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Rennes

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Soirée Metal à Ubu, Rennes 07/10/2015. Cheveux longs, public tout de noir vêtu… IL n’y a pas de doute, je suis de nouveau dans une soirée spécial métal à l’Ubu. Organisé par Garmonbozia Inc, 3 groupes se partagent l’affiche pour cette soirée. Une belle affiche comme Garmonbozia sait nous proposer. Petite particularité, cette soirée est dédiée à la scène métal norvégienne avec Dominanz, Orkan et Taake qui vont se partager la scène. On commence les hostilités par Dominanz. Depuis 2008, ce groupe est le successeur du projet appelé Cult of Deception qui a été créé en 2006 par Roy Nordaas (le chanteur).

Après Dominanz, au tour de Orkan. La soirée se termine avec Taake. Le groupe était anciennement connu sous le nom de Thulé (1993-1995 ). Taake, du pur métal, avec un chanteur charismatique qui ressemble d’ailleurs un peu au Joker du Batman de Christopher Nolan, en plus barbu et chevelu. Encore une fois, une belle soirée métal qui prouve encore une fois que cette musique a un bel avenir devant elle. Nico M Dominanz Orkan Taake. Midlake "Bring Down" Live @ L'Antipode Rennes 14/04/2010 3/7. Rennes, le secret le mieux gardé du rock français ? A en croire certains, l’ancienne “capitale du rock en France” se serait assoupie depuis la glorieuse époque de Daho ou Marquis de Sade.

Alors que débute la quatrième édition du festival I'm from Rennes, voué à la jeune scène pop locale, une visite dans la cité bretonne s’imposait. Des enfants qui courent dans le jardin. Des biscuits et des cendriers posés sur la table de la terrasse. Dans la salle à manger, des musiciens, dont la moyenne d’âge ne doit pas excéder les vingt-deux ans, aux chansons pop-funk encore un peu bancales. Qu’importent leurs hésitations. Une cinquantaine de spectateurs, de tous âges, les écoutent attentivement, le regard attendri. Alan Stivell, la tradition revivifiée Bienvenue à Rennes, la ville où l’on aime les musiciens. . « Au début des années 60, raconte-t-il, lorsque j’étais penn-soner (« sonneur en chef ») du Bagad Bleimor, nous affrontions souvent La Kevrenn de Rennes dans les concours de bagadou.

Mais, finalement, qu’est ce que la tradition bretonne ? Roazhon Park, nouveau nom du stade de la route de Lorient. Il monte un festival de rock pour ses salariés. Sur scène, des barbus très tendance bastonnent sur leurs guitares dans les vapeurs de spots orangés. Le public marque le rythme bras levés : ils sont à fond. Lors du concert juste avant, le chanteur du groupe qui se produisait, sorte de lutin survolté, est parti s’allonger sur le bar en réclamant « du champ’ », en plein milieu d’un morceau. Un soir comme les autres à l’Ubu, salle mythique du rock rennais, où se produisent depuis des années des pointures du genre. Comme les autres ? Pas tout à fait. Le festival « Je suis vert », dont c’était la deuxième édition hier, est en réalité une soirée offerte par une entreprise de Rennes, Enensys, à ses salariés, prestataires, fournisseurs, clients, banquiers….

Entreprise et musique « On a lancé ça l’an dernier, pour les 10 ans de la boîte. . « En fait, quand une entreprise a recours à la musique, c’est généralement pour meubler une soirée. S’inspirer, échanger Régis Le Roux produit. Collectif Antifasciste Rennais » Dossier – L’affaire Maryvonne Thamin : quand les fascistes s’en... L'affaire Maryvonne Thamin : quand les fascistes s'en prennent aux squatters Vendredi premier mai 2015, un groupe d’individus aux profils plus ou moins clairs a tenté d’attaquer un squat rue de Châtillon à Rennes.

L’information présentée telle quelle est celle que l’on a vu fleurir dans les différents médias nationaux, argumentant paresseusement sur la nécessité de protéger une pauvre propriétaire dépossédée de son lieu de vie (qu’elle laissait depuis des années en jachère…). Nous entendons, par le biais de ce dossier, mettre à jour la réelle nature de ces « défenseurs de la propriété privée », en l’occurrence un agrégat de royalistes, de supporters de football d’extrême droite, de néo-fascistes bretonnants, et de restes des « fameux » Bonnets Rouges. Nota bene : toutes les informations contenues dans ce dossier sont publiques et généralement encore accessibles sur la toile pour qui veut s’en donner la peine – nous donnons systématiquement les liens à cet effet. 1. 2. 3. 4. IMB016 - Formica, The Stupid Guy E.P., Magic review - Actus Inmybed.

Même s’il n’a pas encore balancé sa petite culotte à l’instar de Madonna, on doit déjà à Inmybed, l’impeccable mini-label et éditeur rennais, quelques sorties décoiffantes, de Prosperi Buri à Santa Cruz pour la musique jusqu’à Nine Antico ou Philippe Dumez pour l’édition. Il était temps pour Formica, le groupe maison des patrons, de sortir un nouvel EP, encore produit par Christophe Sourice des Thugs. Le son est toujours aussi brut, limite garage, et les compositions réussies. "Tonight" résume en une minute et quarante-neuf secondes la philosophie lo-fi punk du groupe.

