierre-Félix Delarue, Henri Darcy, Louis Parent et Alain Lafargue.

La cour d'honneur. Site du château.

Pays de la Loire

Région Parisienne. Paris. Château de Madame du Barry (Louveciennes) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le château de Madame du Barry à Louveciennes (Yvelines), se compose : En 1683, Louis XIV ordonne la construction, à proximité du puisard supérieur de la machine de Marly, à l'intérieur de l'enclos de la machine, d’un pavillon pour servir de logement de fonction à Arnold de Ville, le promoteur de cette installation hydraulique. Le bâtiment est construit par le jeune Robert de Cotte, futur architecte du roi, qui commence là sa carrière comme simple entrepreneur des Bâtiments du roi[2].

Le marché de construction, signé devant notaire le 4 juillet 1683 entre le ministre Jean-Baptiste Colbert et de Cotte, prévoit que "sera fait un pavillon proche le deuxième puisart, de huit thoises de quaré appliqué au retz-de-chaussée"[2]. De Cotte est aussi chargé de construire le réservoir des puisards supérieurs et la grande tour de l'aqueduc de Louveciennes. Ce pavillon de Louveciennes est donc la première œuvre connue de Robert de Cotte. The real estate assets of Jules Porgès in France. The residence of Jules Porgès in Paris Hôtel Porgès 14 à 18, avenue Montaigne - Paris (Gérard Rousset-Charmy : Les palais Parisiens de la Belle Époque Éd. : Délégation artistique de la ville de Paris) Dans le quartier de l'Alma, plus précisément rue Jean Goujon, les Orléans, Ganay, du Lau, Rothschild et Lesseps possédaient des demeures.

À proximité, l'avenue Montaigne, tracée auparavant à travers champs et que le marquis de Marigny avait fait planter d'une double rangée d'ormes, fut bordée de maisons cossues pendant la seconde moitié du XIXe siècle. Au numéro 22 de cette artère, Abd El Kader avait habité le pavillon mauresque qui appartenait à Ferdinand de Lesseps. De son côté, le fils de Jérôme Bonaparte, le prince Napoléon, frère de la princesse Mathilde, avait fait ériger au numéro 18 de la même avenue, un «Palais pompéien» appelé aussi «maison de Diomède» par l'architecte Alfred Normand, à partir de 1856.

La Trace Claraz, le site généalogique des Claraz. Après avoir été fermé au public pendant plus de vingt ans, l'Appartement du Pape est ouvert au public depuis le 4 juillet 2007. C'est grâce au partenariat du Crédit Agricole que cet ensemble a été réhabilité. C'est l'un des plus beaux appartements du Château de Fontainebleau. Il se situe au premier étage du Gros Pavillon, l'appartement du Pape doit son nom à la présence du pape Pie VII qui, par deux fois, occupa les lieux sous le Premier Empire. 1804 : pour le couronnement de Napoléon 1er 1812 - 1814 : lors de sa captivité Plan Jours et heures d'ouverture du Château de Fontainebleau Château de Fontainebleau Fontainebleau 1812 Pape Pie VII et le Docteur Claraz C'est ainsi que Le Saint-Père arriva à Fontainebleau le samedi 20 juin au environ de midi, après quatre jours et quatre nuits sans désemparer.

Il reçut la visite de MM. de Champagny et Bigot de Préameneu, ministres de l'empereur, et de quelques cardinaux qui se trouvaient à Paris. Retour en haut de page Pie VII : estampes et photo Chambéry. Noblesse & Royautés » La Punta, château en Corse au terrible destin. Le château de la Punta, ancienne propriété des ducs Pozzo di Borgo, près d’Ajaccio en Corse a eu un drôle de destin. Il « naquit » dans une vie antérieure, au XVIème siècle, en 1570, aux bords de la Seine pour abriter une des reines de France les plus contestées, Catherine de Médicis veuve du roi Henri II, sous la forme du Palais des Tuileries, des oeuvres de Philibert Delorme (vers 1510-1570), architecte principal du palais et de l’architecte Jean Bullant (vers 1515-1578) qui reprit son travail.

La reine Catherine n’y séjourna toutefois jamais, ses fils non plus. Il fallut attendre Henri IV pour que le souverain s’interessât à nouveau au palais puis son petit-fils Louis XIV pour que le Palais connût enfin sa belle symétrie. Le déplacement de la Cour à Versailles le fit à nouveau tomber dans l’oubli ou du moins dans un usage fort peu royal servant à ceux à qui le roi voulait accorder la faveur d’un logement.

Une vie de cour fastueuse y fut alors tenu jusqu’à la fin du Second Empire. Le rez-de-chaussée de Bellevue. Essai de restitution du salon de Compagnie de Mme de Pompadour, vers 1750. Restitution graphique de l'auteur, tous droits réservés. 17 décembre 2011. Le plan Plan du rez-de-chaussée du château de Bellevue, vers 1750. Archives Nationales, légende de l'auteur, 19 mars 2011. L'appartement de madame de Pompadour est situé au rez-de-chaussée. Le Vestibule Emplacement du Vestibule. La Musique, par Etienne-Maurice FALCONNET (1716-1791), exposé au Salon de 1751 Mesures : 2,03 m de H : 94 l. et 83,0 de profondeur.

Cette statue a été commandée par la marquise de Pompadour pour une des niches du vestibule du château de Bellevue. On y reconnaît les traits de madame de Pompadour. La Poésie par Lambert Sigisbert ADAM (1700-1759), Mesures : 2,07 m de H : 1,13 l. et 87,5 de profondeur. Cette statue a été commandée par la marquise de Pompadour pour servir de pendant à La Musique de Falconet (MR 1963), pour le château de Bellevue en 1750. Le Salon ou Salle à Manger deux lévriers, l'un frairant un lièvre.