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Economie et politique

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Crise financière

Economie : vive les gros mots ! "Votre planification écologique, c'est l'Île aux enfants" Économie de fonctionnalité. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’économie de fonctionnalité est une forme d’économie collaborative qui vise à substituer à la vente d’un bien la vente d’un service ou d’une solution intégrée remplissant les mêmes fonctions que le bien, voire des fonctions élargies, tout en consommant moins de ressources et d’énergie et en créant des externalités environnementales et sociales positives.

Sous certaines conditions, il s'agit donc d'une modalité d'échange revisitée permettant d'intégrer de manière bien plus satisfaisante les enjeux du développement durable à l'activité économique (production et consommation) C’est la recherche normative de gains environnementaux et/ou sociaux qui distingue l’économie de la fonctionnalité de la servicisation (économie des services) classique[1]. Les trajectoires d'évolution vers l'économie de la fonctionnalité[modifier | modifier le code] Elles semblent répondre à deux tendances ; le « modèle serviciel », et la « solution intégrée » ; La décroissance : idées fortes, terme ambigu. J’ai été invité le 6 octobre par les amis du Monde Diplomatique et Attac à débattre avec Serge Latouche de la croissance et de la décroissance. Théâtre bondé dans la banlieue lilloise, 450 personnes.

Nous sommes l’un et l’autre des « objecteurs de croissance ». Mais pour ma part, je n’utilise pas le terme de décroissance. Résumé de mon intervention initiale. Pourquoi suis-je devenu, comme d’autres dont le nombre grossit, un objecteur de croissance ? La première est que, sur le plan social, celui du bien-être individuel et collectif, on peut montrer, statistiques à l’appui, qu’à partir d’un certain niveau d’abondance matérielle que nous avons nettement dépassé en France, depuis environ 20 ans, il n’y a plus aucune relation entre d’un côté les grandes variables sociales et humaines et, de l’autre, le niveau d’abondance mesuré par le PIB par habitant.

La croissance des 20-30 dernières années s’est plutôt faite contre le social, en tout cas elle n’a pas produit d’effet positif sur ce plan. Le triomphe des riches. On s'en doutait un peu, mais la confirmation est officielle : en France, les inégalités se creusent. Mais elles ne se creusent pas par le bas, par l'accroissement de la part des pauvres dans la population. Elles se creusent par le haut, les riches devenant sans cesse plus riches.

Les chiffres que vient de publier l'Insee dans sa publication annuelle sur « Les revenus et le patrimoine des ménages » [1] sont sans appel. Dans le bas de la pyramide sociale, la proportion des personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté est passée de 14,5 % à 13 % entre 1996 et 2008 (dernière année connue). Certes, le chômage n'est pas le seul déterminant de la pauvreté. On peut le constater en suivant la situation des familles monoparentales. Proportionnellement moins de pauvres en 2002 qu'en 1996, et, depuis, une quasi-stabilité, liée au chômage qui ne recule plus, aux retraits du marché du travail et à la proportion croissante de personnes isolées et de familles monoparentales. Denis Clerc Commentaires.