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Découverte

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Alzheimer : une protéine donne un nouvel espoir. Des chercheurs de Montpellier ont découvert qu'une protéine pourrait prévenir les anomalies liées à la maladie d'Alzheimer. Chaque année, 225 000 personnes sont déclarées atteintes de la maladie d'Alzheimer. Les chercheurs du monde entier étudient des options de traitement. Comme à Montpellier, où deux scientifiques ont découvert une protéine qui pourrait faire avancer le soin d'Alzheimer, révèle 20 Minutes. La maladie d'Alzheimer se caractérise par de troubles de la mémoire à court terme au départ, s'aggravant par la suite.

Puis interviennent les troubles du comportement, les difficultés à communiquer, à se concentrer et une désorientation spatio-temporelle. Elle touche principalement les personnes âgées et n'a pour l'heure pas de moyen d'être guérie. Transfert de gène Leur recherche a mené vers une protéine qui porte le nom Nav1.1. Il ne s'agit là que d'un début d'étude. Lire aussi : Alzheimer : le Conseil d'Etat confirme le déremboursement des médicaments. Découverte d'un nouvel organe caché au centre de la tête humaine.

Une équipe de chercheurs annonce avoir identifié un “nouvel organe” : un ensemble de glandes salivaires bilatérales auparavant inaperçues dans le nasopharynx humain. Les détails de l’étude sont publiés dans la revue Radiotherapy and oncology. Le corps humain est une machine incroyablement complexe qui, encore aujourd’hui, continue de nous étonner. Prenons les organes. Pour la grande majorité, ils représentent un ensemble de tissus concourant à la réalisation d’une fonction physiologique. En adoptant cette définition, nous avons longtemps pensé que le corps humain comptait 78 organes (hommes et femmes confondus). De nouvelles glandes salivaires Plus récemment, des chercheurs néerlandais ont fait une découverte anatomique surprise, isolant ce qui semble être un nouvel ensemble de glandes salivaires nichées à l’arrière du nasopharynx. Ces dernières auraient été identifiées alors que les médecins examinaient des patients souffrants d’un cancer de la prostate avec un PSMA PET-scan.

Infections bactériennes incurables : un nouvel espoir venu des arbres ? Marius Colin, Docteur et maître de conférences en microbiologie à l'Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA) publie un article sur The Conversation. Dans un contexte sanitaire particulier et inquiétant, les virus ne sont pas les seuls microorganismes qui peuvent représenter une menace sérieuse. Les bactéries (et les champignons dans une moindre mesure) sont responsables de très nombreuses infections, en particulier dans les établissements de santé où un patient sur vingt contracte une infection nosocomiale. Bien que la plupart de ces infections puissent être traitées aujourd’hui, cela pourrait ne plus être le cas dans un futur relativement proche. En effet, les pathogènes acquièrent progressivement et inéluctablement des résistances aux antibiotiques qu’on leur oppose.

Le mauvais usage des antibiotiques (surutilisation, mauvaise posologie…) sélectionne les bactéries les plus résistantes qui vont donc pouvoir survivre puis transmettre leurs gènes de résistance à leurs congénères. Le génome humain a enfin été entièrement séquencé, après 20 ans de recherche. Il y a 20 ans, des chercheurs pensaient enfin y être arrivés, séquençant ce qu’ils définissaient comme l’ensemble du génome humain.

Cependant, ils se sont aperçus que des bribes de code génétique étaient encore manquantes. Aujourd’hui, après des décennies de recherches et développement, ils sont enfin parvenus à combler ces lacunes et obtenir le tout premier séquençage complet du génome de notre espèce. Cet exploit a notamment été possible grâce aux récentes avancées au niveau des technologies et méthodes de lecture de l’ADN, qui ont fait une grande différence. « Ayant participé au premier projet sur le génome humain en 2001, et m’étant particulièrement concentré sur les régions difficiles, je suis très satisfait de voir ce projet réalisé, même si cela a pris 20 ans », déclare Evan Eichler, de l’université de Washington à Seattle. Le nouveau génome comprend 200 millions de paires de bases, ou « lettres » d’ADN supplémentaires, et ajoute plus de 2000 gènes au précédent modèle.

