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Comp&tititivité 2012

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Renaud_favier : Fleur Pellerin nommée... Renaud_favier : Avant c'était "la Corrèze... Bonne compétitivité en 2012 | On réussit très rarement par hasard ; On ne dure presque jamais par chance. It’s (French) competitiveness, stupid. C&C International - SME 1. Christine Lagarde : la femme la plus puissante de France. Un bon livre sur Christine Lagarde vient de paraître chez Michel Lafon. ( ) Le livre est écrit par deux journalistes du Figaro (Cyrille Lachèvre et Marie Visot) bien informés et fatalement un peu suspects de parti-pris. Mais n’ont l’honneur douteux de la plume acide des Péan et consorts que les anges déchus. Et n’ont à la Fnac des Ternes droit à la tête de gondole que Carla pour un n’ième roman-photo à couverture aguichante et Attali pour encore une brève histoire de quelques choses ou quelques-uns dont on pourrait se demander qui écrit tout ça quand bien même la légende voudrait-elle que le grand homme ait la vitesse de plume de Hugo, la célérité cérébrale d’Einstein et se lève aux aurores pour pianoter avant ses cours, conférences et présidences.

Quoi qu’il en soit, la photo de couverture de Christine Lagarde est à l’image du modèle, classique, forcément classique. . - "Serre les dents et souris". Like this: About Comp&titivité | Bonne compétitivité en 2012. Comp&titivité, une certaine idée des conditions de la réussite dans le monde 2.013 Comp&titivité, une certaine idée de l’enjeu du succès à l’international pour les PME Comp&titivité, une certaine idée de l’enjeu de la … compétitivité pour les entrepreneurs Comp&titivité, une certaine idée de l’enjeu du commerce extérieur pour la France Comp&titivité, une certaine idée de l’art de la guerre économique en France Comp&titivité, une certaine idée de l’enjeu de l’écosystème d’appui aux PME à l’export Comp&titivité, parce que pour réussir au 21è siècle, il faut "think out of the box, now ! " Like this: J'aime chargement… Think out of the Box & Let the Bonsai Grow ! | Bonne compétitivité en 2012.

Chacun ses goûts, son business-modèle, ses possibles (d’entreprise) ensemble ou ses désirs d’avenir (professionnel) pour 2012 et plus, mais ce sera compliqué, quoi qu’il arrive, Euro(pe) or not Euro(pe), 1% ou 99% de croissance en France et ailleurs, credit crunch et marchés abracadabrantesques ou pas, de passer une très confortable année 2012 en préparant un minimum l’avenir en mangeant les stocks ni gagés, ni gâtés, comme Obélix une fine tranche de pomme sur sa galère dans "La grande traversée", et en récoltant des fruits de la croissance d’arbres plantés il y a longtemps … bonsai. Il va falloir oser sortir, être prêt à courir et avoir un peu de chance. Ceci dit, c’est globalement business as usual. ;-) Et ni les oracles, ni les Romains, ni les pirates n’ont jamais fait tomber (le ciel sur) les têtes bien faites et solidement accrochées sur leurs épaules.

Like this: J'aime chargement… Choc de #Compétitivité 2012 : au-delà des mots et des maux, vaste programme … Sans le dynamique Jean-Claude Volot "commissaire général à l’internationalisation des PME et ETI", le début de 2012 manquerait un peu de tonus côté commerce extérieur, en dépit de la légère glissade de l’Euro vers $1,27 et d’un consensus … verbal pour la compétitivité. Les 5 minutes au JT du soir de France 2 le 2 janvier avaient pourtant offert une lueur d’espoir pour la nouvelle année. Dans l’absolu, sans être dupe du degré de priorité d’un sujet sorti du fond du fond d’un tiroir bien vide après une quinzaine de jours de congés des journalistes et deux réveillons des cameramen, c’était plutôt une bonne demi-surprise de voir quelques images sur les PME à l’export.

Out of the box, cela signifie notamment plus européen, voire plus global, et plus 2.0 aussi, en 2012+. Act local, certes, mais think European, or global if possible, and different if and when appropriate, notamment au sommet contre la crise, le 18 janvier à l’Elysée. Like this: J'aime chargement… Qui rachète les entreprises françaises ? - Journal du Net Economie. Lejaby : les 255 salariés licenciés expriment leur colère. Partager Les salariés du fabricant de lingerie Lejaby, dont la dernière usine en France va être fermée, bénéficieront d'un "contrat de sécurisation professionnelle (...) qui va leur garantir pendant un an d'avoir 98 % de leur salaire", a annoncé Xavier Bertrand jeudi 19 janvier sur France Info. Le ministre du Travail s'est réjoui que le tribunal de commerce de Lyon ait désigné un repreneur pour l'entreprise.