Gérôme Guibert, Magic, revue pop moderne, n° 192, mai 2015, p.96. Bretagne : souvenir, travail et concession. Avant Cancale, c’est à Rennes que je me suis arrêté. J’adore cette ville. Son histoire, son incarnation d’une Bretagne à la fois solide et frondeuse. Je ne compte plus le nombre de mes déplacements dans cette région. Les vacances de mon adolescence bien sûr mais surtout ces six mois de stage lorsqu’ à 23 ans, l’ENA avait eu l’idée bizarre (et franchement excellente) d’affecter le parisien que j’étais à la coopérative agricole de Landerneau.

Six mois pour me permettre de parcourir la Bretagne dans tous les sens à la rencontre des producteurs, cultivateurs, éleveurs, mais aussi des sites de surgélation de légumes, et de toute la chaîne agroalimentaire de la région. C’était en 1987, autant dire un siècle. Je n’ai jamais oublié les gens de Landerneau. C’est à Cesson, dans la banlieue de Rennes, que j’ai passé un long moment avec un entrepreneur dont j’ai aimé dès la première minute le style direct et la personnalité attachante. Concessionnaire Volvo à Cesson. Laurent Defrance. M. M. Jfc. Cancale, l’inspecteur et la crépidule. Connaissez-vous Cancale ? On y arrive en voiture depuis Rennes en une heure. Alors même que la vie m’a permis de parcourir la Bretagne en tous sens depuis des années, je ne connaissais de ce lieu que la célèbre appellation d’huîtres et de moules. Un peu comme les rillettes de la Sarthe ou, naturellement, le Brie de Meaux… Mon voyage avait pour but d’écouter les ostréiculteurs et mytiliculteurs dont on parle peu à Paris sauf en cas de pollution.

Ils sont quatre à m’accueillir dans un petit local de l’établissement de l’un d’entre eux en zone industrielle. Pendant près de deux heures, je les laisse me raconter leurs vies quotidiennes. Il faut par exemple trois ans pour « faire » une huître selon des techniques complexes… dont j’ignorais tout (et normalement vous aussi)! Chacun me délivre son message. Absent physiquement de notre rencontre, il est dans tous les esprits. Et là se succèdent les aberrations. Un exemple : les métiers de la conchyliculture sont régis par la nature. A très bientôt. Prochainement au Jardin Moderne.

Mythos à Rennes avec Mael le Goff : un festival de paroles qui nous est cher. À Rennes Mythos 2015, le festival des arts de la parole, c’est du 7 au 12 avril 2015. Comment résumer l’esprit qui préside à cette manifestation ? D’emblée, en soulignant que les arts de la parole sont censés rimer avec libération de la parole. Un élément essentiel dans le devenir vivifiant d’une démocratie locale et nationale, en particulier quand elle vient d’être endeuillée. Or, cette année promet d’être exceptionnelle, à en croire l’éditorial qui introduit à la une le programme du festival Mythos 2015. Il est légitimement rédigé par Mael le Goff, un acteur culturel proche d’Emmanuel Couet (maire de Saint-Jacques-de-la-Lande et puissant président de Rennes Métropole) qui lui a confié les clés de l’Aire libre en 2012. Alors qu’une situation nationale dramatique entraîne des amputations budgétaires violentes, la culture s’affirme plus que jamais une dimension essentielle dans la réalisation d’une vie individuelle et collective.

Pourquoi faire… des enfants ? Comment y croire ? Un gars stupide chez Formica ? Le joyeux festival de chouettes disques d’artistes rennais continue de battre son plein. Après l’excellent Boring Pools des We Only Said, le gouleyant Academic Sausage de Fat Supper et l’intrépide Presciences de la Terre d’Eshôl Pamtais, c’est au tour des chics gars de Formica de nous sortir un de ces imparables EP dont ils ont le secret. Vous pourrez le découvrir, et fêter ça en la très belle compagnie des 13th Hole et de Thomas Le Corre, vendredi 3 avril au Bar’Hic.

Si vous êtes un habitué de ces colonnes, vous l’aurez sans doute remarqué, les Formica font partie de nos formations rennaises fétiches. Pour ceux qui auraient réussi à échapper à côté de notre fervente propagande, sachez que non seulement ce quatuor est en partie constitué de deux des tauliers de l’indispensable label InMyBed mais que surtout ils jouent un indy-rock classieux et incisif qui fait des étincelles sur scène. Comble du bonheur vous pourrez également voir un autre grand monsieur : Thomas Le Corre. Rennes : Il saute de 9m du toit du supermarché des Longs-Champs. Info. Ecoutons la ville ! Premier Dimanche aux Champs Libres par Canal B et I’m from Rennes.