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Metropolis (film, 1927) Metropolis est un film de science-fiction allemand réalisé par Fritz Lang, sorti en 1927. Échec critique et commercial à sa sortie tandis qu'il est, à l'époque, le film le plus cher de l'histoire du cinéma, il est rapidement amputé. Il est progressivement réhabilité durant la deuxième moitié du XXe siècle, au point d'atteindre le statut de chef-d'œuvre majeur de l'histoire du cinéma, ce dont témoignent ses multiples influences jusqu'à nos jours, notamment dans la culture populaire. Plusieurs fois restauré, il devient en 2001 le premier film inscrit sur le registre international Mémoire du monde de l’UNESCO. Statue reproduisant l'androïde du film à Babelsberg, en Allemagne. Le film se décompose en trois actes, Auftakt (commencement) (66 min), Zwischenspiel (interlude) (28 min) et Furioso (52 min). Maria (Brigitte Helm), une femme de la ville basse, essaie de promouvoir l'entente entre les classes, et emmène clandestinement des enfants d'ouvriers visiter la ville haute.

H. Les Temps modernes (film) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Les Temps modernes (film)

Les Temps modernes (Modern Times) est une comédie dramatique américaine de Charlie Chaplin, sortie en 1936. Il s'agit du dernier film muet de son auteur et le dernier qui présente le personnage de Charlot, lequel lutte pour survivre dans le monde industrialisé. Le film est une satire du travail à la chaîne et un réquisitoire contre le chômage et des conditions de vie d'une grande partie de la population occidentale lors de la Grande Dépression, imposées par les gains d'efficacité exigés par l'industrialisation des temps modernes. Les vedettes du film sont Charlie Chaplin, Paulette Goddard, qui fut pendant quelques années la compagne de l'auteur à la suite du tournage, Henry Bergman, Tiny Sandford et Chester Conklin.

Portrait studio de Paulette Goddard pour Les Temps modernes. La première des Temps modernes le 5 février 1936 Sauf mention contraire, cette fiche est établie à partir du générique du film. Acteurs non crédités : 2001, l'Odyssée de l'espace. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

2001, l'Odyssée de l'espace

Le film est divisé en quatre actes distincts. Daniel Richter incarne le personnage de Moonwatcher dans le premier acte et William Sylvester joue le docteur Heywood R. Floyd dans le second acte. Keir Dullea (Dr. David Bowman) et Gary Lockwood (Frank Poole) apparaissent dans le troisième acte en tant qu'astronautes entreprenant un voyage vers Jupiter à bord du vaisseau Discovery One. Produit et distribué par le studio américain Metro-Goldwyn-Mayer, le film est presque entièrement tourné au Royaume-Uni, dans les studios MGM British (il est d'ailleurs l'un des derniers films à user de ces locaux) ainsi qu'à Shepperton, du fait des plateaux de tournage plus vastes que ceux des studios américains.

Le film est reçu de manière partagée par la critique et le public à sa sortie mais, au fil du temps, il acquiert un statut de film culte et connaît un énorme succès au box-office. §Synopsis[modifier | modifier le code] Matrix. L’Homme à la caméra, un film de Dziga Vertov. Passage obligé pour tous les étudiants en cinéma, L’Homme à la caméra de Dziga Vertov ressemble à une sorte de documentaire expérimental, à mi-chemin entre manifeste politique et cinématographique, tant la richesse des techniques utilisées dévoile les possibilités de la caméra.

L’Homme à la caméra, un film de Dziga Vertov

Revoir ce film, c’est donca entrer dans le champ de l’expérimentation visuelle, de la construction d’un langage symbolique, mais c’est aussi être témoin de la « politisation » de l’image. Au-delà d’un simple hymne au communisme et au travail à la chaîne, L’Homme à la caméra offre une réelle réflexion sur l’image et son statut. Le titre Le titre du film rappelle l’héritage romanesque, notamment L’Homme au masque de fer et situe le film dans un jeu sur la fiction et le non-fictionnel : il s’agit pour Vertov d’utiliser les codes conventionnels du cinéma narratif et de les importer dans un documentaire. C’est pour cette raison que l’on a souvent caractérisé ce film de « manifeste exprimé en images ».