Quelque 255 salariés sont concernés par la fermeture d'une des usines de la marque, reprise par l'ex-PDG du groupe italien La Perla, Alain Prost. Ce dernier s'est d'ores et déjà engagé à verser 500 000 euros dans l'accompagnement social des salariés licenciés. A Yssingeaux, la colère des salariés Le tribunal de commerce de Lyon a choisi mercredi, et avec une journée de retard, Alain Prost et ses associés comme repreneurs. Le repreneur veut renouer avec la "créativité" Alain Prost promet d’investir 7 millions d’euros dans l'entreprise. Lejaby est une marque d’origine française de lingerie qui ferme son usine en France pour 6 Euros.

Comme disent les djeuns (qui portent tous des fringuasses made in pacher sans savoir qu’on en a fabriqué en Europe avant que tout le monde devienne fonctionnaire, spéculateur ou chômeur et ignorent même le sens des mots "patriotisme", "économie" ou "compétitivité" mais ce n’est pas 100% leur faute si les zélites du pays du 1% leur ont fabriqué un avenir de 99% et si à part les protestataires stériles ou les petits hommes verts, les chansons des politiques contemporains ne les font pas plus rêver que la musique de leurs parents dont ils n’ont, à tort ou à raison, jamais écouté les paroles) : "C’est mort"

. © 19/01/12 Renaud Favier – (Comp&titivité) - renaudfavier.com - musique ! Like this: J'aime chargement… Ils semblent grands car nous sommes à genoux (LaBoétie) Je hais la réalité, mais c'est le seul endroit où se faire servir un bon steak (Woody) De quoi qu'il s'agisse, je suis contre (Groucho) Faire face (Guynemer) Béatex était le dernier fabricant de bérets basques made in France. Béatex était le dernier fabricant de bérets basques made in France Il y a des Mohicans dont la disparition fait encore plus mal au coeur et des madeleines plus amères que d’autres mais que faire face au temps qui passe hélas (mais ne délasse pas tellement sauf à avoir une excellente cabine dans un très confortable paquebot, et encore, même les vacances en Toscane deviennent dangereuses) et aux lendemains qui changent et ne chantent plus ? Qui met encore des béret ?

Quel acheteur de béret vérifie où et par qui et comment il est fabriqué s’il est joli, attractif et au meilleur prix ? Comment un vieux bonsaï provincial étranglé entre un modèle social paquebot à la française congelé depuis des lustres et l’iceberg d’une mondialisation réelle plus qu’émergée au 21è siècle peut-il se transformer en jeune pousse et évoluer pour survivre en pleine crise ? Like this: J'aime chargement… À propos de renaudfavier. 2012 : It’s global, stupid ! Ceux qui ont regardé France 2 jeudi soir ont entendu un politicien de 1ère division française se réjouir que des financiers du Qatar aient racheté un club de football des maroquiniers de luxe en Corrèze et sauvé des emplois … Dont acte, à chaque entrepreneur politique ses préférences en termes de "made in France" et de soutien à l’emploi, ses priorités en matière d’accompagnement de filières industrielles stratégiques, son chemin vers l’austérité souriante et ses éléments de langage en période électorale, mais de toute façon, entre le monde économique français réel, le monde administratif français réel et le monde européen français réel, les propos de campagne n’engagent même pas ceux qui regardaient France 2 (sans le son parce qu’ils écoutaient des Replay du Forum de Davos avec leur iTruc).

En attendant, intéressante analyse du journal du net sur les 352+ rachats d’entreprises françaises par des investisseurs étrangers recensés en 2011. Like this: J'aime chargement… Davos 2012 : it’s about #Compétitivité, stupid ! Le Forum Economique Mondial (WEF) fait travailler ensemble les meilleures compétences mondiales, au plus haut niveau, pour améliorer l’état du monde malgré la météo contraire et pour aplanir le terrain pour la libre concurrence et la co-prospérité de tous. Alors évidemment, il y a des gens qui contestent un peu l’idée germanique qu’il faudrait bosser et ne pas acheter n’importe quoi de pas durablement bio fabriqué n’importe comment par n’importe qui et qui ne sert pas à grand chose, mais ils se font un peu discrets à Davos et tout le monde est content. Mais comme tout le monde ne parle pas allemand, que plus personne ne parle français et que la génération Rolex-Cayenne qui fréquente Davos n’a pas appris le Chinois ou le Brésilien à l’école (ceux qui avaient appris le Russe sans enthousiasme ont appris l’Allemand dés que Berlin a installé un Goethe Intsitut chez eux), la langue de travail, c’est l’Anglais.

Alors disons le tout net : It’s about competitiveness, stupid ! Like this: