background preloader

Spécial sismique

Facebook Twitter

Louer parties corporelles (hors bras) Christine Boutin craint que la loi légalisant le mariage homosexuel, qui, selon ses opposants, pourrait éventuellement mener à la légalisation de la GPA (gestation pour autrui), ne mette en péril les droits de l'homme. “Est-ce que la personne humaine est une valeur relative et marchande ? C'est la question centrale du débat”, estime-t-elle sur Radio Classique. Tout en se défendant de toute homophobie, l'ancienne ministre affirme que “les droits de l'homme sont en train de s'effondrer” en France, qui cède à “une logique libérale anglo-saxonne”. Christine Boutin se dit également opposé au recours aux mères porteuses pour les couples hétérosexuels stériles. “Est-ce que tout désir tout doit être contenté ?

Le risque avec la GPA, c'est la commercialisation des corps. Je ne pense pas que le jeu en vaille la chandelle”. “Je m'étais également opposée de façon ferme au bon de gamète anonyme. Louer son ventre ou ses bras ?? « Nous ne pouvons pas faire de distinction dans les droits, que ce soit la PMA, la GPA ou l'adoption. Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant oulouer ses bras pour travailler à l'usine, quelle différence ? C'est faire un distinguo qui est choquant ». Telle est la déclaration de Pierre Bergé, publiée le 16 décembre au soir sur le site du Figaro.

Alors qu’il soutenait la manifestation pour le mariage pour tous qui a rassemblé près de 60 000 personnes à Paris, le président du Sidaction et fondateur du magazine Têtu a ainsi relancé le débat sur la gestation par autrui (GPA). Pour lui, la GPA est un mode de procréation au même titre que la procréation naturelle, se fondant sur le fait qu’une femme peut disposer librement de son corps. D’un côté les rationalistes comme Elizabeth Badinter, qui prônent la désacralisation du ventre de la mère, de la maternité et de la procréation assistée. Histoire de la prostitution. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La prostitution (du latin prostituere mettre devant, exposer au public) est une activité consistant à accepter ou obtenir des relations sexuelles, en échange d'une rémunération.

Bien que cette activité soit pratiquée par les membres des deux sexes, elle est le plus souvent le fait des femmes, mais cela concerne aussi les hommes dans le cadre de prostitution hétérosexuelle, homosexuelle, travesti ou transsexuelle. Le terme générique employé est prostitué-e. Cet article traite de l'histoire de la prostitution. Antiquité[modifier | modifier le code] La « prostitution sacrée »[modifier | modifier le code] Mésopotamie[modifier | modifier le code] Jean Bottéro est un des rares historiens à s'être posé la question des origines de la prostitution dans son ouvrage Mésopotamie[1]. Hérodote[3] parle dans son premier livre des prostituées sacrées, quelquefois nommées harots des temples d'Ishtar et d'autres divinités des civilisations de Mésopotamie. Prostitution sacrée. La prostitution comme signe d’infidélité du peuple de Dieu Un article de notre rédaction, christus.fr Dans la Bible, la dénonciation de la prostitution par les prophètes n’est pas d’abord axé sur son aspect immoral : ce concept recouvre avant tout une signification théologique qu’il est bon de connaître afin d’éviter les amalgames.

Si votre attention se porte plutôt sur la manière de concevoir la relation homme-femme dans un monde judéo-chrétien intéressez-vous plutôt à l’article : « L’identité homme-femme dans la vision judéo-chrétienne ». Un enjeux théologique Si la prostitution est mainte fois dénoncée dans la Bible, l’enjeux ne se situe pas sur un plan moral mais bien plutôt théologique, en visant tout particulièrement les pratiques cananéenne de prostitution sacrée. Israël s’établit à Shittim. Va, prends une femme se livrant à la prostitution et des enfants de prostitution, car le pays ne fait que se prostituer en se détournant de Yahvé (Osée 1, 2).

Les approches négatives Notes [5] Cf.

Cueillette notes diverses

Connecter à psychologie "chaude"