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CMMI

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Expliquez-moi... Le CMMI. Capability Maturity Model Integration. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Capability Maturity Model Integration

CMMI, sigle de Capability Maturity Model + Integration, est un modèle de référence, un ensemble structuré de bonnes pratiques, destiné à appréhender, évaluer et améliorer les activités des entreprises d'ingénierie. CMMI a été développé par le Software Engineering Institute de l'université Carnegie-Mellon, initialement pour appréhender et mesurer la qualité des services rendus par les fournisseurs de logiciels informatiques du département de la Défense des États-Unis(DoD). Il est maintenant largement employé par les entreprises d'ingénierie informatique, les directeurs des systèmes informatiques et les industriels pour évaluer et améliorer leurs propres développements de produits[1]. Le modèle CMMI[modifier | modifier le code] CMMI est un cadre générique de processus qui se décline en trois modèles (appelés constellations) :

Qu'est-ce que le CMMI ? Le CMMI (Capability Maturity Model Integration) est une approche interdisciplinaire d'ingénierie des systèmes couvrant les compétences et processus techniques et managériaux permettant de transformer des besoins utilisateurs en un produit technique.

Qu'est-ce que le CMMI ?

C'est donc essentiellement un modèle de développement et de maintenance des systèmes et des applications informatiques. Il a été conçu dès 1987, à partir des meilleures pratiques du logiciel, par le SEI (Software Engineering Institute) et des représentants de l'industrie du logiciel. CMMI. CMMI, ITIL ... faut-il les tuer ? Nombreux sont probablement ceux qui se sont posé cette question iconoclaste (sans l’avouer peut-être), au sein des entreprises en général et des Directions de Systèmes d’Information (DSI) en particulier.

CMMI, ITIL ... faut-il les tuer ?

Nous tentons ici une réponse focalisée sur les DSI, mais qui pourrait s’appliquer à d’autres fonctions opérationnelles. Il y eut une ère de l’informatique artisanale, où des « pionniers » et des « héros » maîtrisaient toute la chaîne, étaient capables de tout faire, mais ne bénéficiaient pas d’une organisation leur permettant de déployer de grands projets.