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Infections bactériennes incurables : un nouvel espoir venu des arbres ? Marius Colin, Docteur et maître de conférences en microbiologie à l'Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA) publie un article sur The Conversation.

Infections bactériennes incurables : un nouvel espoir venu des arbres ?

Dans un contexte sanitaire particulier et inquiétant, les virus ne sont pas les seuls microorganismes qui peuvent représenter une menace sérieuse. Les bactéries (et les champignons dans une moindre mesure) sont responsables de très nombreuses infections, en particulier dans les établissements de santé où un patient sur vingt contracte une infection nosocomiale. Bien que la plupart de ces infections puissent être traitées aujourd’hui, cela pourrait ne plus être le cas dans un futur relativement proche.

En effet, les pathogènes acquièrent progressivement et inéluctablement des résistances aux antibiotiques qu’on leur oppose. Le mauvais usage des antibiotiques (surutilisation, mauvaise posologie…) sélectionne les bactéries les plus résistantes qui vont donc pouvoir survivre puis transmettre leurs gènes de résistance à leurs congénères. Découverte d'un nouvel organe caché au centre de la tête humaine. Une équipe de chercheurs annonce avoir identifié un “nouvel organe” : un ensemble de glandes salivaires bilatérales auparavant inaperçues dans le nasopharynx humain.

Découverte d'un nouvel organe caché au centre de la tête humaine

Les détails de l’étude sont publiés dans la revue Radiotherapy and oncology. Le corps humain est une machine incroyablement complexe qui, encore aujourd’hui, continue de nous étonner. Prenons les organes. Pour la grande majorité, ils représentent un ensemble de tissus concourant à la réalisation d’une fonction physiologique. En adoptant cette définition, nous avons longtemps pensé que le corps humain comptait 78 organes (hommes et femmes confondus). Alzheimer : une protéine donne un nouvel espoir. Des chercheurs de Montpellier ont découvert qu'une protéine pourrait prévenir les anomalies liées à la maladie d'Alzheimer.

Alzheimer : une protéine donne un nouvel espoir

Chaque année, 225 000 personnes sont déclarées atteintes de la maladie d'Alzheimer. Les chercheurs du monde entier étudient des options de traitement. Comme à Montpellier, où deux scientifiques ont découvert une protéine qui pourrait faire avancer le soin d'Alzheimer, révèle 20 Minutes. La maladie d'Alzheimer se caractérise par de troubles de la mémoire à court terme au départ, s'aggravant par la suite. Puis interviennent les troubles du comportement, les difficultés à communiquer, à se concentrer et une désorientation spatio-temporelle. Eric Kremer, chercheur à l'Institut de génétique moléculaire, et Tangui Maurice, chercheur au laboratoire Mécanismes moléculaires dans les démences neurodégénératives, ont obtenu un financement de 361 600 euros de la Fondation pour la recherche médicale pour trouver une cure à Alzheimer.

Transfert de gène Lire aussi : Édition du génome - Édition génomique. L'édition du génome, ou édition génomique, est une technique de biologie moléculaire qui modifie le génome en utilisant des enzymes particulières jouant le rôle de ciseaux moléculaires : les endonucléases de restriction.

Édition du génome - Édition génomique

Technique de l'édition du génome La technique consiste à couper l'ADN double brin en un site spécifique (et non au hasard dans le génome) grâce aux nucléases. Un morceau d'ADN est retiré ou ajouté puis l'ADN est ressoudé par recombinaison homologue. Différentes nucléases peuvent être utilisées pour l'édition génomique. Par exemple, le système TALEN (transcription activator-like effector nucleases) utilise des enzymes artificielles créées en fusionnant un domaine de liaison à une séquence spécifique de l'ADN et le domaine catalytique de l'enzyme. L’édition génomique avec CRISPR-Cas9 Le système CRISPR-Cas9 a été mis au point par les chercheuses Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna.

Intéressé par ce que vous venez de lire ? Cela vous intéressera aussi. Un nouveau type de processus évolutif a été mis en évidence. L’évolution et la sélection naturelle ont lieu au niveau de l’ADN, car les gènes mutent et les traits génétiques persistent ou se perdent avec le temps.

Un nouveau type de processus évolutif a été mis en évidence

Mais maintenant, les biologistes pensent que l’évolution peut avoir lieu à une toute autre échelle — transmise non pas par des gènes, mais par des molécules liées à leur surface et responsables de leur méthylation. Ce mécanisme permettrait la conservation d’un épigénome par des processus enzymatiques à travers plusieurs dizaines de millions d’années, selon un processus analogue à celui de l’évolution darwinienne du génome. Ces molécules, connues sous le nom de “groupes méthyle”, modifient la structure de l’ADN et peuvent activer et désactiver les gènes.

Les altérations sont connues sous le nom de « modifications épigénétiques ». Un autre organisme, la levure Cryptococcus neoformans, a également perdu des gènes clés pour la méthylation au cours du Crétacé, il y a environ 50 à 150 millions d’années. Les scientifiques découvrent un nouveau composant dans le sang. Le sang, que l'on pensait si bien connaître, contiendrait-il en fait des éléments jusque-là indétectables ?

Les scientifiques découvrent un nouveau composant dans le sang

C'est ce que montrent les travaux d'une équipe de chercheurs de l'Inserm qui, pour la première fois, ont mis en évidence la présence dans la circulation sanguine de mitochondries complètes et fonctionnelles. Des mitochondries pistées à l’intérieur de neurones Le transport des mitochondries (en vert) à l’intérieur de cellules nerveuses (en bleu) a pu être filmé chez une larve transgénique de poisson zèbre.