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Uberisation

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Lourde amende pour Uber qui a discriminé une passagère non-voyante. Uber a été condamné, jeudi 1er avril, à verser 1,1 million de dollars, soit 935 000 euros, à une femme non-voyante.

Lourde amende pour Uber qui a discriminé une passagère non-voyante

La plaignante, Lisa Irving, qui réside en Californie à San Francisco, a déclaré avoir subi des discriminations en raison de son handicap à de multiples reprises, rapporte le San Francisco Chronicle. Il y a tout d’abord ces fois où le transport lui a tout bonnement été refusé, en raison de la présence de Bernie, son chien-guide, dans la voiture. Selon Lisa Irving, cela sera arrivé pas moins de 14 fois. Aux États-Unis, la loi fédérale autorise pourtant la présence de ces animaux dans tous les lieux ouverts au public, contrairement aux chiens de compagnie. La justice reconnaît la discrimination Sans possibilité de trouver un chauffeur, elle a déclaré s’être ainsi retrouvée seule et tard le soir, sans possibilité de rentrer chez elle en toute simplicité comme elle en aurait eu le droit.

Uber déjà attaqué pour ses pratiques envers les non-voyants.

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Salariés ou indépendants ? Uber et les travailleurs des plateformes à la croisée des chemins à Bruxelles. Bientôt la fin du Far West ?

Salariés ou indépendants ? Uber et les travailleurs des plateformes à la croisée des chemins à Bruxelles

La Commission européenne a lancé mercredi 24 février une consultation sur les plateformes de travail numérique, avec l'ambition affichée de mieux protéger les chauffeurs VTC et autres livreurs à vélo. De son côté, Uber s'est dit prêt à concéder des avantages supplémentaires, mais sans renoncer à la "flexibilité" qui lui permet d'encadrer sa flotte de travailleurs sans les embaucher comme salariés. Car l'enjeu est de taille pour le secteur : une loi européenne pourrait notamment le faire sortir de la zone grise en France, où la légalité de son modèle a été mise en cause par des décisions de justice. Dans un document publié mercredi, Bruxelles explique vouloir améliorer les conditions de travail des travailleurs ubérisés, ainsi que leur accès à la protection sociale. Le beurre et l'argent du beurre Ce mercredi, Bruxelles a ouvert une première phase d'échanges de six semaines avec les syndicats européens.

«Déconnexion des chauffeurs» : le bannissement façon Uber. Au Havre, des livreurs quittent Deliveroo pour lancer leur application, locale et moins chère. Dans sa quête d'équilibre, Uber se déleste de ses robots. Nancy. Les livreurs Uber Eats et Deliveroo n'en peuvent plus et appellent le maire à l'aide. Par Nicolas ZaugraPublié le 6 Mar 21 à 10:48 Ils n’en peuvent plus et le font savoir.

Nancy. Les livreurs Uber Eats et Deliveroo n'en peuvent plus et appellent le maire à l'aide

Les livreurs des plateformes de commandes Uber Eats et Deliveroo, en première ligne depuis le premier confinement, commencent à se mobiliser à Nancy (Meurthe-et-Moselle). Le couvre-feu empêchant les clients de venir retirer des commandes, de nombreux restaurateurs résistent, depuis plusieurs mois, grâce à la livraison. C’est donc sur ces livreurs que repose le dernier espoir des professionnels de survivre face au Covid-19. « On commence à en avoir ras-le-bol » Certains livreurs Deliveroo pourraient toucher 11.200 euros avec l’introduction en bourse. Bonne nouvelle pour les livreurs Deliveroo.

Certains livreurs Deliveroo pourraient toucher 11.200 euros avec l’introduction en bourse

La plateforme de livraison alimentaire a annoncé son intention de leur verser une rétribution exceptionnelle "pour les remercier", via un fonds qui se concrétisera "le jour d'une introduction en Bourse" à Londres, selon un communiqué publié dimanche 7 mars. Deliveroo, dont l'application permet de commander des plats auprès de restaurants, "prévoit de verser un montant total de 16 millions de livres sterling (18,6 millions d'euros) à des livreurs partenaires sur les 12 marchés" sur lesquels l'entreprise est présente, indique ce communiqué.

Cela représentera "une rétribution exceptionnelle de 10.000, 1.000, 500 ou 200 livres sterling (11.600, 1.160, 580 ou 230 euros)" par livreur concerné -- en l'occurrence ceux qui ont pris le plus de commandes, ajoute la société. Avec un versement moyen de "440 livres environ". Tarbes: UberEats, Deliveroo... "On travaille dans l’illégalité sans le savoir" Rassemblement contre Uber devant la représentation de la Commission européenne à Paris. Monsieur le PDG d’Uber, en Europe, on n’achète pas des lois en sortant le carnet de chèques.

Bruxelles veut améliorer le sort des travailleurs des plateformes. Uberisation : ça veut dire quoi ? - Vidéo Spécialités. Ubérisation !

Uberisation : ça veut dire quoi ? - Vidéo Spécialités

Ce mot bizarre est entré dans notre vocabulaire il y a un peu plus d'un an seulement… Mais ça veut dire quoi ? Formes d'emploi et de travail : quels enjeux ? Pourquoi des supporters de l’OM appellent-ils au boycott d’Uber Eats ? #BoycottUberEats.

Pourquoi des supporters de l’OM appellent-ils au boycott d’Uber Eats ?

Derrière ce hashtag qui prend de l'ampleur sur les réseaux sociaux, des supporters de l'Olympique de Marseille (OM) appellent à ne plus utiliser l'application de livraison de repas et à désinstaller l'application. Pourquoi cette colère ? Pour les supporters du club de football marseillais, il s'agit d'un moyen de pression sur la direction de l'OM. Uber Eats fait en effet partie des sponsors du club. Ces dernières semaines, la tension est palpable entre certains groupes de supporters et la direction de l'OM.

🚨La direction de l'#OM veut de simples consommateurs, alors agissons comme tels.Relayez massivement la photo de gauche sur l'ensemble des réseaux @ubereats_fr avec #BoycottUberEats👉RDV demain 10h pour la suite Feu#EyraudDemission #BoycottAgoraOM #TeamOM pic.twitter.com/PDNJkXoUbV— ⓢⓣⓐⓣⓢⓄⓂⓅ 📊📈📉🔍 (@StatsOmp) February 18, 2021 Pour les supporters, il s'agit d'une attaque envers le public et l'identité du club.