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Textes fondateurs et réformes

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Loi d'orientation 1989

Circulaire rentrée 2013. LOP la refondation de l'École de la République. Le ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon, salue le rassemblement de toutes les composantes de la majorité autour de ce projet ambitieux pour les élèves d’aujourd’hui et de demain. Par ce vote, le Parlement concrétise l’engagement du Président de la République de faire de la jeunesse et de l’éducation la priorité de la Nation. Les fondements d’une École juste, exigeante et inclusive sont désormais posés et le texte crée les conditions de l’élévation du niveau de tous les élèves et de la réduction des inégalités. Les moyens sont au rendez-vous puisque le texte confirme la création de 60 000 nouveaux postes dans l’éducation.

La loi instaure également les Écoles supérieures du professorat et de l’enseignement (ESPE), qui seront chargées de la nouvelle formation professionnalisante des enseignants et de l’ensemble des professionnels de l’éducation. Avec le vote de cette loi, la refondation de l’école va pouvoir continuer à se concrétiser sur le terrain. Tout comprendre de la loi d’orientation sur l’école en 12 points. Quand on est un ministre de gauche de l’école, il faut trouver sa voie. D’un côté, il y a l’écueil Allègre, qui pourrait s’intituler « comment rater les réformes en commençant par fâcher tout le monde » ; et la méthode Jospin, « on donne tout, on fait confiance, et les syndicats lâcheront bien quelque chose en retour »… Dans les deux cas, l’école n’a pas bougé. Avec sa loi d’orientation Vincent Peillon choisit la troisième voie : on pose le cap, on ne fâche personne, on considère qu’une refondation et une somme de petites avancées qui transforment en profondeur l’école.

Le pari s’accompagne d’une action sur le levier essentiel : la formation des enseignants. Lue comme ça, on comprend mieux que la loi ne soit pas une somme considérable de petites révolutions. 1- Ecole du socle ? 2-Le changement de pédagogie. 3-La formation des enseignants. 4-Le socle commun de connaissance de compétences et de culture. 5-Collège unique réaffirmé. 6-Le grand flou sur le brevet. Maryline Baumard. Les réformes de la cinquième république éducation le fonctionnement du système éducatif français. Les textes fondateurs. Loi du 31 mars 2006 pour l'égalité des chances. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La loi pour l'égalité des chances (loi n° 2006-396 du 31 mars 2006), instaure en France diverses mesures relatives à l'emploi et à l'éducation, proposées par le ministre de l'emploi, de la cohésion sociale et du logement, Jean-Louis Borloo[1],[2].

Elle a été annoncée par Matignon comme réponse aux révoltes sociales de l’automne 2005 dans les banlieues françaises. L'amendement le plus polémique de la loi (retiré depuis), qui créait le contrat première embauche (CPE) [3], avait été adopté par l'Assemblée nationale dans la nuit du 8 au 9 février. Il a fait l'objet de nombreuses manifestations dont le but était d'obtenir son retrait. Contenu de la loi[modifier | modifier le code] Cette loi contient parmi ses principales dispositions, outre le CPE : Le CV anonyme : mesure prévue mais non appliquée[modifier | modifier le code] Procédure législative[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]