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Chemin Urbaniste

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Pee all and end all: Nepal posits new approach to the compost question | Global development. Dung and dusted … A Nepalese man carries compost in the village of Khokana, on Kathmandu's outskirts. Photograph: Prakash Mathema/AFP/Getty Images Human urine is superior to urea, a common nitrogen-rich mineral fertiliser, according to the results of a study carried out in a farmer's field outside Nepal's capital city. Researchers who tested the effects of applying different combinations of urine, compost and urea on sweet pepper, Capsicum annuum, found that urine synergises best with compost. Urine for the study was sourced from mobile public toilets in the city and compost prepared from cattle manure.

Results of the study, published in Scientia Horticulturae, showed that urine-compost mixtures produced the tallest plants and bore the most fruit. A "synergistic effect" was attributed to several factors including reduced nitrogen loss and enhanced availability of organic carbon in the soil. Ville et urbanisme. LE MOUCHARD • On récapitule l'émission #35 avec Matthieu Duperrex pour le collectif Urbain, trop urbain. Une ingénierie de la participation. Dimanche 8 décembre 2013 7 08 /12 /Déc /2013 15:31 La participation citoyenne nous interroge. Si elle bénéficie d'une large promotion par des élus qui y voient l'aubaine d'une proximité retrouvée avec les citoyens, les acteurs opérationnels - qu'ils soient agents publics ou maîtres d'œuvre privés - sont beaucoup plus circonspects. Cette question doit pourtant être au cœur de nos réflexions au risque de ne plus répondre aux attentes de la population ou pire d’occasionner des retards, des surcoûts, voire même des rejets de nos projets.

Une démarche engagée Portée par la remise en cause des légitimités politiques et techniques, la participation s’est imposée au cours de ces vingt dernières années comme un enjeu majeur des politiques publiques. Cette question s’impose particulièrement dans les quartiers de la politique de la ville comme le démontre le rapport « Citoyenneté et pouvoir d’agir » (juillet 2013) commandé par le gouvernement. La participation pour qui, pour quoi ?

Pocket Neighborhoods: Creating Small-Scale Community in a Large-Scale World. VISLE CONCOURS PHOTO 2013. Tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/62/68/88/PDF/TH2010PEST1120_complete.pdf. Revue ESPRIT. Alors que la dynamique historique de la ville favorisait une agrégation de populations diverses dans un même espace, on assiste aujourd’hui à une rupture correspondant à un triple mouvement de séparation : l’embourgeoisement des centres-villes prestigieux, le départ des classes moyennes vers un périurbain moins coûteux et protégé, la relégation des cités d’habitat social. The three-gear city: relegation, peri-urban sprawl and gentrification. Jacques Donzelot. Whereas the historical dynamic of cities used to bring about an aggregation of various populations in a single area, today the model is splitting into a three-fold segmentation: the gentrification of prestigious historic city-centres, a middle-class shift to cheaper but well protected peri-urban areas and the disenfranchisement of council estates.

«LA VILLE ne fait plus société», disions-nous dans un article précédent (1). La formule est apparue comme plus accrocheuse que sérieuse. La relégation La périurbanisation Jacques Donzelot. Ma cantine en Ville. Les pratiques de la restauration de rue. 2ème partie. L’autosuffisance agricole des villes, une vaine utopie ? N’en déplaise aux architectes qui rêvent de potagers verticaux, aucune ville au monde n’est en mesure d’assurer son autosuffisance alimentaire en l’état actuel des savoir-faire de notre civilisation. En revanche, cette autosuffisance peut être imaginée à l’échelle d’une région urbaine impliquant au minimum sa périphérie rurale. On peut dès lors se demander quelle doit être l’échelle de cette région et dans quelle logique spatiale elle doit être comprise. De ce point de vue, les différentes fonctions que l’agriculture est appelée à remplir vis-à-vis de la ville ne relèvent pas du même type d’espace.

L’approvisionnement alimentaire, inscrit de longue date dans une logique d’échanges commerciaux, relèverait plutôt d’un espace compris comme un réseau, alors que les fonctions environnementales ou paysagères, non délocalisables par nature, relèveraient davantage de ce que Roger Brunet appelle une aire dans sa typologie des chorèmes [1]. Quelles échelles pour l’autosuffisance alimentaire ?