Les plantes ouvrent un nouvel horizon pour les vaccins. Le procédé encore plus innovant consiste à se servir des plantes comme des « usines à vaccins ». L’espèce expérimentale qui a été retenue est celle la plus utilisée en virologie végétale : Nicotiana benthamiana, proche du tabac. Là, on n’utilise pas de virus vivants, mais un code génétique, ou un fragment d’ADN, que l’on introduit dans les plantes, pour qu’elles le multiplient.

A ce jour, deux sociétés sont bien avancées dans leurs recherches : la société canadienne Medicago et la biotech américaine Kentucky BioProcessing, filiale du cigarettier britannique British American Tobacco. Jusqu’à maintenant, les projets de vaccins contre la grippe ou contre le virus Ebola étaient restés au stade expérimental. Comment fonctionnent ces plantes-usines ? Les scientifiques découvrent un nouveau composant dans le sang. Les mitochondries sont des organites situés dans les cellules eucaryotes. Lieu de la respiration cellulaire, elles sont les « batteries » des cellules et jouent un rôle majeur dans le métabolisme énergétique. Elles ont la particularité de posséder leur propre génome, transmis uniquement par la mère et distinct de l'ADN contenu dans le noyau.

Ces organites n'étaient, jusqu'à présent, retrouvés hors de ces dernières que dans des cas très particuliers : sous forme de fragments encapsulés dans des microvésicules ou encore libérées par les plaquettes dans l'espace extracellulaire. Les travaux d'une équipe de recherche dirigée par Alain R. Des mitochondries intactes circulent dans le sang Les chercheurs se sont appuyés sur des résultats antérieurs ayant montré que le plasma sanguin d'un individu en bonne santé contenait jusqu'à 50.000 fois plus d'ADN mitochondrial que d'ADN nucléaire. On peut se demander pourquoi cela n’a pas été découvert auparavant Un projet de métabolomique humaine. Un nouveau type de processus évolutif a été mis en évidence. L’évolution et la sélection naturelle ont lieu au niveau de l’ADN, car les gènes mutent et les traits génétiques persistent ou se perdent avec le temps.

Mais maintenant, les biologistes pensent que l’évolution peut avoir lieu à une toute autre échelle — transmise non pas par des gènes, mais par des molécules liées à leur surface et responsables de leur méthylation. Ce mécanisme permettrait la conservation d’un épigénome par des processus enzymatiques à travers plusieurs dizaines de millions d’années, selon un processus analogue à celui de l’évolution darwinienne du génome. Ces molécules, connues sous le nom de “groupes méthyle”, modifient la structure de l’ADN et peuvent activer et désactiver les gènes. Les altérations sont connues sous le nom de « modifications épigénétiques ». Un autre organisme, la levure Cryptococcus neoformans, a également perdu des gènes clés pour la méthylation au cours du Crétacé, il y a environ 50 à 150 millions d’années.

Édition du génome - Édition génomique. L'édition du génome, ou édition génomique, est une technique de biologie moléculaire qui modifie le génome en utilisant des enzymes particulières jouant le rôle de ciseaux moléculaires : les endonucléases de restriction. Technique de l'édition du génome La technique consiste à couper l'ADN double brin en un site spécifique (et non au hasard dans le génome) grâce aux nucléases. Un morceau d'ADN est retiré ou ajouté puis l'ADN est ressoudé par recombinaison homologue. Différentes nucléases peuvent être utilisées pour l'édition génomique. Par exemple, le système TALEN (transcription activator-like effector nucleases) utilise des enzymes artificielles créées en fusionnant un domaine de liaison à une séquence spécifique de l'ADN et le domaine catalytique de l'enzyme.

L’édition génomique avec CRISPR-Cas9 Le système CRISPR-Cas9 a été mis au point par les chercheuses Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna. Intéressé par ce que vous venez de lire ? Cela vous intéressera aussi.